Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

guerre de sécession

  • Qui était vraiment Abraham Lincoln ?...

    Les éditions Fol'Fer viennent de publier un essai d'Alain Sanders intitulé La désinformation autour d'Abraham Lincoln. Journaliste et ancien professeur de lettres, Alain Sanders est notamment l'auteur de biographies du marquis de Morès et du général Robert E. Lee (Pardès, 2015) ainsi que de Centurions - Trente baroudeurs de l'Indochine française (Atelier Fol'Fer, 2015) et de Mercenaires - Soldats de fortune et d'infortune (Fol'Fer, 2017).

    Sanders_La Désinformation autour d'Abraham Lincoln.jpg

    " Le 22 septembre 1862, Lincoln, qui sent que sa guerre d'invasion lui échappe, émet la Proclamation d Émancipation. Un « coup de com » (comme on dirait de nos jours) de la part de celui qui, le 4 mars 1861, déclarait : « Je n'ai aucunement l'intention, ni directement ni indirectement, d'intervenir à propos de l'esclavage dans les États où il existe ».

    Lincoln, « Grand Émancipateur » des esclaves ? Interrogé par un de ses ministres sur l'avenir des esclaves affranchis, il répondra en chantonnant un air alors à la mode : « Débrouille-toi, goinfre-toi ou meurs. » Sa proclamation de 1862 n'est rien d'autre qu'un tour de passe-passe politique, une « mesure militaire » comme il le reconnaîtra cyniquement.

    « Qui que ce soit qui s'embarque dans une étude sur Lincoln doit d'abord mettre fin au mythe Lincoln. Les efforts qui sont faits pour briser la croûte qui entoure la légende Lincoln relèvent à la fois d'un travail formidable et intimidant. » (Robert W. Johannsen)

    Alors ne nous laissons pas intimider ! "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le blanc soleil des vaincus...

    Les éditions Via Romana viennent de ré-éditer, avec une préface d'Alain de Benoist, un ouvrage de Dominique Venner intitulé Le blanc soleil des vaincus, publié initialement en 1975. Dans cette histoire de la guerre de Sécession américaine, racontée du point de vue de la Confédération, Dominique Venner salue les vertus incarnées par les Sudistes, le sens de l'honneur, le courage, la tenacité, dans leur combat inégal contre le Nord industriel.

     

    Blanc-soleil-des-vaincus.jpg

    " Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte, fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour une population sept fois moins nombreuse.
       En 1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son meurtre délibéré.
       C’est l’histoire vraie d’Autant en emporte le vent. On y retrouve les blanches plantations assoupies dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.
       Le Sud, moins peuplé que la Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné continue de vivre dans le cœur des hommes généreux. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le général Lee, un gentleman sudiste...

    « Je ne puis abandonner l'État où je suis né à l'heure de sa plus grande détresse. Je dois partager son sort et souffrir avec lui. Il est de notre devoir de vivre. Que deviendraient les femmes et les enfants du Sud si nous n'étions plus là pour les protéger ? » Robert E. Lee (1807-1870)

    Les éditions Pardès viennent de publier, dans leur collection Qui suis-je ? , un biographie du général Robert E. Lee, signée par Alain Sanders. Journaliste engagé, Alain Sanders a publié de nombreux livres consacrés aux Etats-Unis et à leur histoire.

     

    Robert Lee.jpg

    " Considéré comme l'un des meilleurs stratèges de l'armée des États-Unis, Robert E. Lee était tout désigné - le poste lui fut proposé -  pour diriger les forces unionistes nordistes pendant la guerre de Sécession. Sa loyauté sans failles à la Virginie de ses ancêtres lui fit choisir, tout au contraire, de prendre le commandement en chef des forces confédérées sudistes. Il est ainsi passé à la postérité comme le héros symbolique de ce que les Sudistes d'hier et d'aujourd'hui ont appelé « la Cause ». Ce «Qui suis-je?» Robert E. Lee propose le por­trait d'un homme qui ne sollicita jamais aucun mandat politique et qui n'approuvait pas, en tant qu'institution, l'esclavage, « mal moral et politique ». Seule figure de l'histoire des États-Unis capable de contrebalancer celle fort contestable, par ailleurs, d'Abraham Lincoln, il fut l'incarnation même du gentleman sudiste, dans la lignée des Cavaliers de Charles Ier opposés aux Têtes Rondes du dictateur Cromwell. Un soldat chrétien, mais pas un puritain. Après la défaite, il revint à la vie civile et con­tribua, sans jamais rien renier, à la difficile réconciliation du Nord yankee et du Dixieland. La popularité de Lee, surnommé « l'homme de marbre », popularité jamais démentie malgré les coups du sort, s'accrut encore après sa disparition, jusqu'à atteindre et dépasser la « frontière » entre le Nord et le Sud, la célèbre Mason-Dixon Line. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Tour d'horizon... (69)

    Osservatore.jpg

    Au sommaire cette semaine :

     - sur Theatrum Belli, Paul-Georges Sansonetti souligne la force que conserve la figure du chevalier dans l'imaginaire des peuples européens...

    Le chevalier dans l'imaginaire européen

    excalibur.jpg

     

    - sur Polemia, Michel Geoffroy prédit que les peuples de l'Union européenne n'auront bientôt plus le choix qu'entre être otages ou rebelles...

    L’Europe c’est la paix ? Non c’est la guerre de Sécession qui vient

    Guerre de sécession.jpg

    - Et enfin, on apprend que l'organisme européen de statistiques économiques Eurostat souhaite que l'activité générée par les divers trafics criminels soit intégrée dans le calcul du PIB...

    Sexe, drogue et statistiques, ou comment doper son PIB

    Cocaïne.jpg

    Lien permanent Catégories : Tour d'horizon 0 commentaire Pin it!
  • Une Amérique divisée...

     NRH HS 3.jpg

     

    Le troisième numéro hors-série de La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque. Il est consacré exclusivement à la guerre de Sécession. On y trouve notamment des articles de Dominique Venner ("Une Amérique divisée", "La vindicte des vainqueurs"), de Charles Vaugeois ("Gettysburg, la bataille fatale"), de Guy Chambarlac ("Le plan stratégique du général Lee", "Grant et l'agonie de la Confédération"), de Stève Sainlaude ("Napoléon III et la Confédération sudiste"), de John Hunter ("L'opposition à Lincoln", "La question noire") ou encore d'Alain Sanders ("La revanche des vaincus")... Bref, un numéro passionnant sur un conflit par trop méconnu en France !

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!