Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gilles kepel

  • L'énigme Jean-Claude Michéa...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°205, décembre 2023 - janvier 2024) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à Alain de Benoist, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Jérôme Sainte-Marie, Götz Kubitschek, Ram Madhav, Thibault Fouillet, Laurent Firode...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non, de Slobodan Despot et de Julien Rochedy...

     

    Eléments 205.jpg

    Au sommaire :

    Éditorial

    Le silence des moutons - Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    Henry Laurens : « Israël-Hamas : le problème est devenu insoluble » - Propos recueillis par François Bousquet

    Cartouches

    L’objet disparu : l’Aérotrain - Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance - Par Xavier Eman

    Cinéma des villes et cinéma des champs - Par Nicolas Gauthier

    À bientôt, Jacques Julliard ! - Par Alain de Benoist

    Curiosa Erotica : les rois de France, indétrônables mâles alpha - Par David L’Épée

    Champs de bataille : Ypres, la bataille des symboles - Par Laurent Schang

    Le filousophe (1ère partie) - Par Bruno Lafourcade

    Le droit à l’endroit : guerre ou terrorisme ? Ce que les mots veulent dire - Par Aristide Leucate

    D’où parle Luc-Olivier d’Algange ? - Le regard d’Olivier François

    Économie - Par Guillaume Travers

    Bestiaire : la sérénade du cacatoès - Par Yves Christen

    Sciences - Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    L’essence du capitalisme selon Jean-Claude Michéa - Par Alain de Benoist

    Ces intellectuels qui quittent la gauche : les raisons d’un exil - Par David L’Épée

    Thomas Piketty et Julia Cagé au laminoir de Jérôme Sainte-Marie - Propos recueillis par François Bousquet

    Régime politico-religieux de la Palestine : 50 nuances d’islamo-nationalisme - Par Daoud Boughezala

    Le pacifisme, un rêve oublié - Par Xavier Eman

    Comprendre le wokisme : Pierre Valentin dit presque tout - Par François Bousquet

    L’Allemagne de Götz Kubitschek : entre la Nouvelle Droite et l’AfD - Propos recueillis par Alexis Marx

    Ram Madhav, voie de l’Hindutva : vers un universalisme de la différence - Propos recueillis par Hervé Juvin

    Les duellistes : Gilles Kepel, côté pile et côté face - Par Gérard Boulanger et Camille Ernest

    La guerre au XXIe siècle : repenser la tactique avec Thibault Fouillet - Propos recueillis par Laurent Schang

    Éric Werner : comment prendre le maquis à l’heure de l’État total ? - Par Gérard Boulanger

    « Extrême droite » : un nouveau vaccin à l’étude - Par Hubert Calmettes

    Radicalités de droite : esthétique d’abord ! - Par François Bousquet

    Quand la « diversité » colonise nos cerveaux - Par François Bousquet et Anthony P. Robert

    Laurent Obertone, raisonnablement machiste - Par François Bousquet

    Laurent Firode, l’anti-Netflix : le cinéma d’après commence ici - Propos recueillis par Anthony Marinier

    Georges Dumézil intime - Par Lionel Rondouin

    Le bicentenaire d’Ernest Renan : la nation mode d’emploi - Par Nathalie Krikorian-Duronsoy

    Dossier

    Les 80 ans d’Alain de Benoist

    Anatomie d’un bouc émissaire : Alain de Benoist vu par Michel Onfray - Par Michel Onfray

    Alain de Benoist, primus inter pares - Par François Bousquet

    La bibliothèque d’Alain de Benoist : entre le Chêne et l’Écluse - Par Christophe A. Maxime

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : le compagnon de Colombo - Par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : Louis de Bonald - Par Ego Non

    Un païen dans l’Église : les sirènes de Saint-Étienne de Metz - Par Bernard Rio

    Rochedytorial : de quel Titan l’Européen est-il le nom ? - Par Julien Rochedy

    Éphémérides

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • La guerre civile...

    Le nouveau numéro de la revue Conflits (n°9, avril-mai-juin 2016), dirigée par Pascal Gauchon, vient de sortir en kiosque. Le dossier central est consacré à la guerre civile.

    Conflits 9.jpg

    Au sommaire de ce numéro :

    ÉCHOS

    ÉDITORIAL

    La guerre civile n'aura pas lieu, si..., par Pascal Gauchon

    ACTUALITÉ

    ENTRETIEN

    Gilles Kepel. La géopolitique de la guerre civile, propos recueillis par Pascal Gauchon

    PORTRAIT

    Donald Trump. Milliardaire et tribun de la plèbe, par Hadrien Desuin

    ENJEUX

    Turquie - Russie. Deux empires aux miroirs, par Tancrède Josseran

    ENJEUX

    Le retour des États-Unis en Asie centrale, par Laurent Gayard

    ENJEUX

    Quand une représentation devient une organisation, par Vincent Piolet

    IDÉES REÇUES

    Le boudhisme rend-il libre et heureux ?, par Jean-Marc Huissoud

    IDÉES

    La géopolitique de la peur, par Florian Louis

    GRANDE STRATÉGIE

    Oman, une thalassocratie arabo-africaine, par Tigrane Yégavian

    GRANDE BATAILLE

    Poitiers (732). La bataille introuvable, par Pierre Royer

    TRIBUNE

    Les entreprises face à un univers du risque en expansion, par Denis Kessler

    BOULE DE CRISTAL DE MARC DE CAFÉ

    Internet n'a aucun avenir commercial, par Jean-Baptiste Noé

    BIBLIOTHÈQUE GÉOPOLITIQUE

    Nous avons besoin de grandes stratégies, par Gérard Chaliand

    CHRONIQUES

    LIVRES/REVUES/INTERNET /CINÉMA

    GÉOPO-TOURISME

    Molenbeek, de sainte Gertrude au djihadisme, par Thierry Buron

     

    DOSSIER : La guerre civile

    Mes guerres civiles, par Gérard Chaliand

    Exorciser les démons, par Richard Millet

    Guerre civile. La guerre de la mondialisation, par Pascal Gauchon

    Le mot du philosophe, par Frédéric Laupiès

    La guerre civile, comme ils disent...

    Le Liban. Les dividendes de la guerre, par Frédéric Pichon

    Syrie. une nouvelle guerre d'Espagne ? par Florian Louis

    Mexique. la guerre civile au quotidien, par Tigrane Yégavian

    Libye. La guerre de tous contre tous, par Bernard Lugan

    Thaïlande. un conflit sur fond de mondialisation, par Jack Thomson

    Ukraine. la guerre civile gelée, par Pascal Marchand

    Afrique. Des guerres civiles sans fin ? par Didier Giorgini

    Comment finir une guerre civile ? par Thierry Mudry

    Demain la guerre civile ? par Pierre-Yves Cusset

    L'HISTOIRE MOT À MOT

    "Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !", par Pierre Royer

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • L'essor du séparatisme culturel...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue du géographe Christophe Guilluy, publié dans le quotidien Le Monde à la suite de la parution du rapport de l'Institut Montaigne sur les banlieux. Christophe Guilluy est l'auteur d'un essai percutant intitulé Fractures françaises (Bourin, 2010)  et consacré  à la crise profonde du "vivre ensemble" dans la France d'aujourd'hui.

     

    CRAN.jpg

     

    La fable de la mixité culturelle

    Plus que son contenu, c'est d'abord la surmédiatisation du rapport de l'Institut Montaigne qui est frappante. Le constat, celui d'une forme d'islamisation de certains territoires, n'est pas véritablement une découverte. On rappellera à ce titre que le rapport Obin de l'éducation nationale montrait déjà, en 2004, le débordement dans l'espace public des pratiques communautaires dans les établissements scolaires situés dans des communes à forte population musulmane.

    Rien de bien nouveau donc, le problème est en réalité sur la table depuis au moins dix ans. Cette question culturelle et identitaire est d'abord le fruit d'une dynamique démographique. La question de l'islam ne serait pas aussi présente si elle ne s'inscrivait pas dans un contexte démographique, celui de la croissance forte et récente du nombre des musulmans en France et en Europe.

    Rappelons ici que les communes ciblées par l'Institut Montaigne se caractérisent d'abord par une transformation démographique sans précédent. Entre 1968 et 2005, la part des jeunes d'origine étrangère (dont au moins un parent est né à l'étranger) est passée de 22 % à 76 % à Clichy-sous-bois et de 29 % à 55 % à Montfermeil. Ce basculement démographique est un point fondamental. Une majorité de ces jeunes est musulmane ou d'origine musulmane.

    La visibilité de l'islam et de ses pratiques est ainsi directement liée à l'importance de la dynamique démographique : flux migratoires et accroissement naturel. La question est d'autant plus sensible qu'elle s'inscrit dans un contexte démographique instable où les "minorités" peuvent devenir majoritaires et inversement. Sur certains territoires, les populations d'origine musulmane sont donc devenues majoritaires. C'est le cas à Clichy et Montfermeil. La passion qui entoure les débats sur l'islam est directement liée à la croissance du nombre de musulmans. La question du débordement des pratiques religieuses interroge l'ensemble des Français musulmans ou non.

    Au-delà, ce débat interroge aussi la question du multiculturalisme. Ainsi, si l'on remplaçait demain les 6 millions de musulmans par 6 millions de sikhs, les controverses sur le port du kirpan (comme cela a été le cas au Québec), poignard mais aussi symbole religieux pour la communauté sikh, se multiplieraient.

    L'importance des réactions suscitées par le rapport Kepel révèle en filigrane le malaise de la société française face au surgissement d'une société multiculturelle encore impensée. Il faut dire que, en la matière, nous nous sommes beaucoup menti. Convaincus de la supériorité du modèle républicain, en comparaison du modèle communautariste anglo-saxon, nous nous sommes longtemps bercés d'illusions sur la capacité de la République à poursuivre, comme c'était le cas par le passé, "l'assimilation républicaine".

    La réalité est que, depuis la fin des années 1970, ce modèle assimilationniste a été abandonné quand l'immigration a changé de nature en devenant familiale et extra-européenne (pour beaucoup originaire de pays musulmans). Alors que l'on continuait à s'enorgueillir du niveau des mariages mixtes, les pratiques d'évitement explosaient.

    Aujourd'hui, le séparatisme culturel est la norme. Il ne s'agit pas seulement d'un séparatisme social mais d'abord d'un séparatisme culturel. Pire, il frappe au coeur des classes populaires. Désormais, les classes populaires d'origine étrangère et d'origine française et d'immigration ancienne ne vivent plus sur les mêmes territoires. Les stratégies résidentielles ou scolaires concernent une majorité de Français, tous cherchent à ériger des frontières culturelles invisibles. Dans ce contexte, la fable des mariages mixtes ne convainc plus grand monde et ce d'autant plus que les chiffres les plus récents indiquent un renforcement de l'endogamie et singulièrement de l'homogamie religieuse.

    La promesse républicaine qui voulait que "l'autre", avec le temps, se fondît dans un même ensemble culturel, a vécu. Dans une société multiculturelle, "l'autre" reste "l'autre". Cela ne veut pas dire "l'ennemi" ou "l'étranger", cela signifie que sur un territoire donné l'environnement culturel des gens peut changer et que l'on peut devenir culturellement minoritaire. C'est ce constat, pour partie occulté, qui explique la montée des partis populistes dans l'ensemble des pays européens.

    Si le rapport Kepel est "dérangeant", c'est d'abord parce qu'il nous parle d'un malaise identitaire qui touche désormais une majorité de Français. A ce titre, il faut relever l'importance de cette question pour l'ensemble des classes populaires d'origine française ou étrangère. C'est dans ce contexte qu'il faut lire la montée de l'abstention et de la défiance pour les grands partis aussi bien en banlieue que dans les espaces périurbains, ruraux et industriels.

    Si un islam identitaire travaille les banlieues, l'adhésion pour les thèses frontistes d'une part majoritaire des classes populaires de la France périphérique souligne que la question sociale est désormais inséparable de la question culturelle.

    Christophe Guilluy (Le Monde, 14 octobre 2011)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Extension du domaine du halal...

    Nous reproduisons ci-dessous un article intéressant d'Emmanuel Lemieux, publié sur le site Les influences et consacré à l'enquête sur les banlieues réalisé par Gilles Kepel pour l'Institut Montaigne. Emmanuel Lemieux s'est fait connaître au début des années 2000 par un ouvrage bien documenté sur les milieux intellectuels, intitulé Pouvoir intellectuel - Les nouveaux réseaux (Denoël, 2003).

     

    Banlieue de la République , Clichy-sous-bois , Gilles Kepel , Halal , Institut Montaigne , Montfermeil

     

     

    Banlieues : extension du domaine du halal

    Une enquête de terrain, dirigée par le politologue Gilles Kepel, témoigne de l’influence de l’islam dans la vie quotidienne. L’Institut Montaigne appelle à une nouvelle attraction républicaine.

    Attention, pincettes. Rendue publique ce mardi 4 octobre 2011, "Banlieue de la république" est une étude commandée par l’Institut Montaigne et conduite par le politologue Gilles Kepel, avec la collaboration de Leyla Arslan et Sarah Zouheir. "Une enquête lourde, et longue d’une année et demi, qui a mobilisé cinq chercheurs et dégagé un budget conséquent à 100% financé par l’Institut", confirme Michaël Cheylan, directeur des affaires publiques du think tank libéral. Une enquête en profondeur également, menée à Clichy-sous-bois et à Montfermeil (Seine-Saint-Denis), qui s’est intéressée à l’ensemble des dimensions permettant de "faire société". Une centaine de personnes, régularisées ou non, ont été interviewées en français, mais aussi en arabe, en turc, en cambodgien, en anglais, en peul, en soninké, sur les questions du logement, de l’éducation, de l’emploi et de la sécurité, et de leurs rapports à la politique et à la religion. L’auteur des "Banlieues de l’islam" entreprend ainsi une radiographie de l’état des lieux, vingt-cinq ans après. Le changement est de taille : en 1985, Gilles Kepel rencontra essentiellement des immigrés qui lui parlèrent de l’islam en France. En 2011, ses équipes traitent majoritairement d’enfants de l’immigration qui vivent avec l’islam de France.

    " Ces banlieues ne sont pas représentatives, comme on le dit d’un sondage réalisé selon la méthode des quotas, elles sont emblématiques" prévient Gilles Kepel. Il a choisi deux communes regroupant 60 000 habitants dans l’agglomération, emblématiques en effet des émeutes urbaines de 2005, mais aussi des handicaps sociaux. Le chômage, coeur noir de tous les problèmes, est ainsi de l’ordre de 27,7% à Clichy sous Bois, de 17,5% à Montfermeil lorsqu’il pèse 11% pour toute l’Ile-de-France. Les foyers non imposables représentent 61,30% des foyers de Clichy sous bois, 45, 40% de Montfermeil quand l’Ile de France en enregistre 33,60% Les habitants de moins de 14 ans sont plus nombreux qu’en région parisienne, et nombreux également se comptent ceux dont un parent sur deux au moins est d’origine étrangère (76% à Clichy-sous-bois, 50% à Montfermeil contre 16,9% en Ile de France).

    "Le halal touche profondément à la chair : de la table au lit"

    Le point le moins consensuel, mais le plus crucial, de ce "carottage" sociologique en banlieue profonde est l’observation de l’influence de l’islam dans la vie quotidienne des citoyens français. Certes, l’effet de piété exacerbée marque particulièrement ce territoire étudié, où les deux tiers des enquêtés se déclarent de confession musulmane. Indéniablement, l’islam, entre mouvement tabligh ("propagation de l’islam) et imam de quartier (à l’image d’un Don Camillo traditionnel-conservateur des années cinquante), pèse et structure tout un type de relations bien éloigné de l’attraction républicaine et du "vivre ensemble ". "L’une des transformations majeures en un quart de siècle est l’ubiquité du halal", instruit Gilles Kepel pour qui "cette revendication identitaire a explosé". Le halal (ce qui est licite et ce que ne l’est pas) ne se réduit plus à une déjà épineuse affaire de cantine scolaire. "Le halal a un spectre beaucoup plus large que la viande, analyse le sociologue, et touche profondément à la chair ; il fait passer de la table au lit, et construit des repères passablement complexes pour définir le licite et l’illicite." Ces lois sont extrêmement mouvantes, et sont liées "à la situation d’enclavement, au contrôle social et à l’ordre moral quotidien qui en découlent." Marqueur communautaire fort, le halal agit comme "le miroir inversé du casher" et constitue le fer de lance d’ "une compétition mimétique". Aux yeux des sondés musulmans, les juifs apparaissent en effet comme une minorité qui a su imposer sa différence au sein de la république française.

    L’étude bat également en brèche la fable du mariage mixte majoritaire ou en progrès en France. "La majorité des enquêtés souhaite que leurs enfants se marient avec une personne pratiquant le même culte. Cette préférence pour le mariage endogame revient également dans les réponses des Chrétiens d’Orient, qui, y voient la seule manière de préserver l’existence de leur communauté", retient l’enquête.

    "Promesse laïque et républicaine"

    Gilles Kepel voit l’affirmation d’un islamisme identitaire, mais aussi l’ambivalence de ce mouvement. Que "l’attraction de la promesse laïque et républicaine" revienne pour de bon et méthodiquement dans ces quartiers, avec notamment la question obsessionnelle de l’emploi, l’action revitalisée des pouvoirs publics sur le désenclavement, les transports, l’éducation, et "les valeurs de la Nation" s’inviteront durablement. C’est ce qu’estime à la suite de l’étude de Gilles Kepel, le Comité directeur de l’Institut Montaigne. Dans une tribune publiée sur le monde.fr, ce groupe de personnalités comme Claude Bébéar, Nicolas Baverez, Lionel Zinsou, Guy Carcassonne, Michel Godet, Bernard de la Rochefoucauld, Natalie Rastoin, Henri Lachmann appelle les candidats à la présidentielle 2012, à un peu plus d’ambition sur le sujet et "à raviver la cohésion d’une société malade du chômage de sa jeunesse".

    Emmanuel Lemieux (Les influences, 4 octobre 2011)

     

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!