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françois bayrou

  • Toulouse, médias et politiques : le doigt dans l'oeil !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue tonique de Dominique Jamet, cueilli sur Atlantico et consacré à la tragédie de Montauban et de Toulouse et à sa tentative de récupération par des intellectuels et des politiques peu scrupuleux...

     

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    Toulouse, médias et politiques : le doigt dans l'oeil

    Parler. Parler sans savoir. Parler sans attendre. Accuser sans preuves. Amalgamer sans logique. Condamner sans avoir instruit. Désigner à la vindicte et à l’exécration publiques le bouc émissaire de son choix. Tordre l’actualité, si tragique soit-elle, d’autant plus qu’elle est plus tragique et plus susceptible de déchaîner les passions, et l’instrumentaliser en fonction de ses préjugés, de ses obsessions, de ses haines ou tout simplement de ses intérêts. L’histoire surabonde de ce genre de comportements, trop souvent à la base d’ostracismes arbitraires, de lois d’exception, d’atteintes aux libertés.

    Le Reichstag flambait encore que Goering avait déjà identifié le pyromane et, derrière lui, la main du Parti communiste, aussitôt interdit. Bonaparte avait à peine échappé par miracle à l’attentat de la rue Saint-Nicaise, fomenté par les royalistes, qu’il en dénonçait déjà les auteurs, qui ne pouvaient être, n’est-ce pas, que les jacobins nostalgiques de la Terreur. On attendrait plus de sagesse, plus de retenue, plus de réflexion, dans une démocratie adulte, de la part d’hommes politiques, supposés responsables, puisque aspirant à exercer la plus haute charge de la République, a fortiori de polémistes qui se présentent sans complexe et se laissent complaisamment présenter comme philosophes.

    François Bayrou, que l’on aurait pu croire plus mesuré, mais qu’affolent son ambition monomane et la perspective d’être une fois encore privé de second tour, n’a pas craint, sans avoir procédé à la moindre enquête, et alors que l’enquête était en cours, de prononcer l’anathème contre « les gens qui se servent des passions noires pour les faire flamber ».

    Jean-Luc Mélenchon, dans la pure tradition, de Robespierre, son modèle, son idole, menaçait obscurément ceux qui « recourent à certaines citations». En clair, c’est le fameux discours sécuritaire prononcé à Grenoble par Nicolas Sarkozy, ce sont les propos de Claude Guéant sur l’inégalité des civilisations qui ont armé le bras des assassins. On parle d’immigration, et l’on déchaîne les pogroms, on évoque le dossier de l’abattage et de la commercialisation de la viande halal, et cela finit par une boucherie. On cite des vers de Robert Brasillach, journaliste antisémite et poète fusillé, et l’on est justiciable de l’ascenseur pour les fachos.

    Pas en reste, Le Canard Enchaîné le plus institutionnel de nos journaux satiriques qui, bouclé le mardi, ne peut prévoir ce qui se passera le mercredi, en remontant la trace du tueur de Toulouse, reconnaît à son odeur nauséabonde la marque du néonazisme.

    Dès lundi, sur son blog, l’incorrigible Bernard-Henri Lévy, illustrant une fois de plus sa propension à l’emballement, au sensationnalisme, à l’approximation, à la généralisation, ces démons familiers et si peu philosophiques qui lui ont fait commettre tant de bourdes, maudissait ceux qui ont « libéré la parole infâme », déplorait « l’assassinat du contrat social » français (pas moins), clamait « sa honte et sa colère » et appelait à une grande procession réparatrice, à un exorcisme politico-moral semblable à celui qui avait présidé à la mémorable manifestation consécutive aux profanations du cimetière de Carpentras, manifestation d’unanimité dont, soulignait-il avec une certaine perfidie que le Front national s’était exclu, oubliant que le Front National pouvait difficilement s’inviter à ladite manifestation, organisée dans un climat d’hystérie collective pour protester contre le crime odieux dont il était accusé. A tort.

    Le sang des victimes de Toulouse et de Montauban n’était pas encore séché, leurs obsèques n’avaient pas encore eu lieu, la personnalité, les motivations, l’identité politique, religieuse et psychiatrique du tueur nous étaient encore inconnues que déjà l’auteur de L’Idéologie française y voyait une confirmation éclatante de la vision fantasmatique, cauchemardesque et obsessionnelle qu’il trimbale et tente d’imposer depuis trente ans d’une France peureuse, frileuse, haineuse et même pétaineuse, repliée sur elle-même, nationaliste, rétrograde, matrice et berceau du fascisme qui serait selon lui la France.


    Faut-il rappeler à Bernard-Henri Lévy, sans même évoquer la Déclaration des droits de l’Homme, œuvre française, que ce pays, notre pays, le sien, que la France, multiethnique, multiconfessionnelle, multiculturelle, passée en un demi-siècle de quarante à soixante-cinq millions d’habitants, a accueilli et tenté d’intégrer depuis la fin de la deuxième guerre mondiale des millions et des millions d’étrangers dont la loi, le temps, l’éducation, la République ont fait des Français à part entière ? Faut-il lui demander d’ouvrir les yeux et de constater que ce pays dont l’apport de ces étrangers et le renouvellement des générations ont profondément transformé le visage et modifié l’identité sans y déclencher la moindre guerre sociale ne saurait être accusé de racisme que par des ignorants, des sectaires et des démagogues ?

    Faut-il lui dire que, le tueur eût-il été effectivement un nazi, se réclamerait-il d’Al Qaida, il ne serait pas plus représentatif de la France que l’assassin Breivik, le tueur de masse d’Oslo n’est représentatif de la Norvège ou que « M » le maudit, le héros pédophile du chef-d’œuvre de Fritz Lang n’est représentatif de l’Allemagne ? Faut-il donner à un philosophe humaniste une petite leçon d’universalisme et tâcher de lui faire comprendre que si l’assassin a tué des petits enfants parce qu’ils étaient juifs, ce n’est justement pas parce qu’ils sont juifs mais parce que ce sont des petits enfants innocents qu’ils ont droit à notre compassion, à la même horreur et à la même compassion que s’ils étaient palestiniens, bouddhistes, catholiques ou sans confession ? Faut-il lui demander de faire un tour en France et de vérifier que la France est unanime dans sa condamnation du massacre et du massacreur?


    Certes, on ne peut pas exiger d’un géopoliticien diplomate et stratège, spécialiste, internationalement reconnu à Saint-Germain des Prés, de la Bosnie, de la Libye et de la Syrie qu’il suive d’aussi près ce qui se passe sur notre hexagone, si petit qu’il n’a pas la place d’y déployer ses ailes de géant. Qu’il nous permette seulement de lui dire que cette fois encore il s’est mis son doigt de partisan dans son œil de philosophe.

    Dominique Jamet (Atlantico, 21 mars 2012)

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  • Le gouvernement, annexe du CRIF ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Philippe Bilger, cueilli sur son blog Justice au singulier, consacré au dîner du CRIF, qui s'est déroulé mercredi 8 février et où, comme l'évoque un article du Point (« Sarkozy et Hollande, guest-stars du dîner du Crif»), le gouvernement et la classe politique, à la notable exception de François Bayrou et de Marine Le Pen, se sont bousculés...

     

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    Le gouvernement annexe du CRIF ?

    Ils sont venus, ils sont tous là.

    Le président de la République, le Premier ministre, tous les ministres (Le Monde, Marianne 2).

    François Hollande a suivi le mouvement. Il est présent avec d'autres socialistes. Evénement considérable : il va même serrer la main de Nicolas Sarkozy. Son absence aurait-elle été une honte ou de la lucidité ?

    Ils sont venus, ils sont tous là.

    A la soirée très chic organisée par le Conseil représentatif des institutions juives au Pavillon d'Armenonville. Le président du CRIF mettra en cause dans son discours l'antisémitisme, ce qui est normal, mais aussi "l'antisionisme obsessionnel".

    Ils sont venus, ils sont tous là. Même Dominique de Villepin qui passera très vite.

    Sauf François Bayrou qui  se méfie à juste titre du communautarisme et Marine Le Pen indésirable. Ce n'est pas parce qu'elle cherche à se faire inviter en Israël qu'on va la mélanger à tous ces politiciens remarquables, honnêtes et tellement humanistes.

    Ils sont venus, ils sont tous là.

    Il y a des artistes, notamment le ridicule Enrico Macias, tout énamouré du président de la République. Il n'a pas changé de position au cours du quinquennat, c'est un fidèle, mais comme recrue, il y a mieux !

    Le président de la République et Richard Prasquier s'entendent comme la rhubarbe et le séné. Chacun aura droit à sa dose de compliments. Les réceptions ont ceci d'agréable qu'elles ne servent à rien mais font de l'effet et caressent les amours-propres.

    C'est bizarre, je ne peux pas m'empêcher de me rappeler les mots du président du CRIF quand interviewé par Robert Ménard sur iTELE, il s'est déclaré sans aucune gêne défenseur inconditionnel de l'Etat d'Israël. Si j'osais, je dirais "sioniste obsessionnel".

    La politique étrangère de la France, celle d'aujourd'hui comme celle, peut-être rénovée, de demain, ne se met-elle pas un licou en affichant, avec cette présence envahissante des politiciens des deux bords, cette adhésion sans nuance à la communauté juive ? Y aurait-il le même élan enthousiaste pour les fêtes et les rassemblements à l'initiative d'autres confessions ? Le président de la République qui est le garant de la communauté nationale et de l'équité démocratique peut-il ainsi donner l'impression de n'offrir la part du lion qu'au CRIF et à sa vision politique de la vie internationale ?

    Ils sont venus, ils sont tous là.

    Le conflit israélo-palestinien serait-il déjà réglé ?

    Philippe Bilger (Justice au singulier, 10 février 2012)

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  • Une France pliée en quatre ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un article de Philippe Cohen, cueilli sur le site de Marianne et consacré aux surprises que peut réserver l'élection présidentielle, malgré la volonté du système, exprimée au travers des médias et des instituts de sondage, d'imposer un match sans enjeu réel au travers du "duel" Sarkozy - Hollande...

     

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    Présidentielle: «La France n'est pas coupée en deux, elle est pliée en quatre»

    Voici plusieurs mois que l'on nous concocte LE match Sarkozy-Hollande. Certains indices tendent pourtant à montrer que les deux favoris ont aussi des fragilités dont pourraient profiter les deux outsiders en embuscade, François Bayrou, qui a réussi son entrée en campagne et Marine Le Pen.

    Le quatre quart est un classique de la gastronomie familiale. Mais il pourrait bien devenir l'horizon de la toute prochaine bataille électorale. A quatre mois et demi de l'échéance, un sentiment étrange flotte autour des deux candidats favoris.
    Personne n'ose entrevoir comment Nicolas Sarkzoy pourrait être reconduit. Faisons court : un bilan calamiteux, des promesses envolées, un discrédit profond auprès une partie de la droite, un chômage qui s'accroit de 20 à 30 000 unités chaque mois et la perspective de se serrer la ceinture en fredonnant chaque matin « Danke Angela ». Comment avec un tel programme, trouver une majorité ?

    François Hollande est, du coup, devenu le « favori » de la compétition. Les sondages continuent de lui donner une confortable avance sur Nicolas Sarkozy. Il s'est, très tôt dans cette pré-campagne, forgé un profil d'anti-Sarkozy naturel : un homme normal, rigoureux, compréhensif et humaniste. Un Chirac de gauche en quelque sorte. Manifestement, les électeurs de gauche témoignent à son endroit une indulgence sans bornes, même si souvent, ils n'en pensent pas moins. Il faut les comprendre : ils n'ont pas envie, qu'une fois de plus, les bisbilles au sein de la gauche leur volent une victoire qu'ils jugent naturelle, l'alternance étant l'un des fondements de la démocratie.
    Nous aurons donc Sarkozy-Hollande, LE match, tel qu'il est anoncé par la doxa médiatique. Dès lors, tout se passe comme si la parole des autres compétiteurs, leurs idées et leurs propositions ne présentaient qu'un intérêt secondaire.

    Les dernières semaines de l'année donnent cependant à penser que ce scénario médiatique pourrait être bousculé. De Balladur-Delors à Chirac-Jospin, la tradition médiatique est forte de matchs annulés après avoir été dûment programmés. Les électeurs peuvent-ils, cette fois encore déjouer le scénario présidentiel ? Comment et au profit de qui?

    Flairant la bonne affaire éditoriale, l'ex-conseiller de l'Elysée Dominique Paillé - encore un déçu du sarkozysme - publie ces jours-ci un ouvrage pronostiquant un second tour Bayrou-Le Pen. Remarquons d'abord que les deux outsiders ne sont pas entravés par ce qui, incontestablement gêne les deux favoris : un puissant parti et un entourage attentif, jusqu'alors gages de la victoire à une élection présidentielle. Bayrou a fait le vide en « bayroutie », sauf le respect dû à Marielle de Sarnez et à sa fidélité. Quant à Marine Le Pen, elle fait de louables efforts pour faire apparaître quelques seconds couteaux, mais celui qui osera contester sa stratégie et ses décisions n'est pas encore adhérent du Front National ou même des partis-frères qui se constituent autour de sa candidature.

    Bref, alors que les éléphants et le PS dans son ensemble apparaît comme le pire ennemi d'Hollande, l'empêchant d'apparaître, jusqu'à présent, comme un candidat libre, alors que le président traîne comme un boulet cette Sarkozie faite de trahisons, de félonies et de coups bas, François Bayrou et Marine Le Pen semblent beaucoup plus libres de leurs mouvements, plus gaulliens, plus proches d'un positionnement de rupture attendu par nombre d'électeurs. 

    Or, cette élection présidentielle comporte un paramètre aussi essentiel qu'inédit : elle est en permanence ballotée par une crise qui n'est plus seulement financière mais économique, européenne et mondiale et personne ne sait exactement comment son évolution va peser sur le choix des électeurs. Peur de l'inconnu ou appétit d'aventure ?Derrière la compétition électorale de 2012 se joue peut-être un autre match que celui du second tour, celui oposant la raison des marchés, chaque jour relayée par les agences de notation et les médias qui popularisent leurs jugements, et la raison démocratique, qui impose de maintenir l'existence de choix politiques alternatifs proposés aux citoyens.

    En tout cas, on a bien vu comment, en quelques jours, l'une des « pré-promesses » de François Hollande - les fameux 60 000 postes d'enseignants - a été si ce n'est balayée, du moins très affaiblie, à tort ou à raison. On voit bien aussi la prudence des uns et des autres concernant la façon doit la France peut affronter cette crise. Sarkozy joue les présidents protecteurs, désignant les autres pays européenes supposément en plus grande difficulté que nous, tout en annonçant de nouvelles mesures contre le chômage. François Hollande propose d'articuler la rigueur, la croissance et la justice fiscale. Espérons que ce tryptique, encore bien abstrait, trouvera à se concrétiser dans les semaines qui viennent.

    En face d'eux, leurs challengers peuvent manifester plus d'imagination ou en tout cas surprendre davantage. Quoiqu'on en pense sur le fond, la sortie « made in France » de François Bayrou a frappé les esprits. On l'aurait attendu chez Marine Le Pen. Dans la bouche de l'européen Bayrou, elle prend une autre tonalité. Le génie de ce candidat est celui de l'incarnation. Rappelons-nous que c'est en giflant un sauvageon qui lui faisait les poches qu'il avait dépassé Chevènement en 2002. Ce dernier défendait les valeurs de l'école républicaine avec des mots. Bayrou avait su trouver le geste. « Produire et instruire », le slogan de Bayrou, est une belle formule qui désigne deux priorités essentielles. En tout cas, en deux semaines, le Béarnais a doublé son capital électoral, pasant de 7 à 14% dans le sondage Opinion-Way-Les Echos-radio Classique et de 7 à 11% dans celui du Journal du Dimanche, tandis que Marine Le Pen progresse à 20%, réalisant ses meilleurs scores dans les catégories ouvriers (35%) et actifs (35-49 ans), la cible du fameux slogan sarkozyen « travailler plus pour gagner plus ».

    On dira, et on aura raison, que tout ça est encore de la communication. Daniel Cohn-Bendit a déclaré voici quelques mois qu'en des temps aussi incertains que ceux que nous vivons, les candidats ne se feront plus élire sur un programme - si rien n'est sûr rien ne peut être promis - mais sur une aptitude à affronter des situations difficiles. Bref, la personnalité, la confiance qu'elle suscite ou pas, deviendraient beaucoup plus convaincantes qu'un programme dont le candidats comme les électeurs savent désormais qu'il sera fonction des aléas de la conjoncture.

    Sans partager forcément cette vision - qui réduit considérablement le champ de la politique et de la démocratie - il faut reconnaître que le comportement des candidats - prudent, sauf Marine Le Pen, en matière de promesses - lui donne plutôt raison. Cette autre donnée renforce encore les chances des outsiders. Et celle de l'aventure que doit continuer à constituer une élection présidentielle, donnant à tous les candidats la possibilité de proposer et d'être entendu. Sinon, autant installer tout de suite Jean-Claude Trichet à l'Elysée, à l'instar de ce qui s'est passé en Italie ou en Grèce. Ou, plus sérieusement, s'attendre à un fort taux d'abstention.

    Si, dans les semaines qui viennent, la campagne devait donner plus de crédit au pronostic de Dominique Paillé, nous aurions alors quatre candidats dans une fourchette allant de 17 à 23%. Qui donnerait une seconde jeunesse à la formule de Coluche : « la France n'est pas coupée en deux, elle est pliée en quatre ».

    Philippe Cohen (Marianne2.fr, 2 janvier 2012)

     
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  • Notre histoire de France...

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    Le numéro de décembre 2011 de la revue Le spectacle du monde est en kiosque. 

    Le dossier est consacré à l'histoire de France. On pourra y lire , notamment, des articles d'Alain de Benoist ("Pourquoi l'histoire ?"), de Jean-Marie Le Pen ("Jeanne d'Arc"), de François Bayrou ("Henri IV"), de Jacques Vergès ("Abd el-Kader"), de Ghislain de Diesbach ("Ferdinand de Lesseps"), de Marie-France Garaud ("L'élection du président de la République au suffrage universel") ou de Dominique Venner ("L'insolence des anarchistes de droite"), ainsi qu'un entretien avec Pierre Nora ("Va-t-on transformer la France en musée de la France ?").

    Hors dossier, on pourra aussi lire des articles d'Alexandre Grandazzi ("Europe, la Hanse, préfiguration de l'Union ?"), de Philippe Barthelet ("Le «noble jeu» d'André Malraux") ou de Jean-François Gauthier ("Franz Liszt, un bouquet d'Europe"). Et on retrouvera aussi  les chroniques de Patrice de Plunkett et d'Eric Zemmour ("Le parti des tricheurs").

     

     

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