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xavier eman - Page 13

  • Le Hussard à la faculté...

    Après Bruno Favrit, Alain Sanders, et Xavier Eman, Bruno Lafourcade, avec la complicité des éditions Auda Isarn, nous livre une nouvelle aventure du Hussard intitulée Le Hussard retrouve ses facultés. Écrivain de talent, Bruno Lafourcade a publié ces deux dernières années, deux romans, L'ivraie (Léo Scheer, 2018) et Saint-Marsan (Terres de l'ouest, 2019) ainsi que deux pamphlets, Les nouveaux vertueux (Jean-Dézert, 2017) et Une jeunesse, les dents serrées (Pierre-Guillaume de Roux, 2019). Pour la rentrée, il publie, outre ce polar,  un roman, Tombeau de Raoul Ducourneau, aux éditions Léo Scheer.

    Lafourcade_Le Hussard retrouve ses facultés.png

    " Lola a encore disparu. Julien Ardant, dit le Hussard, n’a qu’une piste pour la retrouver : Bordeaux, où sa petite protégée prépare l’examen d’entrée à la fac de Lettres. Justement, cette fac est “bloquée” par des étudiants mi-squatteurs mi-punks à chiens : ont-ils un rapport avec la disparition de Lola ? Un coup de fil au fidèle Léopold, et voilà les deux amis débarquant gare Saint-Jean, où rien ne passe comme prévu évidemment : très vite, on navigue entre barbouzes, militants identitaires, professeurs d’université et même sexothérapeutes. Cette fois, pour retrouver Lola, Julien devra d’abord retrouver ses facultés, dans les deux sens du mot. "

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  • Réinformation ?...

    Nous vous livrons ci-dessous une chronique d'humeur de Xavier Eman, cueillie sur son blog A moy que chault ! et consacrée à la nécessité de la réflexion critique y compris lorsqu'elle porte sur "notre" camp...  Animateur du site d'information Paris Vox , rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur d'un recueil de chroniques intitulé Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016) et d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019).

     

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    Réinformation ?

    Lorsque, il y a maintenant pas mal d’années, j’ai commencé à travailler sur divers supports de « réinformation », on m’a fort justement expliqué que celle-ci ne devait pas être une « désinformation inversée »,  ni le « négatif » de la propagande officielle, pas plus qu’une  volonté d’afficher une illusoire et tarfuffe «neutralité» mais la recherche d’une permanente « honnêteté », une volonté  d’« exactitude » dans le traitement de l’information, l’application d’un sourcilleux sens critique ainsi que l’art de la prise de distance et de la mise en perspectives. Or il s’avère que si ce louable programme est relativement aisé à mettre en place pour traiter des informations  venant de "l’adversaire", il est beaucoup plus ardu à appliquer – et beaucoup moins bien accepté – dès lors qu’il s’agit de se pencher sur les faits, propos et gestes « de notre camp » (concept d’ailleurs très flou  dont certains ont une acceptation très extensive…).

    En effet, dès que c’est « de chez nous », plus de place pour la réflexion, l’analyse des faits, les constats objectifs, seuls sont tolérés l’acclamation enthousiaste, le soutien aveugle, la louange enamourée,  la défense hargneuse, becs et ongles, mensonges et omissions à l’appui s’il le faut. Toute critique devient une trahison,  tout bémol un crime de lèse-majesté et le travail habituellement tant vantée de « réinformation » devient une œuvre de « dénigrement », odieusement « pessimiste » et décourageante. Tenter d'introduire de l’intelligence et de la mesure, c’est saper la cause ! Car comme jadis il ne fallait pas désespérer Billancourt, aujourd’hui il ne faut pas déranger la quiétude béate du « patriote » ! Car le "patriote" se moque bien des idées, il veut des slogans, il se contrefout des faits tant qu’il a de beaux discours, il ne lit pas les programmes puisque qu’il ne veut qu’applaudir des idoles… A ce titre les figures de Matteo Salvini et Marion maréchal sont archétypales.  Egarez-vous à tenter une analyse  froide et factuelle de ces deux phénomènes et vous serez bien vite rattrapé par la patrouille des godillots et des fanatiques à front bas ! D’ailleurs pourquoi vouloir s’intéresser ainsi à la réalité ? Vous n’êtes qu’un triste sire, nourri par l’aigreur et le ressentiment, qui n’a pour seul but que de doucher les exaltations du bon peuple de droite ! Salaud ! Crevure ! Nul doute que vous serez en bonne place sur la liste des tondus de la future (et imminente !) grande libération libérale-conservatrice !

    Peu importe, par exemple, qu’il n’y ait jamais eu autant d’immigrés en Italie qu’aujourd’hui, que l’on confonde le nombre d’arrivées en bateau et le nombre global d’arrivées d’immigrés (qui, surprise !, viennent parfois par d’autres voies ! Comme en France par exemple…), que l’on soit en train de sacrifier les réformes sociales au profit d’un rapprochement avec la droite affairiste… tout cela ne compte pas, n’a aucun intérêt, la seule chose qui compte c’est que le « personnage médiatique » du ministre de l’intérieur italien nous plaise et nous excite.  Il irrite les chroniqueurs de Libération, cela nous suffit bien. Il est des nôôôôtres, il a été traité de facho comme les auuuutres ! 

    Pourtant il ne s'agit nullement de diffamer ni "d'attaquer" Matteo Salvini, sympathique et courageux à bien des égards, mais simplement de se pencher sur l'application concrète (ou non) de ses promesses de campagne, sur ses forces et ses faiblesses, de jauger l'efficience de sa politique, d'interroger sa marge de manoeuvre vis à vis de l'UE et de ses partenaires européens, ses évolutions, ses changements de stratégie...  Toutes choses non seulement utiles mais indispensables à une véritable pensée - et donc action - politique. Mais non! Tout cela est de la branlette, de l'enculage de mouche, du mauvais esprit et au final du sabotage pour tous nos vaillants sectateurs de l'homme providentiel, les adeptes de la divine surprise, les adorateurs de la nouvelle Jeanne d'Arc ou du sauveur étranger qu'il faut suivre comme un seule homme, sans discuter ni poser de question. 

    Or ce militantisme  à la fois borné et exacerbé, extrémisé, hystérisé, allergique aussi bien à l’analyse qu’à la nuance, n’a rien de « radical ». Tout au contraire. Il se contente de patauger joyeusement dans l’écume médiatique alors que pour prétendre influer sur le réel, il faut d’abord accepter de s’y confronter, et ce dans toutes ses dimensions, pas seulement celles qui nous « conviennent », qui flattent nos egos ou entretiennent nos illusions.

    Xavier Eman (A moy que chault, 23 août 2019)

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  • Macron, la grande dérive autoritaire et liberticide...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°179, août 2019 - septembre 2019) est en kiosque !

    A côté du dossier consacré à la dictature du droit, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, des entretiens, notamment avec l'économiste François Lenglet, l'écrivain Edouard Limonov, les politologues Jérôme Fourquet, Pierre Vermeren et Michel Drac ou le romancier Bruno Lafourcade, et les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin et d'Yves Christen...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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    Au sommaire :

    Éditorial           

    Tourisme, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    François Lenglet :  « Non, le libre-échange ne mène pas nécessairement à la paix », propos recueillis par Alain Lefebvre

    Cartouches

    Le regard d’Olivier François : Requiem pour Saint-Marsan

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Le renversement du monde, par Hervé juvin

    Champs de bataille : Les Tercios meurent à Rocroi (I), par Laurent Schang

    Théâtre : Louis XIII ou La Conspiration de Cinq-Mars, par Michel Marmin

    Nos figures : L'humoriste, par Bruno Lafourcade

    Économie , par Guillaume Travers

    Bestiaires : Les sciences cognitives découvrent le chat, par Yves Christen

    Sciences

    Le combat des idées

    Le mal français : l'analyse de Jérôme Fourquet et Pierre Vermeren, propos recueillis par François Bousquet et Thomas Hennetier

    En finir avec le bougisme, par Jean-Philippe Antoni

    Le chanoine Rosanvallon, l'hiver de la Deuxième gauche, par Fabrice Moracchini

    Islamophobie : les vérités dérangeantes de Philippe d'Iribarne, par Pascal Esseyric

    Entretien avec Bruno Guigue : Trump et les néo-conservateurs, propos recueillis par David L’Épée

    La haine du peuple à travers les âges, par Pascal Esseyric et David L’Épée

    Les Gilets jaunes vus de gauche, par David L’Épée

    Guillaume Tell en père des Gilets jaunes, par Pascal Esseyric

    Les années 1970 qu'on aime, par Olivier François

    Les muses de Ludovic Maubreuil, par Pascal Esseyric

    Nous les avons tant aimées, nos neuf muses, par Ludovic Maubreuil

    Entretien avec Moritz Gerber : Turenne sur la selette, propos recueillis par Laurent Schang

    Bruno Lafourcade, entrepreneur de démolitions, propos recueillis par Olivier François

    Edouard Limonov, confidences et souvenirs d'un national-bolchevik, propos recueillis par François Bousquet et David L’Épée

    Une nouvelle génération de revues à découvrir, par David L’Épée

    Un hommage inspiré aux romans d'aventure, par Michel Marmin

    Un voyage au bout de l'Enfer de Dante avec Michel Orcel, propos recueillis par Michel Marmin

    Orwell, un coeur rebelle, par Michel Loussouarn

    Dossier

    Macron décrypté

    Macron, le pouvoir absolu de l'empire du management, par Slobodan Despot

    L'éclairage au laser de Michel Drac sur le macronisme, propos recueillis par Pascal Esseyric

    Le blanquérisme, avatar éducatif du macronisme, par Roger Chudeau

    Macron, une dérive autoritaire, par Eric Werner

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Un païen dans l'église : Saint-Loup-de-Saintonge, par Bernard Rio

    Séries télé &politique : Black Mirror, par Xavier Eman

    L'anti-manuel de philosophie : la pluralité des cultures, par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : la villa du Casale, par Anne-Laure Blanc

    C’était dans Éléments : hommage à Salvador Dali, par Arno Breker

    Éphémérides

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  • Fin de la récré...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman, cueilli sur son site A moy que chault ! et consacré au rôle de l'Education Nationale dans la fabrication à la chaîne de crétins lobotomisés et soumis... Animateur du site d'information Paris Vox , rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et collaborateur de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur d'un recueil de chroniques intitulé Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016) et d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019).

     

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    Fin de la récré

    La liberté d’expression dans l’espace public est en voie d’éradication. Ce n’est pas un nouveau  fantasme complotiste mais un simple et froid constat que tout un chacun peut faire en se penchant notamment sur la loi dite « contre la haine en ligne » actuellement en cours de vote au Parlement … Entre autres sympathiques facéties, celle-ci transfère à des opérateurs privés des pouvoirs qui jusque-là étaient octroyés aux juges…  Nous entrons donc aujourd’hui dans l’ère du contrôle à priori, de la censure « de précaution », et de la soumission automatique et désormais « légitime » à toutes les délations et les dénonciations « citoyennes »… « L’incitation à la haine » étant un concept si vaste, si fumeux, si subjectif, si imparfaitement défini, il apparaît d’évidence  qu’à peu près tout et n’importe quoi pourra être soumis à cette infamante définition. C’est bien d’ailleurs en ce sens que la loi a été pensée et écrite.

    Cette disparition programmée d’une liberté pourrait être terrible et tragique… Ce n’est finalement qu’anecdotique. Car en effet à quoi bon légiférer contre la liberté d’expression dans une société où plus personne n’a rien à exprimer, où plus personne bientôt n’aura même les moyens intellectuels de former et  de formuler une idée ?

    Le vrai drame n’est en effet pas le nouvel épisode de la grande saga des lois liberticides, qui, si scélérates soient-elle, ont toujours produit leurs propres contestations, oppositions et remises en cause…  Non, la véritable – et sans doute définitive – défaite, c’est la disparition généralisée, générationnelle, de l’intelligence, de la culture et du sens critique… Ce ne sont ni les députés vendus ni les juges larbins qui assassinent de façon rédhibitoire la pensée dissidente et la liberté d’expression, c’est bel et bien l’Education nationale. Priver les gens de leurs capacités de réflexion et de d’expression est un moyen d’asservissement beaucoup plus efficace, d’un point de vue radical et totalitaire, que chercher à sanctionner ou réprimer la dite pensée.

    Nos politiciens, leurs cornacs oligarchiques comme leurs domestiques magistrats, ne sont en fait que des gens trop pressés. Ils pondent encore des lois pour accélérer l’avènement d’une situation qu’encore deux générations de « citoyens » obligatoirement  lobotomisés de 3 à 20 ans leur apporteront inéluctablement… L’observation du bac 2019 est à ce sujet particulièrement révélatrice… Le niveau n’est même plus affligeant, il est d’une certaine façon sublime de nullité… Et quoi de plus facile que de régner sur une population de crétins de cet acabit ? Aux trois quarts illettrés, incapables de placer Napoléon et Charlemagne dans le temps, déstructurés, accrocs à Insta et aux écrans, n’aspirant qu’à une réussite purement matérielle, s’amusant de leur propre sottise, curieux de rien, veules et drogués…  Encore mieux que des esclaves puisque nos néo-bacheliers sont pour leur part satisfaits et volontaires…  Aucun mépris d’ailleurs  dans ce constat car ce ne sont bien sûr que des victimes d’un plan organisé mis en place depuis des décennies, et dont  tous les adultes ou parents que nous sommes sont partiellement complices…  

    La grande machine à décérébrer et à émasculer intellectuellement qu’est l’Education Nationale depuis 40 ans est en tout cas  aujourd’hui en phase de pouvoir se prévaloir d’avoir atteint l’objectif pour lequel des milliards lui ont été versés : créer une nouvelle race « d’hommes », la grande armée des zombies consuméristes, gigantesque dégueulis d’abrutis vulgaires et hautains, aussi prétentieux que geignards et pleurnichards, ayant le caractère au même niveau que leur bagage intellectuel, bloqué au début de la petite enfance, pour ne pas dire au stade anal.

    Avec eux, plus besoin de lois, de juges, de condamnations, de mitards et de matons… Leur vide est leur plus  efficace geôlier et ils ne pourront jamais être tentés par une quelconque pensée divergente puisque – faute d’instruments, de connaissances, de vocabulaire, de lectures, d’entraînement…-  le concept même de penser leur sera devenu inaccessible. Au mieux (au pire) - en cas d’échec social ou de cassure psychologique- ils aboieront des slogans simplistes et caricaturaux, glapiront une « haine » pour le coup bien réelle, seul sentiment désormais à leur portée, sombreront dans une violence nihiliste et seront alors le repoussoir idéal tout autant que le matériau parfait de toutes les manipulations…

    Xavier Eman (A moy que chault ! , 6 juillet 2019)

     

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  • Pour en finir avec la dictature du droit...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°178, juin 2019 - juillet 2019) est en kiosque !

    A côté du dossier consacré à la dictature du droit, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, des entretiens, notamment avec l'écrivain Andreï Makine, le dessinateur Jacques Terpant, le philosophe Denis Collin, le critique d'art Didier Rykner, les avocats Eric Delcroix et Nicolas Gardères, le juriste Bertrand Mathieu et le cinéaste Paul Vecchiali, et les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin et d'Yves Christen...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

     

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    Au sommaire :

    Éditorial           

    L'immigration, problème politique, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    Andreï Makine :  « La France a toujours su résister », propos recueillis par Alain Lefebvre

    Cartouches

    Le regard d’Olivier François : Messier rend libre

    Nom de dieu de bordel de merde ! Jean-Pierre Marielle est mort

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    « Tous les mêms, tous les mêmes ! », par Hervé juvin

    Champs de bataille : Kobarid  = Caporetto, par Laurent Schang

    Expo : Cinquante nuances de rouge, par David L'Epée

    Économie , par Guillaume Travers

    Bestiaires : Halte à la mort des cultures animales, par Yves Christen

    Sciences

    Le combat des idées

    Chine, la revanche de l'Etat total : entre Confucius et Orwell, par Slobodan Despot

    Entretien avec Jacques Terpant, la légende dorée de Raspail, propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    La fin du populisme de gauche, par François Bousquet et Pascal Esseyric

    Andréa Kotarac, un Insoumis vraiment insoumis, propos recueillis par François Bousquet

    Entretien avec Denis Collin : après la gauche, la nation ? , propos recueillis par David L'Epée

    Lire Christopher Lasch avec Renaud Beauchard, propos recueillis par Alain de Benoist

    La fin du dollar roi : rendez l'argent ! , par Guillaume Travers

    Notre-Dame de paris, le cri d'alarme de Didier Rykner, propos recueillis par Alix Saint-Clare

    Bienvenue à Francoland ou l'anti-franquisme rétroactif, par Rodrigo Agulló

    Éloge de la marche et des chemins creux, par Bernard Rio

    Viva Cinecittà ! L'âge d'or du cinéma italien, par Michel Marmin

    Paul Vecchiali, une vie de cinéma, par Ludovic Maubreuil

    Paul Vecchiali : « Danielle darrieux, ma plus belle histoire d'amour » , propos recueillis par Ludovic Maubreuil

    Le cinéma nietzschéen d'Agnès Varda, par Michel Marmin

    Jean-Michel Vivien et Patrick Bouts : On a retrouvé les Indo-Européens ! , propos recueillis par Thomas Hennetier

    Isaac Babel et l'épopée soviétique, par Olivier François

    La perfection de la technique de Friedrich-Georg Jünger, par François Bousquet

    Dossier

    Les juges contre la démocratie

    La tyrannie des juges ? On y est déjà ! , par Alain de Benoist

    Le face-à-face des avocats Eric Delcroix et Nicolas Gardères, propos recueillis par Nicolas Gautier et Pascal Esseyric

    Bertrand Mathieu : la guerre du droit contre la démocratie, propos recueillis par Thomas Hennetier

    Le pouvoir des juges entre immunité et impunité, par Aristide Leucate

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Un païen dans l'église : Notre-dame de Lusignan, par Bernard Rio

    L’esprit des lieux : Détour en Crimée, par Christophe A. Maxime

    C’était dans Éléments : Jean-Claude Albert-Weil au pays des Soviets, par François Bousquet et Olivier François

    Éphémérides

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  • Les snipers de la semaine... (181)

    Poutine_Sniper 2.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Acrimed, Jean Pérès dézingue la caste médiatique qui a condamné sans preuve le mouvement des Gilets jaunes pour antisémitisme...

    Antisémitisme : les gilets jaunes convoqués devant le tribunal médiatique

     

    Gilets jaunes_Antisémitisme.jpg

    - à propos d'un fait divers médiatique, l'agression d'un travesti par des manifestants algériens sur la place de la République, Xavier Eman et Bruno Lafourcade sortent la sulfateuse...

    Phase terminale

    Les Hyppolite

    Travesti vs Algériens.jpg

     

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