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nicolas gauthier - Page 2

  • La Meute : procès Mélenchon et règlements de comptes à l’extrême gauche...

    Nous reproduisons ci-dessous la chronique politique de Nicolas Gauthier cueillie sur le site de la revue Éléments, qui revient sur l'enquête consacrée à Jean-Luc Mélenchon et à LFI qui vient d'être publiée et qui fait grand bruit.

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    La Meute : procès Mélenchon et règlements de comptes à l’extrême gauche

    Le microcosme politico-médiatique a parfois des émerveillements d’enfant, telle qu’en témoigne la sortie de La Meute, l’essai de Charlotte Belaïch et Olivier Perou (Flammarion), consacré à Jean-Luc Mélenchon et à la manière dont il dirige son parti « gazeux », La France insoumise. Ainsi y apprend-t-on que la Méluche se comporterait en autocrate et que les insoumis n’auraient que cette alternative : se démettre ou se… soumettre. Le trotskisme serait donc violent, surtout dans sa variante lambertiste ? Décidément, on nous cache tout et on ne nous dit rien.

    Notons que les deux auteurs ne sont pourtant pas les perdreaux de l’année, Charlotte Belaïch officiant à Libération et Olivier Perou au Monde. Alors, de deux choses l’une : ce qu’ils font mine de dévoiler, ils l’ignoraient et les perdreaux en question font figure de pintades ; ou ils le savaient depuis belle lurette et ce sont des faisans. Car tout cela est quasiment tombé dans le domaine public depuis la création de l’Organisation communiste internationaliste (OCI), par Pierre Boussel (dit Lambert), le 23 novembre 1953. Rappelons que l’’OCI, lointain ancêtre de LFI, fut longtemps la grande rivale de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), dont Alain Krivine demeure la figure historique. De leur côté, les “lambertistes” de l’OCI sont en lutte permanente contre la LCR, les “pablistes”, du nom de Michel Raptis, l’un de ses fondateurs, dit “Pablo”. Ce qui peut expliquer certaines choses.

    Les purges comme une seconde nature…

    À ce jeu, scissions, purges et exclusions ont toujours été leur passe-temps favori. Dans Le trotskisme dégénéré*, Patrick Gofman, repenti de l’OCI, et désormais bien connu des auditeurs de Radio courtoisie, affirme « qu’à propos de la LCR, on parlait des pédés de la Ligue ». Ce dernier ne sera pas récompensé de son zèle dialectique, quand foutu dehors du Parti à coups de manche de pioche pour avoir écrit un roman sans autorisation de la direction. L’ouvrage ne brillait pourtant guère par ses prétentions révolutionnaires, puisqu’intitulé : Les Blondes préfèrent les cons. C’est dire l’ambiance festive. En effet, si les “pablistes”, sont plus impliqués dans les luttes sociétales, immigrés, cannabis et homosexuels en vente libre ; les “lambertistes” privilégient un combat social, autrement plus austère. À côté, Lutte ouvrière (le troisième compère trotskiste emmené par Arlette Laguiller), c’était Woodstock.

    Cela n’a pourtant pas empêché un Jean-Luc Mélenchon ou un Jean-Christophe Cambadélis de rallier le Parti socialiste, ces « sociaux-traitres » honnis entre tous, au mi-temps des années 80. François Mitterrand, lui, savait qui “ils” étaient ; tout comme il n’ignorait pas plus que Lionel Jospin venait de la même écurie. La droite de gouvernement, aux fraises comme toujours, ne comprenait rien à ce micmac passablement talmudiste. Rien de plus normal pour elle : l’économie étant la seule discipline sérieuse, alors que la culture et la politique, simple hobby, on pouvait l’abandonner à la gauche en toute quiétude. Toujours visionnaires, les lascars…

    Résultat ? Mélenchon, un trotskiste au Sénat, ce qui fait à peu-près aussi tache sur un CV avant-gardiste que le financement du trotskisme européen par la CIA, par le biais du syndicat Force ouvrière d’André Bergeron, histoire de lutter contre l’influence soviétique. Mais voilà qui n’a pas empêché les camarades de jadis de continuer le combat sous d’autres formes, les temps ayant bigrement changé.

    L’immigration, le peuple de remplacement…

    Le premier à avoir fait ce constat demeure Jean-Luc Mélenchon : les luttes sociales ont fait leur temps, depuis que les ouvriers ont trahi le prolétariat en demandant asile politique au Rassemblement national. Comme on sait, l’immigration fera figure de peuple de remplacement. Un combat qu’Edwy Plenel (LCR), a longtemps porté au Monde, avant de le poursuivre à Mediapart, tandis que son meilleur ennemi « lambertiste » faisait de même dans les urnes. Tout aussi logiquement, les voilà une fois de plus réunis dans leur compagnonnage avec ces Frères musulmans, souvent et non sans raison, tenus pour être les « trotskistes de l’islam ». Mais ce compagnonnage ne saurait occulter les luttes ancestrales.

    Et ce n’est sûrement pas pour rien que les deux auteurs de ce cet essai en peau de lapinou viennent du Monde et de Libération. Avec Edwy Plenel, ce premier quotidien fut longtemps l’une des chasses gardées de la Ligue, tandis que le second n’a jamais renié ses origines maoïstes, autre tribu de l’extrême gauche française. Une véritable histoire de famille, en quelque sorte. Mais alors, pourquoi tant de haine ?

    Il y a évidemment la question de l’antisémitisme. Au défunt Daniel Bensaïd, juif sépharade et idéologue de la LCR, on a souvent prêté cette phrase : « Si je n’avais été là, les bureaux politiques de la Ligue auraient pu se tenir en yiddish… » Nombre de ses coreligionnaires d’alors sont devenus néo-conservateurs ; soit le contraire d’un Jean-Luc Mélenchon, dont le moins qu’on puisse prétendre est qu’il ne caresse pas actuellement l’État hébreu dans le sens du poil. De ce fait, l’extrême gauche se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins, tant l’antisionisme de LFI et de ses alliés islamistes flirte dangereusement avec le traditionnel antisémitisme de gauche. Le gourou insoumis aurait-il été trop loin en ce registre plus que glissant ? Craindrait-il de subir le même sort qu’un Jeremy Corbyn, son homologue anglais, chassé du mouvement travailliste pour de semblables raisons ? La question mérite d’être posée.

    Des purges sans fin…

    Voilà qui expliquerait la raison de la promotion de ce livre, vanté par tous les médias de gauche dominants, alors qu’il ne révèle finalement pas grand-chose, l’histoire de la France insoumise ayant toujours été celle d’une purge sans fin. Du temps du gourou Pierre Lambert, il y eut des Charles Berg et des Stéphane Just. Au siècle d’après, les éléments souverainistes ont ouvert les festivités, Georges Kuzmanovic et consorts, puis le couple Alexis Corbières et Raquel Garrido ; sans oublier les autres, partis avant d’être chassés, Clémentine Autain et François Ruffin. Si, comme on dit, le loup est un loup pour l’homme, il peut aussi arriver que les rats se bouffent entre eux.

    Nicolas Gauthier (Site de la revue Éléments, 13 mai 2025)

     

    *https://francephi.com/livre/le-trotskisme-degenere

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  • Les anars de droite...

    Le magazine Valeurs actuelles publie un nouveau numéro hors-série intitulé Les anars de droite. Un numéro introduit par Olivier Dard dans lequel on trouvera notamment des articles de Jean-Jacques Mourreau, d'Olivier Maulin, de Nicolas Gauthier, d'Eric Letty, de Bruno de Cessole, d'Alexandre Nantas, de Jérôme Leroy et de Michel Marmin !...

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    " Ils ont été, de tout temps, les sonneurs de tocsin contre la décomposition et la déconstruction. Mais sans jamais se prendre au sérieux. Irrésistiblement français ! Et animés d’un goût prononcé pour la provocation…

    C’est aux anars de droite, écrivains, polémistes, artistes, qu’est consacré ce nouveau hors-série de Valeurs actuelles : du dandy précurseur Barbey d’Aurevilly aux répliques d’Audiard et piques de Desproges, de Céline à Brassens, des Hussards à Tesson, en passant par Bloy et Raspail, Gérard de Villiers, le père de SAS, BB et Sardou… Un dossier présenté par l’historien Olivier Dard. "

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  • L'Histoire interdite, la suite...

    Le magazine Valeurs actuelles publie un nouveau numéro hors-série intitulé L'Histoire interdite. Un numéro dirigé par Arnaud Folch dans lequel on trouvera des articles de Jérôme Besnard, d' Eric Letty ou de Nicolas Gauthier.

     

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    " Après le formidable succès, il y a un an, de L´Histoire interdite 1ère partie, présentée par Jean Sévillia, voici enfin la suite ! 132 pages de faits, de portraits et d´évènements de toutes les époques occultées par l´histoire officielle et étayés par de nombreux documents inédits, allant à rebours du wokisme et du "politiquement correct". Le tabou des "intellectuels" de gauche pro-pédophiles ; De Proudhon à Jaurès, les socialistes antisémites ; l´épopée des croisades ; Louis XVI réhabilité ; Le "Who´s who" de la Francisque ; Darlan, l´assassinat mystère ; Les SAS en Algérie, au service de la population ; l´Odysée sanglante des barbouzes ; De Gaulle et le comte de Paris ; entretiens secrets ; Le faux attentat de Mitterrand ; Pierre Goldman, le braqueur héraut de la gauche ; Giscard-Chirac, les coulisses d´une guerre... "

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  • Macron est-il un Président « normal » ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Nicolas Gauthier cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré à l'état psychologique d'Emmanuel Macron...

     

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    Le doute commence à gagner ses partisans : Macron est-il un Président « normal » ?

    Y aurait-il un problème Macron, psychologiquement s’entend ? On est en droit de se le demander, tant ça se murmure des comptoirs de bistrot jusque dans les colonnes du Figaro. Bref, grande est l’impression que le premier des Français a tendance à exercer le pouvoir dans une solitude grandissante et de plus en plus aléatoire.

    Ainsi, quand il s’adresse directement aux Français, lors du Salon de l’agriculture, c’est un peu comme s’il se parlait à lui-même. À ce détail près qu’en la circonstance, Emmanuel paraît contredire Macron, tel qu’en témoigne l’invitation lancée aux Soulèvements de la Terre, annulée au dernier moment pour éviter que le dialogue promis avec les syndicats paysans ne tourne à la foire d’empoigne.

    D’invitation officielle, il n’y aurait donc pas eu. Enfin si, tout de même un peu, cette association écologiste assurant l’avoir reçue ; ce qui est plus que plausible. De deux choses l’une : ou Emmanuel Macron a demandé à ses services d’envoyer ladite invitation ; et, du coup, il ment. Ou ces derniers l’ont fait sans le consulter, et cela ne fait pas très sérieux.

    Un perpétuel pas de deux

    La même remarque vaut pour ce qui est de savoir si le Rassemblement national fait partie ou non du fameux « arc républicain ». Pour Emmanuel, c’est oui. Mais pour Macron, c’est non, à en croire l’entretien accordé à L’Humanité, à l’occasion de la panthéonisation de Missak Manouchian ; tandis qu’histoire de faire bonne mesure, son Premier ministre, Gabriel Attal, affirme dans l’intervalle que le RN fait bel et bien partie de l’arc en question.

    Du coup, Patrick Vignal, député Renaissance de l’Hérault, avoue au Figaro : « Emmanuel Macron est un Président brillant, qui travaille beaucoup et dort peu. Mais il ne peut pas tout faire, être à la fois Président, ministre, parlementaire, maire et président de conseil départemental. Disons qu’il a un excès de générosité dans sa volonté de régler les problèmes. » Voilà qui est élégamment suggéré, mais qui laisse aussi entrevoir le malaise grandissant des proches du pouvoir, selon une source qui se réfugie dans l'anonymat : « Pour la première fois, dans des cercles macroniens, la question du comportement du Président est clairement posée. Il y avait un tabou et il est levé. »

    Il est vrai que la nomination de Gabriel Attal fut le fait du prince, alors que son premier cercle - Richard Ferrand, ancien président de l’Assemblée nationale, au premier chef - était vent debout contre. Il est tout aussi vrai que le remaniement ministériel y afférent fut un autre grand moment d’amateurisme, avec la nomination d’Amélie Oudéa-Castéra à l’Éducation nationale, avant de s’en faire débarquer quelques semaines plus tard.

    Et que dire d’une Valérie Hayer, catapultée en tête de liste du parti présidentiel, parfaite inconnue dont les premières interventions médiatiques seraient... comment dire... plus que balbutiantes ?

    Une politique internationale des plus brouillonnes…

    Mais encore ne s’agit-il là que d’affaires propres aux arrière-cuisines politiciennes. Car dans le domaine régalien, Emmanuel Macron s’est à deux fois surpassé. Tout d’abord en proposant la création d’une coalition internationale contre le Hamas, à la suite des événements du 7 octobre dernier, sans avoir au préalable consulté un seul de ses homologues. Résultat ? La France a été ridiculisée, tandis que le Quai d’Orsay était proprement consterné par une telle annonce.

    Puis cette autre sortie, lancée encore sans la moindre concertation avec les autres chefs d’État du bloc occidental, selon laquelle l’envoi de troupes au sol en Ukraine pourrait être une hypothèse à ne pas négliger.

    Une fois de plus, la France devient la risée du monde. Celle de Vladimir Poutine et des chefs d’État du « Sud global » ; soit ces nations représentant plus de la moitié de la planète. Mais également celle de nos alliés présumés : Allemagne, Italie, Royaume-Uni et même Pologne... c’est dire. Pire encore, ce sont les USA qui sifflent la fin de la récréation.

    D’où cette question qui doit tarauder les derniers de ses proches : cet homme est-il encore à la hauteur de sa fonction ? A-t-il aussi un problème d’ordre psychologique ? Est-il en proie à un sentiment de puissance allié à des troubles dysfonctionnels ? Cette question que personne n’osait poser, il y a encore quelques mois, devient donc de plus en plus insistante. Des voix se lèvent. Elles se lèvent d’autant plus fort que la prochaine échéance présidentielle est dans trois ans, que le résident de l’Élysée ne sera pas en mesure de se représenter et que la fidélité au « marcheur » se fait chaque jour plus relative. D’où, peut-être, ce comportement des plus désordonnés qui est en train de devenir sa marque de fabrique, la perspective de peut-être devoir remettre un jour les clefs du château à une certaine Marine Le Pen n’arrangeant rien.

    Outre-Atlantique, on appelle ça le « syndrome Barack Obama », obligé de léguer celles de la Maison-Blanche à Donald Trump. On serait survolté et dépressif à moins, surtout pour un homme pas tout à fait connu pour être né le jour de la Saint-Modeste.

    Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 6 mars 2024)

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  • Onze événements qui ont changé le monde !...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°204, octobre - novembre 2023) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à onze événements qui ont changé le monde, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Jean-Marc Berlière, Bernard Lugan, Jean Szlamowicz, Fabrice Balanche, Marco Tarchi, Nicolas Battini  et Hubert Calmettes...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non et de Slobodan Despot...

     

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    Au sommaire :

    Éditorial
    Oui, la démocratie – Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Jean-Marc Berlière. Vichy a-t-il protégé les Juifs nés Français ? Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Cartouches
    L’objet disparu: les disques pirates – Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance – Par Xavier Eman

    Cinéma: Richard Fleischer, un maître oublié – Par Nicolas Gauthier

    À bientôt, Jacques Julliard ! Par Alain de Benoist

    Curiosa Erotica: pourquoi aimons-nous tant les lesbiennes? Par David L’Épée

    Champs de bataille: Portugal, petit pays, grand empire (2) – Par Laurent Schang

    Les Diafoireux (2e partie) – Par Bruno Lafourcade

    Le droit à l’endroit: la police ou la violence par essence – Par Aristide Leucate

    Vingt-cinq ans avec Éléments! – Le regard d’Olivier François

    Économie – Par Guillaume Travers

    Bestiaire: le rire est le propre du rat – Par Yves Christen

    Sciences – Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    Bernard Lugan: « Si je devais provoquer quelqu’un en duel, ce serait Edwy Plenel » – Par François Bousquet

    Les leçons de Julien Freund: symptomatologie de la décadence – Par Laurent Vergniaud

    L’âge de fer de la décadence – Par Julien Freund

    Marco Tarchi: « Meloni n’a pas respecté ses promesses en matière d’immigration » – Propos recueillis par Alain de Benoist

    Véra Nikolski contre le « féminisme de la doléance » – Par David L’Épée

    Jean Szlamowicz: « Le jargon inclusiviste ne décrit pas, il incrimine » – Propos recueillis par Olivier François

    Fabrice Balanche: Syrie, Liban et Irak au révélateur ethno-religieux – Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Salade russe: des Français sur le front – Par Christian Rol

    Nicolas Battini: pour une critique positive du nationalisme corse – Par Pascal Eysseric et Patrick Lusinchi

    Le retour en grâce des Seiz Breur, renouveau des arts bretons – Par Alain Lefebvre

    Hubert Calmettes: le marketing de la dissidence face à la propagande – Propos recueillis par François Bousquet

    Charlotte & Jane: jumelles contraires – Par Christophe A. Maxime

    Jean Dutourd, immortel français – Par Thomas Hennetier

    Dossier
    Onze dates qui ont changé la face du monde

    La domestication du cheval en Europe: – 3000 – Par Gabriel Piniés

    La conversion de saint Paul et l’invention de l’universalisme: entre 31 et 36 – Par Lionel Rondouin

    La réforme grégorienne, aux origines de la « vue-du-monde » occidentale: 1075 – Par Guillaume Travers

    Le cadran et la naissance du temps quantifié: 1271 – Par Alain de Benoist

    Chute de Constantinople: Byzance invente les mathématiques: 1453 – Par Olivier Rey

    La mort de Charles le Téméraire changea le visage de l’Europe: 1477 – Par Laurent Schang

    Calvin et la naissance du capitalisme: 1536 – Par Thomas Hennetier

    Charles Darwin est passé aux aveux avec L’Origine des espèces: 1859 – Par Yves Christen

    Fascismes: ces hommes qui aimaient le nationalisme plus que la nation: 1933 – Par David L’Épée

    Avènement de la cybernétique, nouveau gouvernement du monde: 1947 – Par Baptiste Rappin

    Le regroupement familial et le Grand Renversement: 1976 – Par Renaud Camus

    Panorama
    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête: chants de travers – Par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique: Alexis de Tocqueville – Par Ego Non

    Les 50 ans d’Éléments: une revue pas comme les autres – Par Pascal Eysseric

    Éléments face à Woke-World – Par Michel Durance

    Quand les caricaturistes croquaient Éléments

    Dans les archives d’Éléments: 1979 : La réponse d’un directeur – Par Michel Marmin

    Éphémérides

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  • Chine - Etats-Unis : l'Europe grande perdante du nouveau partage du monde...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°200, février - mars 2023) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré aux séries télévisées, on découvrira l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec la philosophe Bérénice Levet,  l'ambassadeur de Chine en France, Lu Shaye, le spécialiste de l'intelligence économique Alain Juillet, le colonel suisse Jacques Baud, le philosophe politique Pierre-André Taguieff et Michel Marmin, bien connu des lecteurs de la revue...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Bernard Rio, d'Ego Non et de Slobodan Despot...

     

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    Éditorial

    Un nouveau paysage politique. Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    Bérénice Levet contre-attaque : l’esprit français contre le wokisme. Propos recueillis par François Bousquet

    Cartouches

    L’objet disparu : la 4L, voiture la plus populaire de France. Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance. Par Xavier Eman

    Carnet géopolitique : quand le monde se sépare. Par Hervé Juvin

    Cinéma : Yves Boisset, le dernier des vrais rebelles. Par Nicolas Gauthier

    Champs de bataille : bataille de Fontenoy, une guerre des nerfs (2/2). Par Laurent Schang

    Le saltimbank, 3e partie : capitaine Maroilles. Par Bruno Lafourcade

    Économie. Par Guillaume Travers

    Thomas Guénolé, la gauche telle quelle. Le regard d’Olivier François

    Bestiaire : lire les émotions animales, entendre pour comprendre. Par Yves Christen

    Sciences. Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    Chine-États-Unis : l’heure de la « bimondialisation ». Par Guillaume Travers

    Entretien avec Lu Shaye, ambassadeur de Chine en France. Propos recueillis par Pascal Eysseric

    Ci-gît le libre-échange : l’Europe face au protectionnisme des États-Unis. Par Georges Johanssen

    Alain Juillet : « Avec la guerre des devises, les difficultés économiques vont s’aggraver ». Propos recueillis par Daoud Boughezala

    La nouvelle gauche révolutionnaire : les illusions perdues du Comité invisible. Par Laurent Vergniaud

    Jacques Baud : les stratégies fatales de l’Occident en Ukraine. Propos recueillis par Laurent Schang

    Lecteurs d’Éléments, qui êtes-vous ? Par Alain Lefebvre

    Luc-Olivier d’Algange et Philippe Barthelet en quête de l’âme du monde. Par Olivier François

    Michel Marmin en état de poésie. Conversation avec Olivier François

    Pierre-André Taguieff : « J’ai horreur des dialogues interdits ». Propos recueillis par Olivier François

    Anachroniquement vôtre : histoire mondialiste de la Flandre. Par Gérard Landry

    Louis de Funès, le prince de Clermont tonnerre. Par Christophe A. Maxime

    Bruno Latour, la « cosmopolitique » à l’ère de l’Anthropocène. Par Élie Collin

    Dossier

    Géopolitique des séries

    Séries télévisées : brève histoire d’une défaite culturelle et géopolitique. Par Pascal Eysseric

    Quand les Français inventaient les séries. Par Lucien Chanteloup

    RDA, nid d’espions. Quand l’ostalgie souffle sur l’Allemagne. Par David L’Épée

    Ma vie devant Netflix. Par David L’Épée

    Volodymyr Zelensky, la fabrique d’un héros. Par David L’Épée

    Nos séries préférées. Le choix de la rédaction d’Éléments

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : la Vénérable et la Précieuse. Par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : José Ortega y Gasset. Par Ego Non

    Un païen dans l’Église : les serpents de Gigny. Par Bernard Rio

    La géographie sacrée selon Bernard Rio. Par François Bousquet

    C’était dans Éléments : Giorgo Locchi, l’homme du verbe. Par Alain de Benoist

    Éphémérides

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