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immigration - Page 68

  • Les naufrageurs au secours des naufragés...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur le site de la fondation Polémia et consacré à l'arrivée massive d'immigrés illégaux sur les côtes européennes depuis plusieurs semaines...

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    Les naufrageurs au secours des naufragés

    Il y avait déjà les migrants, voyageurs d’infortune entassés dans la jungle de Calais (Le Monde du 7 août 2014). Il y avait aussi, bien sûr, nos nombreux réfugiés, également candidats à l’Eldorado européen. Voici maintenant l’heure des naufragés, qu’il faut sauver de la noyade en Méditerranée.

    Le registre compassionnel relatif à l’immigration de peuplement se révèle, comme elle, intarissable. Pour le plus grand profit des véritables naufrageurs de l’Europe !

    Comme l’écrivait déjà J.J. Rousseau : « Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins. »

    C’est encore notre faute s’ils se noient

    L’Union européenne mobilise, nous dit-on, son dispositif Frontex en Méditerranée.

    Nous voilà rassurés : les étrangers qui tentent irrégulièrement de s’introduire par la mer sur le territoire européen pourront donc être secourus par les marines européennes. On évitera donc de nouvelles tragédies comme le souhaitent les Nations unies.

    C’est bien ce que nous disent aussi M. Cohn-Bendit et certains prélats catholiques : pour éviter les noyades il suffit d’accueillir plus facilement nos braves candidats à l’immigration. En d’autres termes notre politique, paraît-il trop restrictive, vis-à-vis de l’immigration provoque des drames. Donc c’est encore la faute de ces cochons d’Européens si des immigrés se noient en tentant d’entrer en fraude en Europe.

    Bon sang mais c’est bien sûr !

    Les migrations ne font que commencer

    Nous sommes tellement abreuvés de ce pathos tout à la fois compassionnel (vis-à-vis des immigrants) et culpabilisant (vis-à-vis des natifs européens) que l’on finirait pas perdre de vue l’essentiel, à savoir, d’abord, que la pression migratoire aux portes de l’Europe en provenance de l’Afrique ne fait que commencer.

    Les migrations résultent en effet de deux phénomènes : un effet pull et un effet push, comme disent les anglophones. L’effet pull (du verbe tirer) résulte de l’attirance du pays convoité par le migrant, parce qu’il semble lui offrir de meilleures opportunités. Les systèmes de protection sociale et de santé en Europe, sans équivalents dans le monde, constituent justement une puissante attirance. Il suffit pour s’en convaincre de fréquenter ces institutions.

    L’effet push (du verbe pousser) résulte des multiples raisons qui poussent un migrant à devoir quitter son pays d’origine.

    Les conséquences du chaos africain

    S’agissant des migrants originaires du continent africain, du nord comme du sud sahélien, la principale cause de l’effet push provient du chaos africain.

    En effet, même dans les prévisions les plus optimistes l’Afrique ne décollera pas avant au mieux les années 2050. Et cela, à la condition qu’elle régule sa population, ce qu’elle a, jusqu’à présent, toujours refusé de faire. Autant dire qu’il s’agit d’un optimisme de commande de la part des organisations internationales.

    Car le discours bisounours officiel sur le développement ou la croissance de l’Afrique ne saurait cacher que les seules choses qui croissent vraiment là-bas ce sont sa population, son instabilité politique, ses affrontements ethniques et religieux et le saccage de son environnement. Autant de facteurs durables de migration.

    Les migrations internes au continent africain ne cessent d’ailleurs d’augmenter aussi pour toutes ces raisons, ajoutant au chaos.

    Les naufrageurs à la rescousse des naufragés

    Le discours compassionnel que tient l’oligarchie sur les drames de l’immigration clandestine en Méditerranée sert une nouvelle fois à faire prévaloir l’émotion sur la réflexion. Afin de cacher la responsabilité écrasante des gouvernements européens au pouvoir depuis les années 1970 dans la crise migratoire actuelle.

    Car ce sont les gouvernements européens qui ont décidé la politique migratoire aberrante que nous connaissons aujourd’hui, pour complaire aux exigences du patronat qui souhaitait une main-d’œuvre meilleur marché et plus docile. C’est par exemple le gouvernement de Giscard d’Estaing qui a cédé sur le regroupement familial que réclamait le patronat et que G. Pompidou avait toujours refusé. Ce sont ces gouvernements qui ont construit une Union européenne bureaucratique et impuissante, sans frontières ni défenses. Ce sont eux qui ont donné le pouvoir aux juges immigrationnistes, nationaux ou européens.

    On ne saurait oublier également toutes les fausses bonnes raisons qui nous ont été assenées par ces mêmes gouvernements pour ouvrir la voie à l’immigration de peuplement. Rappelons-nous ce que l’on nous disait, par exemple, dans les années 1980 sur le fait que l’immigration permettrait de sauver nos systèmes de retraite ou de protection sociale ! L’immigration serait une chance et une richesse pour tous.

    Les naufrageurs autistes

    La classe politique européenne a au surplus fait preuve d’un autisme caractérisé face aux catastrophes engendrées par sa politique migratoire.

    Elle a refusé les avertissements des économistes sur les coûts sociaux induits des migrations. Comme elle a refusé de voir que l’assimilation de populations nombreuses et culturellement éloignées du modèle européen ne pouvait pas fonctionner. Comme elle a sous-estimé le péril islamiste, quand elle ne l’a pas encouragé, en contribuant à déstabiliser les gouvernements laïcs du Moyen-Orient.

    Le naufrage migratoire de l’Europe est donc son œuvre.

    Les naufrageurs hypocrites

    Mais les naufrageurs sont aussi des hypocrites.

    Ils cachent sous de nobles valeurs humanistes leur impuissance – à l’image de notre ministre de l’Intérieur qui, à Calais, regrette que pas assez de candidats à l’immigration ne demandent d’asile en France !

    La prédiction sinistre de Jean Raspail dans son roman Le Camp des saints (*) est donc en passe de se réaliser sous nos yeux. Il mettait déjà en scène des gouvernements qui, faute de garantir les frontières, avaient les yeux de Chimène pour les immigrants qui s’échouaient sur nos plages et qu’ils accueillaient dans un « camp du cœur d’or » symbolique.

    Ces gouvernants imaginaires aux mains molles mais au cœur gros comme une cougourde, nous les voyons à l’œuvre aujourd’hui.

    Les naufrageurs contre les Européens

    En outre, la compassion hypocrite affichée par l’oligarchie européenne pour les pauvres immigrés se double curieusement d’une rage croissante contre les autochtones, coupables de ne jamais vouloir en accueillir assez.

    Car les gouvernements naufrageurs déploient de grands efforts non pas pour restreindre l’immigration mais pour… réduire au silence les natifs européens qui s’en inquiètent. A les en croire, la plus grande menace pesant sur l’Europe serait en effet sa fermeture aux autres et son repli identitaire !

    Concrètement les candidats à l’immigration ont droit à tous les égards de la part du Système.

    Mais les natifs, eux, ont droit à la loi sur le renseignement, au matraquage fiscal et courent de plus en plus le risque de se voir traîner devant les tribunaux pour cause de racisme, de xénophobie et d’islamophobie. Dans le roman précité de Jean Raspail, le dernier acte du gouvernement consiste justement à bombarder… ceux qui veulent rester français.

    Comme l’écrivait déjà J.J. Rousseau : « Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins. »

    Les naufrageurs commencent vraiment à nous fatiguer.

    Michel Geoffroy (Polémia, 6 mai 2015)

    Note :

    (*) Le Camp des saints, Club Français du Livre 1973.

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  • Marseille préfigure-t-elle la France ?...

    Les éditions du Toucan viennent de publier une enquête polémique de José D'Arrigo intitulé Faut-il quitter Marseille ? . Ancien journaliste au Méridional, José d'Arrigo est l'auteur de plusieurs enquête et également d'une biographie de Gaétan Zampa (La Manufacture, 2014), le parrain du milieu marseillais dans les années 70...

     

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    " José D’Arrigo a consacré plus d’un an à rencontrer des  habitants de Marseille, de tous âges, toutes confessions, toutes professions. Au-delà des habituels commentaires télévisés et autres articles à sensation, son objectif était de connaître en vérité l’état d’esprit de la population.

    Il en ressort un constat alarmant : Les Marseillais sont angoissés car depuis quarante ou cinquante ans, ils hurlent dans le désert et ils ont désormais le sentiment que leur ville est en train de partir en « biberine » comme on dit sur le Vieux Port.

    Insécurité, immigration, chômage, pauvreté, saleté, trafics : les politiques promettent de se saisir de ces problèmes récurrents pour mieux éviter de les résoudre.

    La ville s’enlise, elle perd pied, mais selon José D’Arrigo, le naufrage serait non seulement  spectaculaire mais probablement contagieux.

    Pour la  première fois de leur vie, un très grand nombre de Marseillais se demandent si, la mort dans l’âme, ils ne vont pas quitter Marseille. "

     

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  • La destruction de l'identité nationale est-elle au programme ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Guillaume Faye, cueilli sur son site J'ai tout compris et consacré à la scandaleuse réforme des programmes du collège portée par le ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem...

     

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    Nouveaux programmes scolaires : détruire l’identité nationale

    Les programmes scolaires revisités par Mme Najat Vallaud-Belkacem mettent l’islam en valeur et tentent d’abolir la transmission de la culture française et européenne. Cette entreprise, fort bien ciblée, est parfaitement corrélée au processus d’immigration de peuplement invasive, de colonisation et d’islamisation. Les nouveaux programmes prévoient qu’une partie de  l’histoire de France sera facultative (chrétienté médiévale) mais l’histoire de l’islam (truquée, on peut le prévoir…) obligatoire.

     

    La logique islamisatrice

    On croit rêver : en effet, dans les nouveaux programmes du collège concoctés par la ministre de l’Éducation nationale, Mme Najat Vallaud-Belkacem, l’histoire de la chrétienté médiévale, des Empires byzantin et carolingiens ou de la période des Lumières devient facultative. En revanche, en 5e, l’étude des débuts de l’expansion de l’islam est… obligatoire ! Le Conseil supérieur des programmes (CSP), peuplé d’islamo-gauchistes, a parfaitement validé ces choix. Ils entrent dans le projet d’effacer progressivement le récit de la mémoire historique nationale française au profit de l’identité des ”nouvelles populations”, selon le souhait du think-tank Terra Nova. Pour l’essayiste Dmitri Casali « on veut gommer les racines chrétiennes de la France ». C’est vrai, mais ce constat est insuffisant, il faut aller plus loin encore. Il s’agit tout simplement d’islamiser (et d’arabiser) l’enseignement de la mémoire historique dès l’adolescence.

    Mais on cherche aussi à faire reculer dans les programmes tout ce qui pourrait heurter les musulmans le christianisme, les Lumières, etc.  « À croire qu’il ne faut pas heurter certaines sensibilités religieuses », remarquait pudiquement Hubert Tison, secrétaire général de l’association des professeurs d’histoire-géographie. Tout cela sous le prétexte d’ ”alléger les programmes” qui seraient trop chargés. En réalité, dans les collèges à forte proportion ou à majorité d’élèves musulmans issus de l’immigration, pour ne pas ”créer de problèmes”, on laisse aux professeurs le soin de faire l’impasse sur les sujets qui fâchent.

    En revanche, tous les élèves, même dans les classes sans musulmans, devront obligatoirement étudier l’histoire de l’islam ! On se doute qu’elle sera enjolivée et expurgée de ses sombres réalités – comme par exemple l’esclavagisme des Africains, les raids barbaresques, les persécutions d’infidèles, etc. Derrière cette démission, cette soumission à l’islam, on retrouve aussi les pratiques soft-totalitaires de l’Éducation nationale, adepte du bourrage de crâne idéologique. Parmi les enseignements obligatoires, on trouve la traite négrière transatlantique et les conquêtes coloniales présentées comme des agressions ; toujours le même objectif : culpabiliser l’histoire de France.

     

     Abolition et substitution  de la mémoire

    Mme Najat Vallaud-Belkacem sait ce qu’elle fait. Avec la complicité des idéologues de l’Éducation nationale et la bénédiction de François Hollande, elle milite activement pour accélérer l’islamisation. En tant que féministe, adepte de la théorie du genre, égalitariste forcenée, elle semble ne pas percevoir l’insurmontable contradiction de sa position. Mais peu importe : pour elle, sans doute, la dépossession de l’identité française est prioritaire et corrélée à une volonté de procéder à une acculturation arabo-musulmane. Tout se passe comme si l’islam devait devenir, par force, ”notre histoire”, comme si nous devions l’incorporer dans notre mémoire. Cela correspond au dogme (de type stalinien) de l’idéologie dominante, maintes fois asséné en dépit de toute vérité historique, selon lequel ”la France a toujours été un pays musulman” ou un pays d’immigration et de mélanges permanents, sans identité fixe. Un récent rapport sur l’intégration parle, sans rire, de la « dimension arabo- orientale de notre identité ». Le n’importe quoi, le mensonge historique, au service du fanatisme idéologique. 

    Dans les nouvelles réformes de déconstruction de l’identité européenne de la France, on trouve également le torpillage de l’enseignement du grec ancien, du latin et de l’allemand, destinés à disparaître progressivement  ou à devenir anecdotiques et marginaux. Et à cela, s’adjoint logiquement  le renforcement des ”enseignements de langues et de cultures d’origine” (ELCO). Il s’agit de faire apprendre les cultures et surtout les langues de leurs origines ethniques aux jeunes élèves issus de l’immigration, majoritairement l’arabe et le turc, qu’ils maîtrisent souvent mal ou pas du tout. Ces enseignements concernent aujourd’hui 92.500 élèves dont 87.000 dans le primaire, population scolaire en augmentation de 16%  de 2010 à 2015. En parallèle, l’enseignement grammatical et lexical de la langue française est volontairement torpillé. Les deux entreprises sont logiquement liées.

     

    Il s’agit, outre la furie égalitariste et anti-élitiste du nivellement par le bas (notamment avec la suppression des classes bilangues), terriblement nuisible pour les classes modestes, de supprimer de l’enseignement non seulement l’héritage du christianisme mais aussi celui de la culture gréco-latine, pareillement reniés. Ethnocide culturel.

     

    Les idiots de la République

    C’est assez extraordinaire : la République renonce à l’intégration et à la francisation – encore plus à l’assimilation. Elle promeut le communautarisme ethnique et l’islamisation (tout en prétendant combattre l’islamisme !). En réalité, le pouvoir a pris acte des réalités démographiques et de l’immigration massive qu’il a favorisé depuis des décennies. M. Valls a déclaré le 5 mai 2015 devant les députés, fustigeant ceux qui s’opposaient à la réforme des programmes : « c’est une nostalgie que vous essayez de défendre, une nostalgie d’une France qui est celle du passé ».  Autrement dit, la ”nouvelle France” doit abolir la mémoire et l’identité de l’ ”ancienne France”. Les Français de souche doivent renoncer à leur identité et à leur ethnicité mais….pas les immigrés  allochtones ! Quant aux étrangers qui ont choisi l’assimilation française et européenne, ils sont tout autant méprisés.      M. Valls a avoué par ailleurs que «  le terme d’intégration ne veut plus rien dire ». Il lui préfère celui de « citoyenneté » Naïveté totale : la citoyenneté républicaine est totalement incompatible avec l’islam ! Et la vraie citoyenneté (voir Aristote) n’est possible qu’entre sociétaires qui possèdent les mêmes valeurs, la même mémoire ; autrement, c’est la rupture communautariste assurée avec, au bout, la guerre civile probable. Cette idéologie d’un angélisme crétin et, au fond, haineuse de l’identité européenne et française, a également été formulée par M. Sarkozy (mais, chez lui, par calcul politicien et non par fanatisme idéologique comme chez M. Valls) quand il a déclaré, repentant : « quand j’étais président de la République, je n’aurais pas du parler d’identité nationale mais dire que je voulais défendre les valeurs de la République ». Quelle république ? Une future république islamique ?

    Il y a fort à parier que la droite, si elle revient au pouvoir en 2017, n’osera pas remettre en cause les mesures de démolition de Mme Vallaud-Belkacem.

     

    Vers l’inévitable affrontement

    La conscience nationale, les traditions autochtones sont donc traitées de ”nostalgie” ringarde, voire criminelle, par les collaborateurs de l’immigration massive et de l’islamisation. En revanche, les ” nouveaux Français” issus de l’immigration sont choyés comme jamais ; leur religion, leur culture, leurs langues sont mises en valeur et enseignées. Outre les nombreux privilèges, subventions, protections dont ils bénéficient par ailleurs. Ils sont flattés parce que leur nombre croissant fait peur. La tradition et la mémoire sont suspectes voire détestables quand elles concernent la France, son identité et son histoire ; mais elles sont formidables quand elles concernent les populations migrantes et, en particulier l’islam ; cet islam sur la véritable nature duquel on se bouche les yeux, soit par bêtise et ignorance, soit par pusillanimité et lâcheté.

    Tout cela est parfaitement antidémocratique puisque la majorité des Français refuse cette politique de capitulation et de soumission. Mais la démocratie n’est pas le bac à sable de l’idéocratie de la gauche idéologue ou de la droite capitularde.  Cependant ces nouvelles mesures imposées par l’oligarchie à l’Éducation nationale sont la conséquence logique de l’immigration hors contrôle et du différentiel démographique intérieur : elle  a pris acte, avec jubilation, qu’intégration et assimilation étaient désormais quantitativement impossibles. C’est aux Français de souche de s’adapter, de renoncer à eux-mêmes, à leur enracinement. Leur histoire est terminée, forclose.  L’oligarchie (voir les analyses de Terra Nova) se dit et espère que dans pas si longtemps la véritable minorité visible, ce seront les Français de souche.

    Mais est-ce bien sûr que cette stratégie réussisse ? Pas certain. Car les oligarques à la tête de la République française ont négligé les effets dialectiques de leurs décisions. À toutes choses, malheur est bon.  Autrement dit, en renforçant le communautarisme, notamment musulman (et en combattant par ailleurs l’islamisme et son terrorisme, contradiction absolue), les gouvernants renforcent par ailleurs la rupture  polémique  entre la France de souche et la ”nouvelle population”. Ils confortent des identités hostiles les unes envers les autres, dans leur rêve ”républicain” pacificateur. Ils préparent la guerre civile ethnique globale, qui impliquera évidemment, nécessairement l’islam, en Europe même.  Ils jouent avec le feu comme des enfants avec des allumettes. Ceux qui ont créé le chaos, irresponsables, seront dévorés, comme les enfants de Saturne.

    Guillaume Faye (J'ai tout compris, 10 mai 2015)

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  • Feu sur la désinformation... (42)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Naufrage de migrants, bobard au bon sentiment.
    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Ghlam, Kouachi, Merha, des garçons généreux.
    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Baltimore, surdélinquance des afro-américains.
    • 6 : Le bobard de la semaine.

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  • A propos du communautarisme...

    Julien Rochedy était reçu le 23 avril 2015 par Martial Bild, dans le journal de TV Libertés. Ancien responsable du Front national de la jeunesse, Julien Rochedy a récemment publié une tribune décapante sur son blog dans lequel il défend une approche communautariste de la réalité française...

    A ne pas manquer !

     

     

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  • Les droits de l'homme tuent...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une excellente chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 23 avril 2015 et consacrée à la crise migratoire en Méditerranée ainsi qu'à ses causes...

     

     

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