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gpa - Page 2

  • Feu sur la désinformation... (154)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Les Médias se repaissent de la crise du FN
      Jeudi 21 septembre Florian Philippot choisit de quitter le Front National. Pendant une semaine les médias se sont régalés du conflit entre Marine Le Pen et son vice-président. Ils ont multiplié les invitations sur les plateaux télévisés, cherché de nouvelles réactions, se positionnant ainsi en chambre d’écho de la crise frontiste. Désormais dehors, Florian Philippot joue la carte de la “rediabolisation” du Front National, le tout avec la complicité des médias. Sur LCI le président des "Patriotes" a affirmé, au micro de Laurence Ferrari, que la nouvelle ligne du Front National est un "retour en arrière qui affole des milliers de personnes”. La journaliste reformule cette idée et rajoute une couche de rediabolisation : “c’est un retour en arrière sur une ligne identitaire, classiquement anti immigration, xénophobe".
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Zone Interdite, un jeune musulman refuse d’approcher un monument aux morts à cause d’une croix chrétienne. Le professeur s'explique devant le journaliste : “Je trouve cela touchant et même attendrissant. Cela montre qu'il veut être un bon musulman car ça fait partie de son identité”. Signature des lois de moralisation de la vie publique, Macron se met en scène et promulgue la loi devant les caméras. Une, cérémonie directement inspiré de la signature des décrets présidentiels aux Etats-Unis.

    • 3 : 120 battements par minute aux oscars : adieu cinéma, bonjour militantisme
      Le film 120 battements par minute représentera la France pour les Oscars. Le Long métrage de Robin Campillo a été promu par la plupart des journalistes pendant plusieurs mois, plus pour son message militant que pour sa qualité artistique.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Mais où est passé l’esprit Charlie ? vague d’indignation dans la presse et dans les milieux LGBT suite à la Une de Charlie Hebdo. Le journal publie un dessin de Riss anti PMA. On y voit une caricature d' Emmanuel Macron enceint, Brigitte Macron lui posant la main sur le ventre, avec ce titre : “PMA GPA, il va faire des horreurs.
    • 5 : Discrimination à France Télévision, Delphine Ernotte persiste et signe
      Longue Interview de Delphine Ernotte dans le journal Society. La Présidente de France Télévision a réitéré ses propos discriminants sur les hommes blancs de plus de 50 ans. Pour la presse pas de problème sur ce point, il faut occulter cette information et commenter le reste de l’entretien.

     

                                     

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  • La défaite des femmes ?...

    Les éditions du Cerf publient cette semaine Adieu mademoiselle - La défaite des femmes, un essai de combat d'Eugénie Bastié. Journaliste au Figaro, après avoir collaboré au magazine Causeur, Eugénie Bastié, 24 ans, qui s'est fait remarquer sur le plateau de l'émission Ce soir ou jamais face à Jacques Attali, est également rédactrice en chef politique de la revue d’écologie intégrale Limite.  

     

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    " Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l’égalité des fonctions. Réclamer l’abolition de la maternité, mais accepter l’imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au Marché… Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici, d’une plume enlevée et implacable, la misère du néoféminisme contemporain. L’égalité des droits est actée, le contrôle de la fécondité acquis, le système de la parité rendu obligatoire. Mais les nouvelles ayatollettes entendent poursuivre sans fin le combat, et lutter sans relâche pour un monde déjà advenu. Quitte, pour exister, à promouvoir les pires cauchemars d’Orwell, jusqu’à en oublier les véritables menaces qui pèsent sur le corps féminin. Des laboratoires de la Silicon Valley aux plateaux de l’Euro-vision, du tapage des Femen au déni de Cologne, des colloques queer et trans aux réseaux sociaux de la délation, de l’invasion des ministères à la désertion des banlieues, cette enquête intellectuelle sans précédent montre comment, sous prétexte de militantisme, l’idéologie postmoderne travaille à la défaite des femmes. Et, plus largement, à la disparition d’une humanité partagée. Un livre décisif. "

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  • La Manif pour tous mobilise encore… mais pour quoi faire ?

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue intéressant de Xavier Eman, cueilli sur Zentropa et consacré au devenir du mouvement lancé par la Manif pour tous. De bonnes questions...

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    La Manif pour tous mobilise encore… mais pour quoi faire ?

    On pouvait croire le mouvement essoufflé et affaibli par des dissensions internes, mais dimanche 5 octobre, la Manif pour tous a une nouvelle fois réussi à faire descendre massivement le « peuple de droite » dans les rues de Paris et Bordeaux pour protester contre les expérimentations sociétales du gouvernement de François Hollande. Dans la capitale entre 70 000 (selon la préfecture de police) et 500 000 personnes (selon les organisateurs) ont défilé pour fustiger la loi Taubira sur le mariage homosexuel et, plus encore, pour dénoncer la légalisation en préparation de la GPA (gestation pour autrui) qui ouvre la porte d’un véritable « marché de l’enfant », ce dernier étant réduit au statut de marchandise.
    Les organisateurs de la Manif pour tous ont donc réussi une démonstration numériquement impressionnante, mais est-ce pour autant une démonstration de force ? On peut en effet légitimement poser la question car les intervenants ont beau scander à la tribune qu’il s’agit d’une « grande victoire » et qu’ils ne « lâcheront rien», force est de constater qu’ils n’ont jusqu’alors absolument rien obtenu et que l’agenda du gouvernement dit « socialiste» n’a nullement été modifié par ces flots de centaines de milliers de personnes bien élevées, souriantes et toutes de roses et de bleu vêtues. Comparativement, l’activisme de la soralienne Farida Belghoul (écartée de la manifestation car jugée trop radicale) a obtenu des résultats plus concrets avec ses incitations à retirer les enfants de l’école - qui ont notamment abouti à l’abandon de « L’abc de l’égalité», un programme de propagande visant à diffuser la « théorie du genre » à l’école – que ces grandes messes dominicales avec foultitude de berceaux et de drapeaux. Les raisons de cette stérilité politique sont multiples et l’on peu assez aisément mettre en exergue les principales d’entre elles : Un manque de « lisibilité » de la ligne politique du mouvement. Que veut la Manif pour tous ? L’abrogation de la loi sur le mariage homosexuel et l’adoption par des couples du même sexe ? Mais alors pourquoi faire parler à la tribune des représentants de l’UMP, parti divisé sur la question et dont les ténors n’ont pris aucun engagement en ce sens et refuser le micro aux cadres du Front National qui s’est clairement et officiellement prononcé pour la suppression de la loi Taubira ? Les manifestants veulent-ils plutôt le départ de François Hollande ? Mais dans ce cas, pourquoi ces itératifs appels à « dépasser les clivages idéologiques et partisans » et à « rassembler au-delà des chapelles politiques » ? Souhaitent-il donc davantage stopper l’extension infinie du marché et la libéralisation sauvage qui mène à la marchandisation du corps des femmes et au commerce des fœtus ? Mais pourquoi alors dénoncer la « dictature socialiste » et voir dans l’ultra-libéral Sarkozy un possible recours face à elle ? Un refus frileux de la radicalité et du rapport de force. Dès les premières manifestations, la phobie des organisateurs de la Manif pour tous a été la « radicalisation » du mouvement et la présence en son sein de « groupuscules activistes » dits « d’extrême-droite ». De Frigide Barjot appelant à emprisonner Philippe Vardon et ses camarades identitaires au service d’ordre de la Manif pour tous collaborant avec les autorités policières pour en expulser les éléments « factieux », tout a été fait pour policer et aseptiser les cortèges. Attitude curieuse quand on prétend opposer la rue au pouvoir législatif, le pays réel au pays légal, et « faire plier » un gouvernement démocratiquement élu sans avoir de son côté la légitimité des urnes. Par comparaison, le mouvement des « bonnets rouges » comme celui des agriculteurs bretons ont, eux, obtenus des aménagements de la loi et des reculs du gouvernement après une série d’actions offensives et musclées. La Manif pour tous, pour sa part, continue à se féliciter de son extrême pacifisme et à souligner avec orgueil que pas une seule carrosserie de voiture n’a été égratignée au cours de ses marches. Un « socle social » trop limité. Bien que s’étant emparée de questions fondamentales pour l’avenir de la nation, la Manif pour tous n’est jamais parvenue à dépasser sa base sociologique d’origine, à savoir la petite et moyenne bourgeoisie catholique, et n’a pas su – ou pas voulu – impliquer les couches populaires pourtant susceptibles d’être également alarmées par ces nouvelles dérives libérales (mais pour cela, il aurait notamment fallu appeler les choses par leur nom et une loi libérale, une loi libérale…) et la nouvelle étape de la destruction d’un monde « traditionnel » auquel le peuple est instinctivement attaché.
    Pour ces diverses raisons, et quelques autres, la Manif pour tous, réaction saine et enthousiasmante à une attaque peut-être sans précédent contre les fondements anthropologiques de notre civilisation, ne s’est jamais transformée en la force révolutionnaire qu’elle aurait pu être. Et risque, si elle perdure, de se transformer en une simple répétition de sympathiques promenades du dimanche. Jusqu’à l’épuisement.

    Xavier Eman (Zentropa, 7 octobre 2014)

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  • Les masques tombent...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 25 septembre 2014 et consacrée aux récentes décisions de la Cour européenne des droits de l'homme concernant la gestation pour autrui (GPA) et de la cour de cassation concernant la procréation médicalement assistée (PMA)...

     


    Éric Zemmour : "En matière de PMA, les masques... par rtl-fr

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  • Tour d'horizon... (55)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Causeur, Pierre Jacquez évoque le marché de la "gestation pour autrui", ou GPA, en Inde...

    L'être humain, un marché porteur

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    - sur L'Espoir, Antoine Lamnège revient sur le Traité de Maastricht et ses conséquences fatales...

    Maastricht : Putain 20 ans !

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