Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

fmi - Page 3

  • DSK Mea culpa TV !...

    Vous pouvez lire ci-dessous un bon billet d'humeur de l'avocat Gilbert Collard, cueilli sur Nations Presse.Info et consacré à l'affligeante opération de com' organisée sur TF1 par la journaliste (?) Claire Chazal au profit de son bon ami DSK...

     DSK Chazal.jpg

    DSK Mea culpa TV

    En France, on disait que tout finit par des chansons, même si c’était « le ça ira » ! Aujourd’hui, tout finit par des émissions de télévision, même si, un jour, çà n’ira plus du tout. Et voilà, comme au bon temps d’Anne Saint Clair, Claire Chazal, claire aussi, qui reçoit DSK au confessionnal cathodique, le seul vrai tribunal de notre temps temps. Il fallait bien que cette affaire de cul triste finisse par…une émission… Peu importe que la présentatrice soit une amie de l’épouse et que le rédacteur en chef la connaisse bien du temps impérial de sept sur sept… Les prises d’intérêts amicales n’ont pas d’intérêt pour les média, qui ne se privent pourtant pas de faire la leçon de morale.

    Et voilà la valse des sondages sans lesquels il n’est pas de rigueur apparente : 53 % des français souhaitent que DSK quitte la politique et 22 % qu’il annonce sa candidature ; 22 % ! On rêve. La presque majorité des français semble se foutre (excusez) de ce qui s’est passé dans la chambre des humiliations. Une belle explication à la télé est le tour est joué, la « réconciliation avec la France commence », comme dit un communiquant de DSK. Et Nafissatou aura-t-elle un droit de réponse ? Sera-t-elle l’invitée du salon où l’on cause d’elle, de sa vie, de son honneur ? Cette unilatéralité est intolérable ! Elle révèle le pouvoir absolu de sélection arbitraire de certains média sur les gens, les images, les paroles, les angles ; ici on invite DSK, pas la plaignante, là, on choisit les ahuris de service pour les interviewer, on traque les crânes rasés, quitte même à les tondre pour les exhiber, on guette le doigt dans le nez, l’instant de sieste, le lapsus, la grimace, la pose ridicule rentable. Jusqu’où ira-t-on dans la caricature médiatique qui réduit l’homme à une fraction de seconde immortalisée par des marchands de méchanceté. Ils se sont regardés ? Ils se sont vus, ces railleurs rémunérés au mois pour se payer la gueule de l’autre ?

     

    Mais, dimanche soir, tout était propre, précis comme l’écriture d’un scénario dit par deux acteurs rodés, robotisés dans les questions et les réponses, du petit cinéma télévisuel. On a eu le DSK vêtu de noir, en deuil de son destin, contrit, repentant, repenti, auteur d’une « faute morale dont on ne peut pas être fier », comme si l’on pouvait être, un jour, fier « d’une faute morale » ? Un DSK qui a confessé « une légèreté qu’il a perdu pour toujours. » Légèreté ? Quel mot léger pour une si lourde histoire. Un DSK qui s’accrochait au rapport du procureur qui n’a pas osé affronter un jury par crainte d’un échec. Ce qui n’est pas un non-lieu. Un DSK aux ambitions inhibées mais qui demeurent voraces. J’ai pensé, tout au long de l’interview, à la femme noire, immigrée, abandonnée, pauvre, traitée de menteuse, qui, quelle que soit la vérité que j’ignore toujours, n’était pas dans cette chambre pour son plaisir. A coup sûr ! Et puis, miracle, soudain, on passe de la chambre au coffre-fort monétaire, et là, l’homme redevient le technicien froid, capable de sauver la finance internationale. Il reprend sa place perdue à cause d’une intrigante illettrée qui en voulait à son fric. Je ne sais ce qu’en penseront les français, les sondages nous le dicteront, mais j’ai ressenti cette émission comme une chose indécente, vulgaire, où l’envie de pardon n’agissait pas. Je peux me tromper. Ce serait alors ma sensibilité qui me tromperait. En tout cas un mot aurait passionné un psychanalyste, un seul mot, lâché en fraude de l’inconscient dans une phrase, « en sus de dizaine de mensonges » En sus ! Sur l’écran noir de la vérité comment s’orthographie ce mot ?

    Gilbert Collard (Nations Presse.infos, 19 septembre 2011)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Confessions d'un assassin financier...

    John Perkins est l'auteur d'un livre fracassant intitulé Confessions d'un assassin financier (Alterre éditions, 2005) dans lesquels il révèle son expérience de "tueur à gages" financier chargé d'amener, sous couvert de conseils et d'aide aux développement, les pays du tiers-monde, et les autres, à s'endetter et à perdre ainsi progressivement leur autonomie et leur indépendance. Le livre, qui a eu un trés fort retentissement aux Etats-Unis, n'a été publié en France que par une maison d'éditions relativement confidentielle... Dans la vidéo que vous pouvez visionner ci-dessous, John Perkins synthétise le propos de son livre. Intéressant...

     


    John Perkins, confessions d'un corrupteur de... par Nzwamba

    Lien permanent Catégories : Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Christine Lagarde, l'amie américaine...

    Alors que radios et télévisions vont nous rebattre les oreilles avec la nomination de Christine Lagarde au poste de directeur général du Fonds Monétaire International, en remplacement de Dominique Strauss-Kahn à la suite de son affaire de "troussage de bonne", cette petite chronique d'Eric Zemmour sur RTL remet bien cet "événement" à sa juste place...

     


    Eric Zemmour : "Christine Lagarde, l'amie... par rtl-fr

    Lien permanent Catégories : Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Petit journal d'une Chute...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Jauffret, d'une féroce lucidité, cueilli sur le Blog du Choc du mois, . 

    DSK affaire viol.jpg

    DSK : petit journal d'une Chute

    15 mai Incroyable histoire de DSK qui aurait agressé une femme de chambre au Sofitel de New-York, hier après-midi. La police l’a attrapé dans l’avion et l’a conduit au commissariat d’Harlem pour un interrogatoire. Le président du FMI ! En 2008 lors du scandale adultérin, des « proches sous couvert d’anonymat » prévoyaient dans Libération une chute liée à une affaire de sexe. Voilà qui est fait. Le type est dingue, tout le monde le sait. Paraît-il que ses communicants lui préparaient depuis quelques semaines « un petit atterrissage en douceur » en France. Raté !

    16 mai Image de DSK menotté dans le dos...

    encadré par la police newyorkaise : grandiose ! Aubry dit en avoir pleuré ! Quelle chialeuse, celle-là ! Les journalistes et les hommes politiques parlent en chœur d’un « piège » et d’une « manipulation », eux qui savent parfaitement que l’homme est un véritable malade, traînant en France quantité d’affaires de mœurs, toujours étouffées, du même genre de celle qui aux Etats-Unis risque à présent de l’envoyer en cabane. Mais au-delà du pathologique, il y a les mœurs du milliardaire tordu et arrogant, convaincu que tout lui est dû, y compris les corps passant à sa vue. Cette hyper-classe au-dessus de la morale, des lois et des nations, a développé un sentiment inouï d’hyper-puissance et c’est assurément ce sentiment qui a poussé DSK a tenter d’assouvir impunément sa pulsion sur une femme de ménage de passage. Sauf que ce coup-ci, il est tombé sur un os américain.
    Quoi qu’il en soit, c’est une excellente nouvelle pour la France, au-delà de l’humiliation momentanée. Nulle doute que cette personne aurait transformé de nuit les salons de l’Elysée en lupanar, avec, allez savoir pourquoi pas des salles de tortures à tous les étages, tout en fabriquant le jour des lois pour le partage obligatoire de la vaisselle entre hommes et femmes. Mon rêve à présent, c’est de le voir enfin en salopette orange fluo, habit dont il semble destiné de toute éternité.

    17 mai Images du patron du FMI mal rasé, fatigué, humilié, hagard, l’air complètement ahuri dans son box de condamné. Le juge l’envoie directement en prison. Moi qui déteste l’Amérique, aujourd’hui je l’adore, ce pays de puritains fanatiques et dégénérés !

    18 mai Du sperme de "Strauss-le-violeur" retrouvée sur la femme de chambre et dans la suite. Des traces de griffures, de morsures et de coups sur son corps. La défense change de stratégie. Hier : Pourquoi voulez-vous qu’il baise une femme de ménage, qui de surcroît est vilaine, alors qu’il peut se payer les plus belles femmes du monde ? Aujourd’hui : La femme de ménage est jolie (donc allumeuse), la relation sexuelle était consentie. Demain : la femme de ménage est perverse, elle a réclamé qu’on la cogne, etc. Ça commence sérieusement à sentir le roussi. Quelque part en Amérique, des petites mains sont en train de coudre soigneusement une petite salopette orange fluo !

    Une militante socialiste en larmes à la radio : « en tant que socialiste, ça fait mal de voir un camarade avec des menottes dans le dos ». Pardi ! Sauf que Strauss n’a rien d’un camarade, sottasse ! C’est un milliardaire cynique et arrogant ! Un néolibéral pur jus ! Un affreux capitaliste ! Un affameur de peuples ! Un socialiste authentique serait heureux de voir un parasite de cette espèce avec des menottes dans le dos ! Pour peu qu’il soit lyrique, il réclamerait même qu’on le fusille ! J’imagine parfaitement cette militante en prof semi-lettrée à cheveux gras, manifestant régulièrement contre la politique libérale appliquée à l’école, et pleurnichant aujourd’hui devant la divine paire de menottes ! Mon Dieu ce que les socialistes sont bêtes ! Champagne, hideux profs !

    Toute l’élite est derrière "Strauss-le-violeur" comme elle a été derrière Polanski il y a quelques mois. Yvette Roudy, ancien ministre des droits des femmes, parle de manipulation et n’est pas loin de traiter la bonniche noire d’aguicheuse probable. Guigou évoque le libertinage. Il n’y a pas mort d’homme, déclare Jack Lang, grand militant de la cause féministe depuis trente ans. Ségolène Royal, qui se roule généralement par terre quand un mâle cligne de l’œil à une donzelle, a une première pensée pour la famille de Strauss-le-violeur ; rien évidemment pour la "négresse" qui a eu le mauvais goût d’exciter son excellence. BHL demande à la France et à l’Amérique si l’on peut sérieusement croire que DSK aurait pu être son ami s’il avait été un prédateur sexuel (être l’ami de BHL est une preuve de vertu, voire d’élection), Jean-François Kahn évoque un petit troussage de domestique sans intérêt, etc. Mitterrand, Polanski, Strauss : dès qu’un membre de l’élite vacille, la morale commune des autres membres disparaît dans la seconde au profit d’une solidarité de classe sans faille. La seule et unique conscience de classe se trouve là, et non ailleurs. Quant au beauf qui met la main aux fesses à sa collègue de travail, malheur à lui : l’élite éclairée ne plaisante pas avec le respect de la femme le concernant. On arrive petit à petit à la situation décrite dans Soleil Vert, ce merveilleux film de Richard Fleischer qui, en 1973, a magistralement anticipé la direction que prendraient les démocraties occidentales : les seigneurs du capitalisme pur en haut, enfin débarrassés des contraintes de la production, du travail, de la morale et des lois ; la masse abrutie en bas, affamée, réglementée, tenue en laisse, terrorisée par la télévision et la police.

    19 mai Réaction d’un militant socialiste du dix-huitième arrondissement de Paris devant les images de DSK menottés : « C’est pas un loubard sans éducation, c’est le responsable du FMI quand même ». Même les militants UMP du 16e arrondissement de Paris n’arriveraient pas à être aussi bourgeoisement crasse s’ils le voulaient.

    Quel symbole inouï que cette affaire quand on y songe : un milliardaire socialiste présidant le FMI qui s’en prend physiquement à une immigrée du Tiers-Monde !

    Service express : voici la photo carcérale que j’appelais de mes vœux publiée par le Daily News. La combinaison est bleue, les yeux du bagnard révulsés, l’air pervers et dément. Une belle affiche de campagne. « Votez Freak ».

    Impression de délitement formidable de tout. Affaire Bettencourt, viol de DSK : voici où nos élites sont tombées. Tout cela était inimaginable il y a encore vingt ans, époque où elles étaient pourtant déjà dans les égouts. A ce niveau, la seule manière de rebondir pour espérer pondre une élite qui sache se tenir dans vingt ans, semble malheureusement être la purge.

    20 mai Inculpation du "violeur" qui apparaît dans le prétoire, rasé, en costume, souriant à sa femme, presque détendu. Le juge le libère sous caution, moyennant quoi la bête portera un bracelet électronique. Le voilà rattrapé par cette modernité à laquelle il a travaillé toute sa vie. L’affaire se terminera vraisemblablement à l’américaine, avec un gros chèque à la violée. Je suis persuadé que ce dur-à-cuire tentera de rebondir, et pourquoi pas, de revenir dans la vie publique. Il a mis quatre jours à encaisser la fin de ses espérances et le gâchis de sa vie, ce qui témoigne d’une résistance exceptionnelle. A vrai dire l’homme semble indestructible, à moins d’une lourde condamnation à de la prison ferme.

    Je ne sais plus qui a dit qu’après le tremblement de terre viendra le tsunami. Je prévois un P.S. emporté par les flots, rasé, ratiboisé, un champs de ruines fumantes. Ce déni collectif auquel on a assisté va coûter très cher quand il sera établi que le crime a eu lieu, ce qui ne fait visiblement pas l’ombre d’un doute. Les Français vont alors comprendre de quelle glaise sont fabriqués « les grands principes sur lesquels on ne transige pas », et les socialistes apparaitront pour ce qu’ils sont. L’ennui, c’est que le deuxième tour de l’élection présidentielle de l’année prochaine se jouera probablement entre Marine Le Pen et le président sortant, ce qui signifie sans conteste un second mandat Sarkozy dont on risque tout simplement de crever. Ce sera alors : Adieu la France.


    Julien Jauffret (Le Blog du Choc du mois, 21 mai 2011)

     
    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Affaire Strauss-Kahn : des complices politiques et médiatiques ?...

    Nous reproduisons ce point de vue sans concession de Marc Georges, publié sur Media Libre, à propos de l'affaire Strauss-Kahn. Un texte réaliste et modéré... Si on en doute, on peut prendre connaissance de la charge violente du député UMP de Paris, Bernard Debré,  sur son blog...

    DSK police.jpg

     

     

    Affaire Strauss-Kahn : des complices politiques et médiatiques

    L’affaire de l’inculpation de Dominique Strauss Kahn, pour tentative de viol et séquestration, d’une jeune femme de trente deux ans dans un palace new-yorkais, a paraît-il « sidéré » bon nombre de Français. Pourtant, le fait que le Président du FMI soit un individu ayant un comportement pathologique avec les femmes est un fait connu de la classe politico-médiatique. Non seulement parce qu’il a fréquenté des endroits célèbres incompatibles avec ses responsabilités, mais également parce que ce n’est pas la première fois qu’il use de la violence pour assouvir son appétit sexuel.

    Il y a tout juste trois semaines, Médialibre publiait une vidéo commentée de la jeune journaliste Tristane Banon, qui s’était exprimée très librement lors d’une émission de Thierry Ardisson sur Paris Première, intitulée « 93 faubourg Saint Honoré ». Elle y relatait la tentative de viol dont elle avait été victime par DSK, et ce en présence de plusieurs personnalités médiatiques, en l’occurrence Jacques Séguéla, Thierry Saussez (ancien conseiller en communication de Sarkozy) Jean-Michel Apathie (RTL et Le Grand Journal) Roger Hanin (beau frère de François Mitterrand), Claude Askolovitch (Europe 1) et Hedwige Chevrillon (BFM). Médialibre affirmait en commentaire qu’il était bien peu probable que le mari d’Anne Sinclair soit candidat à la présidentielle compte tenu des casseroles qui étaient les siennes.

    Si aujourd’hui nombre de média parlent de cette vidéo -sans citer Médialibre- aucun ne l’a fait à l’époque, et aucune des personnalités présentes lors de l’émission n’en a jamais parlé en public. Mais en privé si. La quasi-totalité de la classe politico-médiatique savait, tout comme elle connaissait le passé de François Mitterrand sous l’occupation dans les année 80. Or si ces gens avaient fait leur travail, s’ils avaient fait leur devoir, non seulement Dominique Strauss Kahn aurait été sanctionné et éloigné de la vie politique depuis belle lurette, mais ils auraient sans doute évité à cette jeune américaine -et qui sait, à d’autres- cette agression. Ils auraient par la même occasion évité à la France l’humiliation et le déshonneur qui résulte de cette sordide affaire.

    D’autant que dans cette émission, la jeune femme ne se contentait pas de raconter sa tentative de viol, mais expliquait aussi que les policiers qu’elle avait rencontrés avant de renoncer à porter plainte, l’avaient informée de ce que de nombreux autres cas mettant en cause le même maniaque sexuel existaient.

    Aussi ce n’est pas seulement la responsabilité de l’ancien Ministre des Finances qu’il convient de dénoncer, mais également celle de ses complices, et donc de l’ensemble de la caste politico-médiatique, qui fonctionne comme une véritable mafia, avec sa loi du silence, l’omerta, conséquence d’un mélange de peur et de complicité. Même la mère de de la jeune femme, Anne Mansouret, candidate à la primaire socialiste (!) avait dissuadé sa fille de porter plainte, et tente aujourd’hui de nous émouvoir avec ses « regrets ».

    Le retrait désormais inévitable de DSK, après celui de Besancenot et l’entrée en lice de Chevènement, s’il vient ridiculiser la classe médiatique, sa propagande sondagière, et quelques « dissidents utiles », n’est sans doute pas la dernière surprise de 2012. Mais cette heureuse nouvelle ne doit pas nous faire oublier que ce n’est pas seulement d’Al Capone dont nous devons nous débarasser, mais de toute la mafia.

    Marc Georges (Media Libre, 16 mai 2011)
    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Droit de cuissage ?...

    Les élites mondialisées, comme dirait Eric Zemmour, pensent-elles bénéficier d'un droit de cuissage sur les "serfs" dont elles assurent la gouvernance ? C'est la question que l'on est en droit de se poser en prenant connaissance des brillantes "aventures" de DSK dans un hôtel de New York, à la suite desquelles il a été arrêté et placé en garde à vue pour agression sexuelle et tentative de viol sur la personne d'une femme de chambre...

    Ces événements, s'ils sont avérés, viendraient confirmer des rumeurs persistantes qui courrent sur ce personnage, directeur du FMI et candidat présumé à l'élection présidentielle,par ailleurs richissime grâce à la fortune personnelle de sa femme, la journaliste Anne Sinclair, qui se monte en dizaines de millions d'euros. On peut, par exemple, visionner cette intéressante vidéo mise en ligne il y a quelques mois par le site Agoravox...


    Les coulisses de la nouvelle affaire DSK par AgoraVox

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Infos 0 commentaire Pin it!