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Revues et journaux - Page 96

  • Des légions maudites...

    Le magazine Ligne de Front, dans un numéro hors-série actuellement en kiosque (n°17), s'intéressent aux nombreux volontaires étrangers qui ont combattu sous l'uniforme allemand pendant la deuxième guerre mondiale. Si tout le monde a entendu parler des volontaires européens au travers des livres de Jean Mabire, on sera tout de même étonné de croiser au détour des pages des Arméniens, des Arabes, des Indiens, des Kalmouks, des Tatars et même un Coréen !... L'iconographie est particulièrement riche et originale. A découvrir...

     

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    "L’armée hitlérienne présente le phénomène unique de mobiliser sous son étendard de très nombreux nationaux étrangers, engagés dans la « Croisade contre le bolchevisme ».

    En 1945, ces hommes représenteront toutes les nationalités du continent européen, voire au-delà, et on en dénombrera alors près de 2 millions au sein de la Wehrmacht (Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine) et de la Waffen-SS.

    Qu’ils soient Volksdeutsche, « germaniques » (Suédois, Norvégiens, Finlandais, Wallons, Flamands, Espagnols, Français…) ou encore « étrangers » (Russes, Polonais, Hongrois, Roumains, Serbes, Tchèques, Slovaques,Croates…), ce conglomérat forme une véritable « Internationale » nationale-socialiste.

    Mais qui sont ces hommes, qu’ils soient légionnaires ou volontaires SS, qui combattent sur tous les théâtres d’opérations ?

    Pourquoi et comment leurs motivations évoluent-t-elles avec le temps ?

    Superposent-ils leurs buts de guerre à ceux du Führer, où se réclament-ils pleinement de son idéologie ?

    Quelle est la proportion de « soldats politiques » et d’engagés « pour la gamelle » ?

    Et comment la SS, lorsqu’elle les accueille en son sein, s’accommode-t-elle avec ses dogmes idéologiques et raciaux ?

    A-t-elle d’ailleurs comme désir plus ou moins avoué d’en faire de purs combattants du national-socialisme ? Enfin, quelle influence leur participation a-t-elle eue sur le déroulement des opérations militaires ?"

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  • Bilan d'un septennat...

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    Le numéro de décembre 2012 de la revue Le spectacle du monde est en kiosque. 

    Hors dossier, on trouvera un entretien avec Georges Corm ("L'instrumentalisation du religieux est dramatique") ainsi que des articles de Charlotte d'Ornellas ("Syrie. Tous contre Bachar ?"), de Michel Marmin ("Les Enfants du Paradis. La France en état de grâce"), de François Bousquet ("Louis Aragon, Orphée revenu des enfers"), d'Alain Kimmel ("Maurice Barrès, interprète de l'âme française"), de Bruno Raccouchot ("1812-1814. La guerre oubliée"), d'Olivier Madelin ("Baltard, héraut du fer") et de Jean-François Gautier ("Henri Poincaré. Le relativisme de la connaissance") . Et on retrouvera aussi  les chroniques de Patrice de Plunkett et d'Eric Zemmour.

    Par curiosité, on pourra aussi consulter le dossier consacré à l'Eglise du pape Benoît XVI, et, notamment, l'article de François Bousquet ("L'Eglise face aux mutants" ainsi que celui de Gabriel Rivière ("Le dernier pape européen ?").

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  • Tolkien l'enchanteur...

    A l'occasion de la sortie prochaine du premier volet du film de Peter Jackson, Le Hobbit, tiré de l'oeuvre de J.R.R. Tolkien, Le Figaro sort un numéro hors-série, sous la direction de Michel de Jaeghere, consacré à l'oeuvre de l'auteur du Seigneur des anneaux. Comme toujours dans ce type de revue, l'iconographie est particulièrement soignée.

     

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    "L'adaptation de ses œuvres a fait de Tolkien, le professeur de vieil anglais aux passions désuètes, l'une des plus belles cash machine de la décennie. L'enfant d'Oxford, sans jamais quitter le décor médiéval de son université, a conquis, par la magie du cinéma, la Californie et le monde entier. La sortie du film de Peter Jackson est l'occasion de se replonger dans une œuvre prodigieuse qui a les dimensions d'une planète, s'étend sur des milliers d'années, voit se croiser des elfes, des dragons, des hommes et des Hobbits. Quels sont les liens de parenté entre Bilbo et Frodon Sacquet? Sam Gamegie est-il un bon jardinier? Gandalf a-t-il du cœur et Aragorn du courage? La Comté est-elle plus agréable à vivre que Fondcombe? Est-il prudent de visiter la Moria? Pourquoi les Orques ont-ils des jambes et ne vont pas sur l'eau? Les Hobbits sont-ils des Nains et les Elfes meurent-ils comme les Hommes?

    Personnages, espèces, géographie ; Le Figaro hors-série publie un numéro exceptionnel sur Tolkien l'enchanteur. On y retrouve tout ce qui a fait de Bilbon le Hobbit et du Seigneur des Anneaux , un phénomène culturel majeur de notre temps. Magnifiquement illustré par les plus belles images du film de Jackson, et les œuvres de John Howe, Allan Lee, et Ted Nasmith, il est le guide indispensable pour celui qui veut parcourir la Terre du Milieu."

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  • De la gauche caviar à la gauche Judas...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Claude Bourrinet, cueilli sur Voxnr et consacré à l'affaire de Florange, qui a vu, une nouvelle fois, le gouvernement de gauche renier ses engagements...

     

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    Florange : de la gauche caviar à la gauche Judas

    La « nationalisation » d’ArcelorMittal a fait long feu. Les hauts fourneaux ne redémarreront pas. Un goût très amer est l’unique résultat d’une comédie dont les prétentions affichées se sont dégonflées comme un ballon de fête électorale. On en a « gros sur le cœur ». Ce n’était donc que cela... La nationalisation, même « temporaire », du site sidérurgique de Florange, n’était, au mieux, qu’un moyen naïf de faire chanter Lakshmi Mittal, qui en a vu d’autres, au pire une tromperie aussi niaise. Les imbroglios insensés qui ont accompagné ce qui est présenté comme un compromis, mais qui n’est en fait qu’un pari, bien fragile au demeurant, porteraient à sourire, tellement le personnage haut en couleur qu’est Montebourg, affublé du titre grotesque de « ministre du redressement productif », s’est époumoné en promesses réduites impitoyablement en poussière par Ayrault. Mais où sont passés les « repreneurs fiables » ? Et que valent ses rodomontades pseudo-révolutionnaires, qui s’en prenaient aux méthodes du patron indien, lesquelles ne devaient pas trouver leur place en France ? Même pas peur ! Du reste, le pauvre Montebourg ne sait plus à quel saint se vouer : la raffinerie Petroplus, par exemple, n’a pas plus de repreneur libyen que de repreneur russe ou chinois pour Florange. Peut-être au fond sa tâche est-elle d’occuper la galerie, pendant que le sale boulot s’effectue hors du théâtre des opérations médiatiques. Par exemple quelque chose qui ressemblerait à la fermeture, malgré son activisme presque sarkozyen, du site d'Aulnay PSA.

    Remarquons au passage que la nationalisation, qui est, littéralement, la reprise en main d’une entreprise par la Nation, est une action tout à fait légale, et envisagée par le préambule de la Constitution de 1946. Gageons que ce qui a pu choquer une ultralibérale comme Parisot a été justement cette évocation d’un geste qui heurte les libre-échangistes fanatiques qui nous dominent, plutôt que le poncif du manque de savoir-faire économique de l’Etat. Il aurait fallu plutôt se demander pourquoi un secteur qui concerne, en France, 40 000 personnes, qui produit un acier de très haute qualité, n’a pas été sauvegardé, protégé du dumping de prédateurs comme Lakshmi Mittal, qui a constitué son empire à coups de rachats d'entreprises défaillantes dans les pays émergents et pourquoi, au nom du dogme de la « main invisible », on réserve à l’industrie nationale et européenne les grands coups de poings qui la mettent à terre. Question oratoire, bien sûr... On préfère, dans un cadre mondial, sacrifier notre économie, notre pays, notre terre, au nom des principes. Et quels principes ? Tout le monde sait que Mittal contracte la production d’acier, dans un contexte de crise, pour sauvegarder des prix élevés. Sa démarche est entièrement financière. Une logique préoccupée de garantir des conditions de vie décentes à notre peuple aurait dû se fonder sur un volontarisme industriel, qui n’existe plus en France et en Europe, nonobstant notre ministre du Redressement productif. Que valent les leçons de « réalisme » lorsqu’on verse des milliards d’euros aux banques pour les sauver, et qu’on est soumis aux intérêts financiers transnationaux, voraces et cyniques ? Les dépenses occasionnées par des mesures d’ampleur, ambitieuses et véritablement soucieuses de notre intérêt, coûteraient bien moins cher que cette lente agonie qui nous ravale irrésistiblement au niveau de pays pauvre, désindustrialisé et dépouillé par les marchands apatrides. Nationaliser Florange, par exemple, exigeait 450 millions d'euros, mais n’oublions pas qu’après avoir été nationalisée, puis revendue, Alstom, qu’on donnait pour obsolète, lui a permis d'encaisser 1,6 milliard d'euros.

    Autre source d’embrouille et d’enfumage : la solution alternative est loin de rassurer. Le projet européen «Ulcos» n’a d’ailleurs pas été mentionné dans le communiqué final. Du reste, il a la réputation d’être peu rentable et grevé d’incertitudes techniques et financière. Un avenir fondé sur du sable, en quelque sorte... «Il n'y aura pas de plan social à Florange. Le groupe Mittal s'est engagé à investir au moins 180 millions dans les cinq prochaines années» affirme Ayrault. Cinq ans, c’est long... Quant au « plan social », qui peut garantir que ce n’est pas partie remise ?

    Toutefois, la seule question qui vaille la peine d’être posée est de savoir si la décision du gouvernement Ayrault sera aussi dévastatrice politiquement que celle de Jospin, en 1999, qui avouait, du ton technocratique qu’on lui connaît, qu’il ne pouvait rien faire, après des licenciements boursiers provoqués par Michelin. Décidément, la gauche s’est pliée à la logique libérale mondialiste, et ce ne sont pas les couinements de la patronne Parisot qui nous feront croire le contraire. En vérité, l’hypothèse de la nationalisation, outre qu’elle avait été envisagée par Sarkozy, qui s’y connaît pourtant lui aussi en matière d’enfumage, pour ce même ArcélorMittal, a été appuyée par une grande partie des responsables politiques, nationaux et locaux, de droite comme de gauche, adhésion qui ne plaide pas pour le caractère révolutionnaire d’une telle mesure. Il faut croire que, dans le jeu de dupe qu’est devenue la pratique politicienne contemporaine, on s’évertue à parodier les signes du combat ancien, où les affrontements idéologiques pesaient encore, et que cette agitation de pantins télévisuels, qui remuent leur verbe avec les accents faux d’une rhétorique surannée, ne vise qu’à préparer les trahisons futures, qui nous présenteront le dilemme entre un libéralisme mondialiste soft, contre un libéralisme mondialiste hard. Tant les mots sont plus importants que l’on ne croie pour faire avaler les choses.

    Il est en tout cas certain que les 2 700 employés de Florange sont insignifiants par rapport aux 260 000 salariés du groupe, et surtout par rapport aux quelque 50 000 chômeurs qui, en ces temps de crise, restent, en France, chaque mois sur le carreau. Leur poids est symbolique, comme l’est le mot « nationalisation », qui renvoie à une France jadis industrialisée, dont le secteur sidérurgique, sans parler des autres, était florissant, où la classe ouvrière était fière, digne, orgueilleuse et combative, et, pour tout dire, quand la France était encore la France.

    Le temps est donc au « réalisme », vertu que l’on brandit volontiers pour se donner un air d’honnête gestionnaire, et l’on ne prend même plus la peine d’user de ces feux d’artifices lyriques, qui faisaient frissonner la Mutualité. La chair est triste, hélas !, et je ne prends même plus la peine de lire tous les programmes, tellement ils se ressemblent et s’alignent platement sur les prétendues nécessités de l’économie mondiale.

    Il est clair que Hollande a « écouté », dans l’affaire, Michel Sapin et Pierre Moscovici, plus sensibles à « l'image de la France » auprès des investisseurs étrangers qu’à la détresse des ouvriers français. La bourse vaut bien une fermeture. Le capitalisme prospère sur les cadavres économiques. Il n’est qu’à mesurer la hausse des cours boursiers quand des licenciements sont annoncés dans un secteur. « Say Oui to France » - certainement pas à la France des travailleurs !

    Les économistes ont toujours d’excellentes raisons pour justifier les capitulations. On peut même dire que les brigades de « spécialistes », dont le nombre ne semble pas très rentable en matière de prévisions, si l’on prend la peine de rassembler toutes les erreurs d’analyse et de prédiction qui ont ridiculisé la profession depuis des lustres, occupent et saturent petit écran, grandes ondes et torchons baveux, et qu’ils n’ont jamais assez de mots pour assurer qu’en matière de rêve, c’est assez. Un jour, il faudra se pencher sur la condition de ces plumitifs qui prospèrent à Science Po, dans des fondations grassement subventionnées par des multinationales, et sur les petites chaises qui serrent de près les arrière trains de ces princes qui nous gouvernent. Ces tristes sires ont pour sale besogne de faire accepter l’inévitable, ou considéré comme tel, et de prôner la résignation.

    La réalité économique que ces messieurs de la moulinette à Phynance est pour le coup assez peu ragoûtante, car on a eu souvent affaire, ces dix dernières années, à des licenciements boursiers, qui visaient à accroître les dividendes des actionnaires, en contractant la masse salariale. Danone, Lu, Michelin, Mark&Spencer, Hewlett-Packard, Moulinex, Aventis, Valeo et d’autres sont restées dans les mémoires.

    La gauche n’a jamais essayé d’empêcher ces dérives. Du moins, comme pour le cas Danone, a-t-elle fait mine de prendre des mesures qui se sont révélées impuissantes. Car depuis le tournant de la « rigueur », que l’inénarrable et ex-stalinien Yves Montand avait bénie de sa gouaille d’histrion, en 1983, elle n’a de cesse que de prouver son « sérieux », c’est-à-dire, in fine, sa collusion avec la finance internationale, que Hollande, quand il était candidat, a rassuré, dans la patrie de la banque, en Grande Bretagne, en avouant que ses quelques piques contre elle était de la rigolade électoraliste. Avec Fabius et Bérégovoy, le mot d’ordre avait été la « réconciliation avec le monde de l’entreprise », en clair avec le fric, ce que les champions de la gauche caviar ont bien compris. On ne jura alors que par la concurrence, les privatisations, les baisses d’impôts, les déréglementations.

    Rappelons les exploits d’une gauche qui a le culot de s’appeler encore « socialiste » (« Je n’aime pas les socialistes, parce qu’ils ne sont pas socialistes », disait déjà De Gaulle) : gouvernement Rocard : Crédit local de France, 5 avril 1991, privatisation partielle ; Renault, 1990, ouverture du capital ; gouvernement Jospin : Air France, 1999, ouverture du capital ; Autoroutes du sud de la France (privatisation partielle), mars 2002 : mise en bourse de 49 % du capital, recette : 1,8 milliard d'euros ; Crédit lyonnais , 12 mars 1999 (décret) ; France Télécom, 1997, ouverture du capital, 42 milliards de FF ; Octobre 1997 : mise en bourse de 21 % du capital ; Novembre 1998 : mise en bourse de 13 % du capital ; Framet, 1999; GAN, 1998; Thomson Multimedia ; 1998, ouverture du capital ; 2000, suite ; CIC, 1998; CNP, 1998; Aérospatioale (EADS), 2000, ouverture du capital.

    Si Jean-Marie Le Pen n’avait pas été là en 2002, rien ne les empêchait de continuer sur cette lancée. La droite l'a fait pour eux.

    Comment maintenant le gourvernement actuel va-t-il réagir quand des « plans sociaux » seront annoncés à Renault, SFR, Aetos ; aux Charcuteries Alsaciennes Iller , aux Rillettes Sarthoise Boussard, à la Société Générale, à Coca Cola, à l'AFPA (association nationale pour la formation professionnelle des adultes), à GOL, aux quotidiens régionaux La Provence, Nice Matin, Var matin et Corse Matin sont en vente, à la chaîne télé régionale TLM (Lyon), etc. ?

    Les cadavres risquent de ne pas loger dans le placard !

    Claude Bourrinet (Voxnr, 2 décembre 2012)

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  • Retour à la polémologie...

    Nous vous signalons la reparution de la revue Etudes polémologiques, fondée à l'orée des années 70 par Gaston Bouthoul, fondateur de la polémologie, et qui avait cessé de paraître en 1991. Sous l'impulsion d'Hervé Coutau-Bégarie, une nouvelle équipe avait décidé de reprendre le flambeau, mais l'initiateur du projet, décédé trop tôt, n'aura pas eu la chance de tenir entre ses mains le premier numéro de cette nouvelle série.

    On trouvera à la table des matières deux textes anciens de Gaston Bouthoul et de Julien Freund ainsi qu'un témoignage du stratégiste Lucien Poirier et un article de David Cumin, spécialiste de l'oeuvre de Carl Schmitt.

     

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    Au sommaire :

    Préface
    Jean BAECHLER

    ÉTUDES

    Trente ans d’oubli
    Guillaume MONTAGNON

    Note sur le mot “polemosˮ : images et significations, de l’Iliade à Euripide et Aristophane
    Anne QUEYREL BOTTINEAU

    Entre recherche sur la paix et recherche de la paix Les ambivalences de la Peace research dans les pays nordiques
    Matthieu CHILLAUD

    L’ennemi intérieur dans la pensée de Carl Schmitt
    David CUMIN

    Tuer – détruire – piller. Pratiques de la guerre chez les Francs du VIe siècle
    Philippe RICHARDOT

    L’art de la paix à l’époque moderne
    Jean-Pierre BOIS

    TEMOIGNAGE

    Lucien POIRIER

    CLASSIQUES DE LA POLEMOLOGIE

    Sur les fonctions présumées et la périodicité des guerres
    Gaston BOUTHOUL

    Polémologie, science des conflits
    Julien FREUND

    Le passé et l’avenir de la guerre
    Charles LETOURNEAU

     

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  • La crise de l'idéologie globale...

    Nous vous signalons la publication du sixième numéro de la revue Perspectives libres consacré à la crise de l'idéologie globale. On y trouve, notamment, un entretien avec l'historien et économiste libanais Georges Corm. La revue Perspectives libres est publiée sous couvert du Cercle Aristote et est disponible auprès de l'Association des amis de la revue libre (11 rue de Javel, 75015 Paris) contre un chèque de 12 euros.

     

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    Au sommaire :

    La mondialisation heureuse, suite et fin. 
    Pierre-Yves ROUGEYRON

    Dossier : La crise de l’idéologie globale

    Une hégémonie mondialisée 
    Entretien avec Georges CORM

    La mondialisation : et après ? 
    Françoise BONARDEL

    La démocratie défaite.
    Bernard CONTE

    Considérations sur la crise de l’idéologie globale. 
    Norman PALMA

    Masques et ruses idéologiques de l’ultralibéralisme 
    Michel BEAUD

    Libres pensées

    « Tempestatibus maturesco »
    Une lecture des Journaux de guerre d’Ernst Jünger.
    Frédéric SAENEN

    Economie et sphère publique : la montée en puissance du
    savoir ésotérique, le retour de la féodalité, la crise et le renouveau. 
    Erik S. REINERT

    Libres propos

    Capitalisme cognitif : personne-entreprise…
    ou « entreprise personnaliste » ?
    Philippe ARONDEL

    Les contrats nous rendent-ils plus libres? 
    Julien FUNNARO

    Les marchands d’opium et leurs dupes. 
    Kostas MAVRAKIS

    De l’économie de la peur et de la peur de l’économie. 
    Norman PALMA

    La Participation. La France doit choisir et défendre dans l'arène mondiale cette alternative. 
    Henri FOUQUEREAU

    L'humanisme et son destin

    Dans quel humanisme vivons-nous ? 
    Monique CASTILLO

    L’humanisme trahi.
    Pierre MAGNARD

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