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Livres - Page 85

  • Théorie hyperboréenne...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un essai d'Alexandre Douguine, datant de 1993, intitulé Théorie hyperboréenne, consacré aux travaux d'Herman Wirth (1885-1981), docteur en philologie et chercheur en sciences humaines, proche des milieux völkisch, qui dirigea pendant deux ans l'Ahnenerbe.

     

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    " Dans cet ouvrage publié à Moscou en 1993, Alexandre Douguine expose les conceptions du savant (philologue et ethnologue) germano-hollandais Herman Wirth (1885-1981). Comme l’indique Jafe Arnold, un chercheur
    polonais contemporain auteur d’un travail à l’Université d’Amsterdam sur les sources des idées de Douguine, il s’agit de la seule étude sérieuse publiée à ce jour (toutes langues confondues) sur la « théorie hyperboréenne » d’Herman Wirth.
    Wirth affirme l’origine nordique, et même arctique, de la civilisation humaine, suivant en cela la ligne de Bailly, Tilak, Guénon, Evola et quelques autres. Pour lui, les « Hyperboréens », les habitants d’Arctogaïa (ou Arctida), la terre arctique engloutie par un cataclysme, auraient créé le premier calendrier (composé, de 16 runes primordiales), inspiré de l’observation de la nature, des mouvements des astres, et surtout du moment sacré du solstice d’hiver, le « Grand Yule ».
    Ils auraient eu une spiritualité cosmo-monothéiste, reflétant une parfaite harmonie entre les symboles, la langue (les mots, les sons), les phénomènes naturels et les principes théologiques (incluant l’Éternel retour, la mort et la résurrection). C’est tout ceci que développe ce livre. "

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  • Comment redonner le pouvoir au peuple ?...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie, en partenariat avec la Fondation du Pont-Neuf, viennent de publier un nouvel essai de Christophe Boutin et de Frédéric Rouvillois intitulé Le référendum ou comment redonner le pouvoir au peuple.

    Christophe Boutin est docteur en sciences politiques et professeur de droit public à l’université de Caen ; Frédéric Rouvillois est professeur de droit public à l’université Paris-Descartes et délégué général de la Fondation du Pont-Neuf. En 2000, ils ont rédigé ensemble un essai prophétique et salué par la presse, Quinquennat ou septennat (Flammarion), sur le raccourcissement du mandat présidentiel. Ils ont récidivé en 2022 avec Les parrainages ou comment les peuples se donnent des maîtres (La Nouvelle Librairie, 2022) et La proportionnelle ou comment rendre la parole au peuple (La Nouvelle Librairie, 2022).

     

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    " Un pouvoir élu peut-il imposer son choix à une majorité de citoyens hostiles ? Sommes-nous des « souverains captifs » ? Ces questions se posent alors que se creuse le fossé entre le peuple et ses dirigeants. Depuis des années, de la crise des Gilets jaunes à l’opposition à la réforme des retraites, les Français sentent qu’on ne les écoute plus et cherchent dans la rue les moyens de se faire entendre. Pour sortir de ces crises à répétition, le référendum apparaît comme une solution d’arbitrage. Sauf à récuser le principe même de la démocratie, la souveraineté du peuple, il faut rendre la parole à ce dernier. Face à cette urgence, Frédéric Rouvillois et Christophe Boutin en reviennent aux principes même de la Ve République pour rappeler ce qu’a été et dire ce que devrait être le référendum. "

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  • Métaphysique de la guerre...

    Les éditions de la revue Rébellion viennent de rééditer un essai court et important de Julius Evola intitulé Métaphysique de la guerre.

    Penseur essentiel du traditionalisme révolutionnaire, écrivain au style clair et puissant, Julius Evola est notamment l'auteur de Révolte contre le monde moderne (1934), Les Hommes au milieu des ruines (1953) et Chevaucher le tigre (1961).

     

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    " Un principe justifie tout à fait la guerre aux yeux de l’homme : l’héroïsme. La guerre, dit-on, offre à l’homme l’occasion d’éveiller le héros qui sommeille en lui. Elle brise la routine de son petit confort et, à travers les épreuves les plus dures, favorise une conception transcendante de sa vie de mortel. Cet instant durant lequel l’individu parvient à se comporter en héros, fut-ce le dernier de son existence terrestre, possède infiniment plus de valeur que toute la monotonie de sa petite vie citadine. Spirituellement parlant, ce fait compense à lui seul tous les aspects négatifs et destructeurs de la guerre que les matérialistes pacifistes ne cessent de décrier. La guerre permet à l’homme de réaliser la relativité de sa vie et, par là même, de prendre conscience que quelque chose prévaut nécessairement sur cette existence. La guerre possède donc toujours une portée antimatérialiste et spirituelle." Julius Evola 

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  • Un guide "marketing" pour les dissidents...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un ouvrage d'Hubert Calmettes intitulé Le Guide marketing du dissident.

    Spécialiste du marketing de l’offre, Hubert Calmettes a consacré sa vie à mettre ses méthodes au service de produits, marques et profils identitaires ou de territoires européens enracinés. Contributeur de la fondation Polémia et de la revue Éléments, il intervient par ailleurs au Conseil national des économies régionales, à l’IMPGT de l’université d’Aix-Marseille et à l’Institut supérieur des sciences économiques et politiques de Lyon.

     

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    « Sur un champ de bataille, on peut faire main basse sur les armes de l’adversaire sans pour autant se ranger sous son drapeau ou adopter sa stratégie. »

    Tout dissident verra de prime abord, dans la démarche marketing, un registre hostile, bras armé du système marchand. Hubert Calmettes nous invite à dépasser ce type de considération pour suivre le chemin de l’efficacité dans l’action politique et idéologique ; à être dans ce monde sans être de ce monde. Il préconise un marketing centré sur l’offre, prescripteur et proactif, à rebours de la quête clientéliste et du « ratisser large ». Séduire, convaincre, fidéliser. Exprimer clairement ce que l’on est, ce que l’on veut, à qui l’on s’adresse, sans renoncements ni compromissions. Car assumer sa radicalité est encore le moyen le plus sûr de produire l’étincelle qui sortira les peuples de leur torpeur. Voilà un guide à l’usage des militants pour les aider à faire triompher leurs idées.

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  • Cochise, chef des Apaches chiricahuas...

    Les éditions du Rocher viennent de publier dans leur collection Nuage rouge une étude historique de Edwin R. Sweeney intitulée Cochise - Chef des Apaches chiricahuas. Né en 1950 à Boston, Edwin Russell Sweeney est l'auteur de nombreux livres et articles sur les Indiens du sud-ouest des États-Unis, dont il est un spécialiste reconnu.

     

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    " Cet ouvrage d'Edwin R. Sweeney est la première biographie de Cochise, le chef le plus puissant, le plus craint et le plus respecté de tous les Apaches, et peut-être bien de tous les chefs Indiens du XIXe siècle. Il fut le seul à réunir sous son unique commandement les quatre bandes de sa tribu, les Chiricahuas, mais aussi d'autres groupes apaches et parfois des Navajos pour affronter deux États du Mexique et les États-Unis.Né parmi la bande des Chokonens vers 1810, dans les Dragoon Mountains au sud-est de l'Arizona, il prend leur tête au milieu des années 1850. L'autorité de ce maître stratège, orateur envoûtant, lui rallie bientôt les Chihennes de Mangas Coloradas puis de Victorio, les Nednhis de Juh, et les Bedonkohes du farouche guerrier Geronimo. Vénéré des Apaches, il fascine aussi les Blancs. Mais en février 1861, la tragique affaire Bascom où il est injustement accusé du rapt de l'enfant d'un fermier, puis la bataille d'Apache Pass des 15 et 16 juillet 1862, lancent une guerre implacable, incessante qui durera 12 ans. Le seul nom de Cochise résonne dès lors tel un tocsin dans les coeurs terrorisés des populations, inquiète les militaires. Prié par le président Ulysses S. Grant en personne de venir négocier à Washington il refusera, proposant aux émissaires que ce dernier vienne le voir au sommet d'une montagne. Toutefois, pour sauver des vies et préserver sa « Terre Spirituelle », son Apacheria, il signe en octobre 1872 grâce à l'intermédiaire de Thomas J. Jeffords, son seul ami blanc de confiance, un traité de paix avec le général Oliver Otis Howard. Deux ans plus tard le 8 juin 1874, malade, Cochise décède. Son fils aîné Taza lui succède mais à sa disparition, en 1876, son frère Naiche, s'il devient le chef héréditaire des Chiricahuas, se laissera souvent dominer par Geronimo.Une nouvelle guerre apache éclate, héroïque mais illusoire. La paix de Cochise est bien morte. Réserves inhospitalières, déportation en Floride en 1886, tel se dessine désormais le terrible destin des Chiricahuas qui demeureront prisonniers de guerre jusqu'en 1913. "

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  • Un biologiste au chevet de la civilisation...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie et l'Institut Iliade viennent de publier un court essai d'Yves Christen intitulé Konrad Lorenz - Un biologiste au chevet de la civilisation.

    Biologiste et écrivain, Yves Christen est l’auteur de nombreux livres, notamment L´animal est-il un philosophe ? (Odile Jacob, 2013),  L’animal est-il une personne ? (Flammarion, 2009), Le peuple Léopard (Michalon, 2008), L’homme bioculturel (Rocher, 1986), Marx et Darwin (Albin Michel, 1981) et L’heure de la sociobiologie (Albin Michel, 1979).

     

     

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    " Biologiste et fondateur de l’éthologie, Konrad Lorenz a consacré sa vie à l’étude des poissons, des oies, des corneilles et de beaucoup d’autres animaux, sans jamais cesser pour autant de penser à l’homme en arrière-plan. Or, son regard sur la civilisation moderne était celui d’un homme inquiet, ce dont témoigne le titre de deux de ses ouvrages: Les Huit Péchés capitaux de notre civilisation et L’Homme en péril. Lorenz nous a quittés en 1989 mais, à l’évidence, ses préoccupations conservent toute leur actualité. A travers un examen attentif de l’œuvre de Lorenz et de ses apports à la connaissance scientifique, Yves Christen nous montre tout ce que nous avons à retenir d’un homme qui a passé sa vie dans l’amicale proximité des animaux. Il y a là de riches enseignements pour les hommes de notre siècle. "

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