Confinement, Covid…« La France a peur ». Lettre à ces Français qui préfèrent vivre à genoux plutôt que de mourir debout
« Les Français sont majoritairement pour le confinement ». « Les Français ont peur du Coronavirus ».
La presse mainstream n’a de cesse ces derniers jours de relayer des sondages (qui doivent être traités comme des sondages, c’est à dire sous influence de ceux qui les émettent), évoquant cette majorité de Français qui se féliciteraient des mesures gouvernementales, des privations de liberté, de la tyrannie sanitaire à l’œuvre depuis des mois en France mais aussi dans de nombreux pays d’Europe.
Aujourd’hui, ces chiens de garde qui possèdent la carte de presse attribuée par un collège de gens qui mangent et qui vivent système, préparent le terrain, aux côtés des « communicants » et des grands groupes de publicité, pour fabriquer le consentement des foules à toutes les mesures liberticides les plus farfelues qui passent sous les radars des décideurs politiques.
Et déjà ces propagandistes de préparer l’opinion à une troisième vague de coronavirus, à un confinement potentiellement jusqu’en février, puis pourquoi pas jusqu’à la découverte d’un vaccin, ce « miracle » scientifique qui fait déjà « étonnamment » la richesse de plusieurs entreprises côtées en bourse.
Je vous conseille au sujet de la pandémie de coronavirus de vous procurer tous les numéros de l’excellente revue Faits et Documents qui a traité le sujet, c’est complet, sourcé, et cela vous permettra de secouer un peu les zombies qui vous servent parfois de voisins, de frères, de parents, et d’amis.
Les décideurs politiques de premier plan derrière, se contentent ensuite, en tâtonnant d’appliquer ce à quoi les foules ont été conditionnées en amont .
Car ils ne savent que tâtonner, n’ayant aucune compétence réelle, aucune vision de l’Histoire à long terme, et des compétences intellectuelles de plus en plus douteuses plus les générations passent, en Occident du moins.
C’est redoutablement efficace, et ça fait quasiment mouche à chaque fois, tant les masses sont encore trop nombreuses à n’avoir que les chaines du service public, ou la grande messe du 20h, comme seule source d’information, complétée le cas échéant par un quotidien local subventionné et dont les dirigeants sont tous copains (les coquins) avec les décideurs politiques. Rajoutez-y des décennies de fabrique du crétin par l’Education nationale, et vous avez là un cocktail explosif pour fabriquer des zombies.
Alors c’est à ces masses là qu’il faut s’adresser aujourd’hui. A celles qui acceptent, y compris en râlant, de porter des masques, en plein air, ou dans des espaces vides de monde, ou d’en faire porter à leurs enfants ( « Le Français n’est jamais content » dixit les ragoteurs et autres piliers de comptoir qui ne vivent eux mêmes leur vie que par procuration).
« Mais quand même, ce virus est dangereux, ils nous le disent à la télévision ». Et gare à ceux qui ne porteraient pas le masque, ou qui refuseraient de se plier aux injonctions gouvernementales, appliquées sur le terrain par des forces de l’ordre trop heureuses (car trop lâches) de ne pas être expédiées dans les cités pour s’occuper définitivement des dealers et de la vraie racaille.
Vous les avez quotidiennement autour de vous, ces gens qui appliquent les consignes sans broncher. Qui se taisent. Qui ont peur (de qui, de quoi, difficile de le savoir). Qui se transforment eux mêmes en délateurs, en agents zélés de l’Etat, dénonçant ici celui qui ne porte pas son masque, là celui qui aurait un niveau de vie suspect par rapport à celui qu’il prétend être, là encore celui qui n’aurait pas le même mode d’éducation pour leurs enfants que la masse, toujours la masse.
Et n’importe quel esprit éclairé de comprendre, en voyant cette âme humaine dégueulasse au grand jour et au quotidien, pourquoi en temps de guerre, l’histoire récente l’a encore démontré, il se trouve beaucoup plus de moutons, mais aussi de salauds, que de résistants et de héros.
Etant donné que nous vivons sur le même territoire, et avant que les tentations sécessionnistes ne finissent, de toute façon eu égard de la situation géopolitique globale, de séduire les plus éveillés, il faut s’adresser à ces mougeons (moutons, et pigeons). Et secouer le cocotier. Et ne pas hésiter à sortir des sentiers battus, à heurter.
Dans une société féminisée, où l’émotion prime sur toute raison, où l’hystérie est trop souvent la règle, il est temps de retrouver des attitudes « de bonhomme » vis à vis de son entourage, de sa communauté, que l’on ne peut se résoudre à abandonner aux apprentis Frankenstein qui sont en train de nous préparer un monde qui porte en lui un avant goût prononcé de l’enfer.
Il est temps de demander à son voisin, qui a peur du coronavirus, si il est prêt à porter le masque encore 5 ou 10 ans, à renoncer à ses libertés individuelles, à son droit à être maître chez lui, dans son domicile, sur son territoire, au nom d’un virus dont la létalité ferait rigoler nos ancêtres européens, eux qui ont traversé des épidémies poussant parfois la moitié de la population 6 pieds sous terre, et qui n’ont pas cessé de vivre pour autant.
Car à quoi sert donc de passer sa vie à vivre à genoux ?
Avec un masque pour lutter contre le coronavirus, en mangeant 5 fruits et légumes par jour, en ne fumant pas, en ne buvant que deux verres d’alcool maximum, en évitant certains propos tombant sous les lois votées par de petites minorités à l’Assemblée nationale, en s’abstenant de rouler ici à 80km/h, là à 30, là à 50 au gré des décisions d’élus politiques d’une lâcheté et d’un opportunisme stupéfiant.
Pourquoi travailler toute sa vie et fermer sa bouche quand on vous dit de la fermer, bien docilement ? Et éventuellement se prendre un coup de lame chaude, quand, une fois dans l’année, on s’accorde une sortie dans une métropole sécuritairement abandonnée par cet Etat qui prétend ensuite vous astreindre à résidence, masqué, et confiné.
Pourquoi continuer à attendre que le cancer vous atteigne, comme il atteint de plus en plus d’Occidentaux, malgré les 5 fruits et légumes par jour, en raison de la véritable épidémie, de malbouffe celle-ci, qui se propage jusque dans les assiettes de nos enfants cobayes d’industriels qu’il ne faudra pas oublier un jour d’enfermer, et pour longtemps ?
Quel intérêt que nos vies à genoux, en la passant en plus parfois à fantasmer sur des hommes et des femmes qui elles, ont fait le choix de mourir debout ?
Si les Européens ne se réveillent pas aujourd’hui, alors dans quelques décennies, il ne faudra pas s’étonner, que nos enfants, nos petits enfants, nous tournent le dos et nous laissent crever avec tout le mépris qu’ils nous devront dans des hôpitaux et des EHPAD.
Ces morgues, là où sous assistance respiratoire (ou pas selon les moyens de santé du moment), entre deux changements de couche, nous mèneront piteusement le combat le plus minable de l’Histoire : un combat pour survivre 3 semaines ou quelques mois de plus à un cancer, ou tout simplement à la vieillesse, ce naufrage que nous pourrions tous éviter si nous acceptions la vie telle qu’elle devrait être pour tous les hommes libres de cette planète.
Debout les morts !
Julien Dir (Breizh info, 4 novembre 2020)