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Nietzsche et les voies du surhumain...

Nous vous signalons la parution récentes aux éditions SCEREN de Nietzsche et les voies du surhumain, un essai de Philippe Granarolo. Professeur de philosophie et lecteur assidu de Nietzsche, Philippe Granarolo a publié plusieurs essais , et notamment L'individu éternel : L'expérience nietzschéenne de l'éternité (Vrin, 1993).

Nous avions déjà reproduit sur ce site un excellent texte de cet auteur :

Nietzsche et la science-fiction (I)

Nietzsche et la science-fiction (II)

 

Nietzsche et les voies du surhumain.jpg

" La notion de Surhumain développée par Friedrich Nietzsche à la fin du XIXe siècle est souvent lue à travers le prisme heideggerien d’un volontarisme acharné visant à aboutir à la condition d’être supérieur. Or, le projet nietzschéen n’est pas de transformer l’homme en un être parfait apte à maîtriser la Terre, mais de penser le stade ultime de l’évolution humaine comme le fruit de la libération de la pensée des croyances religieuses et de l’approche supposée objective de l’univers par les sciences. C’est dans cette approche de la vie, entre ces deux paradigmes, que s’ouvrent les voies du Surhumain. "

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Commentaires

  • « Tout, dans la femme, est énigme, et tout, dans la femme, a une solution : elle s’appelle grossesse.

    L’homme pour la femme est un moyen : le but, c’est toujours l’enfant. Mais qu’est-ce que la femme pour l’homme ?

    L’homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C’est pourquoi il veut la femme comme le jouet le plus dangereux.

    Il faut que l’homme soit éduqué pour la guerre et la femme pour le repos du guerrier : tout le reste est sottise.

    Des fruits un peu trop doux, – le guerrier ne les aime pas. C’est pourquoi il aime la femme : amère est la femme la plus douce.

    Mieux qu’un homme, la femme comprend les enfants, mais l’homme est plus enfantin que la femme.

    Dans l’homme véritable est caché un enfant qui veut jouer. Allons, les femmes, découvrez-le cet enfant dans l’homme !

    Que la femme soit un jouet, pure et fine, pareille à la pierre précieuse, illuminée, par les vertus d’un monde qui n’existe pas encore.

    Que le rayon d’une étoile brille dans votre amour.

    Que votre espérance dise : « Ah! Si je pouvais donner le jour au surhomme »

    C’est étrange, Zarathoustra connaît peu les femmes et pourtant il a raison !

    Serait-ce parce que rien n’est impossible chez la femme ?

  • Sur l'intérêt réel de ce livre : http://www.actu-philosophia.com/spip.php?article451

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