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Rome, ville éternelle...

La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 67, juillet - août 2013). A la suite de la mort de Dominique Venner, c'est Philippe Conrad qui reprend le flambeau et assure la direction de la revue.

Le numéro s'ouvre, bien évidemment, par l'hommage que rendent à Dominique Venner de nombreux écrivains, historiens et journalistes.

Le dossier central est consacré à Rome. On peut y lire, notamment,  des articles de Philippe Conrad ("Aux origines de l'Urbs, de la légende à l'histoire"), de Jean-Louis Voisin ("L'héritage de Rome"), de Dominique Venner ("Comment l'Empire est devenu chrétien"), de Bernard Fontaine ("La papauté romaine au Moyen Âge"), de Jean-Joël Brégeon ("La Rome de la Renaissance", "1527 : le sac de Rome"), de Martin Benoist ("La papauté face au défi de l'unité italienne"), de Michel Ostenc ("La Rome de Mussolini") et de Philippe d'Hugues ("De Rome à Cinecitta") ainsi que des entretiens avec Yann Le Bohec ("Le miracle romain") et Jean Delumeau ("La seconde gloire de Rome").

Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec la sinologue Anne Cheng ("La Chine d'hier et d'aujourd'hui") ainsi que des articles de Dominique Venner ("De la gauche au capitalisme absolu"), de Jean-Jacques Langendorf ("Jomini l'incompris") ou de Francis Bergeron ("Henri Béraud, l'épuré qui n'avait pas collaboré ") et la chronique de Péroncel-Hugoz.

 

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Lien permanent Catégories : Revues et journaux 3 commentaires Pin it!

Commentaires

  • Il y a une énorme diversion dans les hourras lancés à la mémoire de Dominique Venner qui, de son vivant, méritait tout à fait l'estime et même l'admiration qu'on pouvait lui porter.
    Sa décision de mort volontaire avec théâtralisation de mauvais goût ne sera jamais, elle, admirable et exemplaire.
    .. la France étant déjà très bien placée dans les statistiques internationales du suicide.

  • La référence à Rome permet, précisément, de comprendre qu'une mort volontaire peut n'être ni soumission ni résignation (Lucrèce...).

  • Il n'est pas nécessaire de mettre les lunettes du "De viris illustribus..." pour discerner une japonaiserie exhibitionniste là où elle se produit, quelle que soit l'existence qui l'a précédée.

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