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traditionalisme

  • Julius Evola et l'expérience du Groupe d'Ur...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un recueil de textes de Renato del Ponte intitulé Julius Evola et l'expérience du Groupe d'Ur.

    Élève de Julius Evola, dont il a dispersé les cendres sur le Mont Rose en 1974, Renato del Ponte (1944-2023) a été une des figures du traditionalisme en Italie.

     

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    " En règle générale, le monde de l’ésotérisme devrait être interdit au regard profane, mais quand cet univers produit des fruits qui se bonifient avec le temps, en disséminant à leur tour des germes nouveaux qui favorisent de fécondes moissons, il semble licite d’en faire un objet de réflexion et d’investigation.
    Voilà sans nul doute quel fut le destin du Groupe d’Ur dont Renato del Ponte, dans Julius Evola et l’expérience du Groupe d’Ur, nous livre une étude précise et approfondie. Riche d’écrits inédits et d’illustrations peu connues ce livre révèle la complexité de ce moment où, dans la vie de l’aristocrate italien, la magie opérative et la politique se mêlèrent.
    En appendice à cette monographie figurent deux études du même auteur sur le paganisme italien des XIXe et XXe siècles. "

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  • Julius Evola – Mircea Eliade : un bilan culturel...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier Julius Evola – Mircea Eliade : un bilan culturel, un ouvrage regroupant une part de la correspondance entre les deux auteurs traditionalistes, avec une présentation de Claudio Mutti, le philologue italien, directeur de la revue Eurasia.

    Julius Evola – Mircea Eliade, un bilan culturel.jpg

     

    " De 1930 à 1963, Mircea Eliade et Julius Evola échangèrent une correspondance plus ou moins fournie selon les années. De celle-ci, vingt-quatre lettres ont survécu. Présentées ici par Claudio Mutti, elles nous apprennent beaucoup de choses sur Mircea Eliade et il faut bien dire qu’elles ne plaident guère pour lui puisque l’homme, très soucieux de sa carrière universitaire, oublie son passé et se tait sur ceux qui l’ont inspiré tels Evola et Guénon. Ces lettres nous apprennent de même bien des choses sur Julius Evola, sur son désir fugace de se rendre en Inde, sur sa volonté de faire connaître l’œuvre d’Eliade aux Italiens et la sienne aux Français, sur sa mansuétude face aux bassesses de son correspondant. "

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