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raphaël enthoven

  • Feu sur la désinformation... (379)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Notre image de la semaine, ce sont en réalité des images positives et belles, pour une fois, avec le rassemblement des Scouts Unitaires de France pour la Pentecôte et le Pélerinage de Chartres.
    • 2 - Police : Faucheuse ou Sauveuse ?
      Notre police, faucheuse ou sauveuse ? Retour, vous l’aurez compris, sur l’affaire récupérée par les médias et la classe politique cette semaine, ce refus d’obtempérer à Paris qui a mal tourné pour le conducteur et une de ses passagères.
    • 3 - Revue de presse
      Dans notre revue de presse, des altercations sur les plateaux, notamment entre Enthoven et Régis le Sommier, Mélenchon et Salamé, mais aussi des sujets de fond comme un massacre occulté au Nigeria, l’état du journalisme français ou encore les piqûres sauvages.
    • 4 - Orages, intempéries, températures : le réchauffement est-il responsable de tout ?
      Notre deuxième sujet est consacré à la propagande matraquée dans les cerveaux français par les JT français cette semaine; concernant le réchauffement climatique, apparemment source de tous les malheurs du temps.

                                             

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  • Les imposteurs de la philo...

    Les éditions Le Passeur ont publié voilà quelques mois un essai de Henri de Monvallier et Nicolas Rousseau intitulé Les imposteurs de la philo, avec une préface de Michel Onfray. Professeurs agrégés de philosophie, Henri de Monvallier et Nicolas Rousseau traquent les impostures de la pensée contemporaine. Ils sont auteurs de Blanchot l'obscur ou la déraison littéraire (Autrement, 2015).

     

    Monvallier-Rousseau_Les imposteurs de la philo.jpg

    " Quel est le point commun entre Raphaël Glucksmann et Charles Pépin ? Entre Raphaël Enthoven, Vincent Cespedes et Geoffroy de Lagasnerie ? Ils sont omniprésents dans les médias, enchaînent couvertures de magazines, interviews radio et plateaux télés.

    On ne les critique quasiment jamais quand on les invite, parce qu’on ne les lit pas ou parce que ceux qui les lisent (ou les feuillettent) ne disposent ni de la culture ni de l’esprit critique nécessaire pour mettre en perspective leurs propos. Ils passent pour des analystes pertinents de l’actualité, capables de « donner du sens » aux événements et de nous aider à comprendre notre présent.

    Or, à lire de près ce qu’ils écrivent, on s’apercevrait pourtant que, derrière le vernis de leur discours, leurs idées sont creuses et indigentes, et ne font la plupart du temps que régurgiter l’air du temps quand elles ne tombent pas simplement dans le ridicule le plus achevé.

    Ils représentent ainsi une nouvelle génération d’imposteurs, ceux que Hugo, dans un néologisme fameux des Misérables, qualifiait de « filousophes » et que les auteurs, en reprenant précisément leurs livres et leurs textes, dénoncent ici sans concession. "

     
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  • La famille Enthoven...

    " Raphaël chantait Carla Bruni, devenue Sarkozy. Raphaël, c'est évidemment Raphaël Enthoven, étoile montante de la philosophie mondaine télévisuelle, figure du Tout-Paris germanopratin et vedette de France Culture. Il s'agit aussi du fils de Jean-Paul Enthoven, meilleur ami de Bernard-Henri Lévy, qui a d'abord épousé sa fille, Justine Lévy, avant de partir du riad de BHL à Marrakech au bras de Carla Bruni, laquelle vivait jusqu'alors avec son père, Jean-Paul. Si vous n'avez pas compris, ça n'est pas grave, c'est l'histoire d'une famille exemplaire de la république des lettres qui tient du vaudeville et du pilpoul. Explications..."

    L'excellente lettre d'information bimensuelle Faits & Documents publie son dernier numéro de l'année avec un portrait consacré à la famille Enthoven et à son rôle dans la médiacratie culturelle...

    Il est possible de s'abonner sur le site de Faits & documents ou de se procurer la lettre au numéro à la librairie Facta.

     

     

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    Faits & Documents est une lettre bimensuelle de 12 pages, rédigée par Emmanuel Ratier, qui traite essentiellement de l’actualité politique et culturelle française et internationale.

    Dans chaque numéro :

    • L’homme de la quinzaine : le portrait « décapant » d’une personnalité agissant dans l’ombre ou à découvert, avec de nombreux détails inédits.

    • La vie politique : une série d’échos inédits et exclusifs sur l’Élysée, le Parlement, le gouvernement, les partis, les hommes politiques. Et aussi les nominations, le parlement européen, les votes significatifs, coup de griffe et coup de chapeau, les damnés de la terre, la gauche caviar, « affaires » et scandales, les financiers qui mènent le monde.

    • Le document : c’est-à-dire la reproduction, avec un commentaire, d’un texte confidentiel, comme une invitation maçonnique adressée à un responsable politique, une circulaire administrative autorisant la polygamie pour les étrangers, etc.

    • Le dossier : une enquête détaillée sur un sujet spécifique, le plus souvent français. Par exemple, le Réseau Voltaire, les activistes de Ras l’Front, le congrès du B’naï B’rith, le point sur la loi scélérate Fabius-Gayssot.

    • Dans le secret de lobbies : les organisations religieuses et « communautaires », les groupes mondialistes et pro-imigrés, les sociétés secrètes, la franc-maçonnerie, etc.

    • À l’étranger : des informations méconnues portant sur le nationalisme à travers le monde et sur des sujets internationaux pouvant vous intéresser directement.

    • Kiosque : une rubrique culturelle sélective. Les livres intéressants à paraître ou venant de sortir en général dans de petites maisons d’édition ou étrangères. Un agenda pour les expositions, les colloques et conférences de qualité. Internet.

    • Information et désinformation : la vie interne des journaux, des télévisions, des journalistes. Les manipulations de l’information. Une revue des revues (les articles les plus intéressants parus ici ou là, en général dans la petite presse nationaliste, dans la presse spécialisée ou à l’étranger). Les désinformations de la quinzaine, etc.

    • Politiquement incorrect : cette rubrique humoristique et détendue parle des « perles » de la quinzaine et des sujets habituellement passés sous silence.

     

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  • La caste des pousse-au-crime...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue Geoffroy Lejeune, cueilli sur Valeurs actuelles et consacré aux inquisiteurs de la gauche bien-pensante, qu'ils soient intellos, samtimbanques ou rebellocrates médiatiques...

     

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    Christophe Alévêque - Pascale Clark - Raphaël Enthoven

     

    La caste des pousse-au-crime

    Ces figures de proue du prêt-à-penser peuvent être regroupées en trois familles du politiquement correct — de gauche, forcément.

    Ils sont partout. Sur les plateaux télé, dans les studios des chaînes de radio, en librairie, sur scène, dans les salles obscures… pour promouvoir en choeur le même catéchisme bien-pensant.

    Les intellos-intouchables. La société du spectacle les a proclamés “experts”, “philosophes” ou “intellectuels”. Figures tutélaires de la gauche bien pensante, forcément “engagés”, ils règnent en maîtres sur le “camp du Bien”, se faisant volontiers les inquisiteurs d’un modèle qu’ils abhorrent : ainsi de leur pape, Bernard-Henri Lévy, dénonçant chez les opposants au mariage gay « la marée noire de l’homophobie ancestrale », ou du grand mécène du lobby gay Pierre Bergé, qui, après avoir défendu la gestation pour autrui (« Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? »), les a qualifiés d’« humus antisémite et antigay »

    Parmi ces “intellectuels”, outre Raphaël Enthoven, qui voit dans la légalisation du mariage homosexuel l’aboutissement logique du primat de la culture sur la nature, vient l’inénarrable “psy” Gérard Miller, qui se félicite de pouvoir enfin « dire merde aux milliers de manifestants qui étaient contre ce projet [le “mariage pour tous”, NDLR] », et regrette que l’humour de son ex-amie Frigide Barjot soit « mis au service d’une cause absolument abominable »

    Les saltimbanques. L’essayiste Philippe Muray les avait surnommés les « artistocrates ». Chantres de la gauche morale du cénacle parisien, Charles Berling, Jacques Weber et Pierre Arditi n’égalent pas leur consoeur Josiane Balasko. Fervent soutien des expulsés de Cachan, en 2006, cette dernière s’est distinguée en devenant la même année la “marraine républicaine” d’un jeune homosexuel algérien menacé de prison dans son pays. À cette liste — non exhaustive — doit être ajoutée Emmanuelle Béart, célèbre pour avoir squatté l’église Saint-Bernard en 1996 avec des sans papiers… Mais aussi Philippe Torreton, comédien de toutes les indignations, renvoyé à ses chères études par Fabrice Luchini après avoir sévèrement attaqué Gérard Depardieu pour son exil.

    Parmi ces saltimbanques se distingue aussi l’antisarkozyste névrotique Christophe Alévêque. L’actualité impose enfin de décerner une palme à Jean-Michel Ribes, directeur du Théâtre du Rond-point (qui avait accueilli la pièce antichrétienne Gólgota Picnic en 2011), entré au Panthéon des inquisiteurs en usant, à l’égard de Frigide Barjot, d’une reductio ad Hitlerum (aussi appelée “point Godwin”, qui consiste à comparer ses adversaires à Hitler ou au nazisme) : « Le papa et la maman, ça a quand même donné aussi Hitler. Il faut quand même le rappeler »

    Les « rebellocrates » médiatiques L’expression est, là encore, de Philippe Muray, qui, pour caractériser ces caciques du système médiatique, usait aussi de deux détournements : les « mutins de Panurge », faux rebelles défendant la pensée dominante, pouvant muer en « matons de Panurge » prêts à mordre ceux qui s’écartent de leurs voies. Ils ont leurs relais médiatiques : le Nouvel Observateur, les Inrockuptibles (tous deux partenaires, avec d’autres, de la soirée au Théâtre du Rond-point), mais aussi Marianne, Libération… On trouve aussi Rokhaya Diallo, fondatrice du mouvement Les Indivisibles, pour laquelle il est incongru de s’interroger : « Mais vous trouvez ça normal qu’un Malien ou qu’un Algérien en France depuis trente ans n’ait toujours pas le droit de voter ? »

    Restent Pascale Clark, redoutable intervieweuse sur France Inter, surtout lorsque ses cibles sont choisies (Marine Le Pen, Nadine Morano, Tugdual Derville, Robert Ménard…), et Audrey Pulvar, égérie incontestable des croisés du nouvel ordre moral, cachée derrière des lunettes dont elle a enfin dévoilé le prix (3 300 euros). Pour Pulvar, rire sur les Roms relève du crime contre l’humanité (voir ses nausées face au Comte de Bouderbala, humoriste pourtant peu suspect de frénésie discriminante), être de droite est un péché originel, le tout justifié par une “certaine” idée du journalisme : sous l’apparence de l’impartialité, une lutte effrénée pour toutes les causes du politiquement correct.

    Geoffroy Lejeune (Valeurs actuelles, 7 février 2013)

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