Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque l'indispensable polarité du masculin et du féminin à partir de Métaphysique du sexe, une des œuvres essentielles de Julius Evola, le grand penseur traditionaliste italien.
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Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque l'indispensable polarité du masculin et du féminin à partir de Métaphysique du sexe, une des œuvres essentielles de Julius Evola, le grand penseur traditionaliste italien.
Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de Julien Rochedy, cueillie sur le site Major, dans lequel il commente dix préceptes classiques destinés à la conduite de la vie. Major est "un magazine et une école de formation pour les hommes qui ne supportent plus l’injonction moderne à la féminisation et qui souhaitent constamment s’améliorer dans les domaines liés à la culture, au corps, au cœur et au caractère"...
Les éditions Anne Carrère viennent de publier un essai de Peggy Sastre intitulé La domination masculine n'existe pas. Docteur en philosophie des sciences, spécialiste de Nietzsche et de Darwin, elle a écrit plusieurs essais sur les questions sexuelles dans une optique biologique et évolutionniste.
" L’homme (avec un petit h et un pénis de taille variable) est une pourriture : c’est lui qui vole, viole, tape, tue, refuse de laver ses slips et préférerait crever plutôt que de vivre dans un monde où des bonniches ont le droit de devenir PDG. Voici la « version officielle » de notre histoire. L’histoire humaine est, dit-on, l’histoire d’une domination masculine, faite par et pour des hommes prêts à tout pour tenir les faibles femmes à leur botte.
Sauf que cette histoire est fausse. Du moins en partie.
Si les hommes ont le pouvoir, c’est parce que les femmes l’ont bien voulu, tout au long des 99,98 % de l’histoire de notre espèce. Et ces millions d’années qui nous ont vus devenir lentement ce que nous sommes, elles les ont passés à frétiller du derche au moindre indice de force, de puissance et de brutalité. Pourquoi ? Parce lorsque votre organisme renferme des ovaires et un utérus, que votre reproduction vous fait courir un danger vital aussi extrême qu’indispensable, et que vous vivez dans un environnement hostile, de tels attributs sont encore les meilleurs pour vous protéger, vous et le fruit de vos entrailles, et vous aider à transmettre vos gènes aux générations suivantes.
En d’autres termes, il n’y a pas de domination masculine. Un tel système oppresseur, vertical et unilatéral n’existe pas. Ce qui existe, c’est une histoire évolutive qui aura poussé les deux sexes à des stratégies reproductives distinctes.
En décortiquant les principaux territoires de la « domination masculine » – les inégalités scolaires et professionnelles, le harcèlement, les violences familiales et conjugales, le viol et les violences sexuelles, la culture de l’honneur, l’agressivité, la guerre et le terrorisme –, cet ouvrage non seulement les éclaire d’une lumière radicalement nouvelle dans notre paysage intellectuel, mais il permet surtout de mieux les comprendre et de les expliquer, quitte à risquer de saisir, au passage, que les femmes ne s’en sortent vraiment pas si mal… "
La maison d'édition L'Editeur vient de publier La vie des hommes, un recueil d'essais d'Olivier Bardolle. Essayiste et observateur grinçant du monde contemporain, Olivier Bardolle a rassemblé dans cet ouvrage son Petit traité des vertus réactionnaires (L'Editeur, 2010), La vie des jeunes filles (L'Editeur, 2011), L'agonie des grands mâles blancs sous la clarté des halogènes (L'Editeur, 2012) et Des ravages du manque de sincérité dans les relations humaines (L'esprit des péninsules, 2006).
« Oui, un autre monde va être possible, et même inéluctable, mais il ne ressemblera probablement pas à ce que les altermondialistes avaient imaginé. C’est au décryptage des signes annonciateurs de ce monde en voie de dissolution que je me suis attelé depuis une dizaine d’années, ce qui s’est traduit par la parution des textes ici rassemblés. La dissolution comme solution, telle est bien la volonté secrète qui sous-tend les faits et gestes des Occidentaux qui, fatigués d’eux-mêmes jusqu’à la nausée, n’aspirent plus qu’à se débarrasser une fois pour toutes de leur responsabilité historique. En somme, hâtons-nous de tout oublier et qu’on n’en parle plus. C’est ainsi que la vie des hommes, tels que nous la connaissons depuis quelques milliers d’années, est en train de prendre fin pour laisser la place à autre chose. Autre chose à laquelle nul n’est tenu de collaborer, et pour laquelle il n’est pas non plus obligatoire de se réjouir. Libre à chacun de pratiquer la suspension du jugement et de rechercher l’ataraxie en solitaire, tout en profitant des derniers instants de liberté dont il dispose encore pour se délecter de ces moments exquis, si caractéristiques des fins de civilisation, en accrochant à sa face s’il le souhaite – et pour faire bonne figure – le sourire reposant du Bouddha. »
L'Éditeur, jeune maison d'édition, publie cette semaine un livre d'Olivier Bardolle intitulé L'agonie des grandes mâles blancs sous la clarté des halogènes. Olivier Bardolle, observateur lucide et désespéré de la société contemporaine, est déjà l'auteur de plusieurs essais, dont, notamment, De l’excès d’efficacité des systèmes paranoïaques, Des ravages du manque de sincérité dans les relations humaines ou De la prolifération des homoncules sur le devenir de l’espèce, tous publiés chez l’Esprit des péninsules.
"Le grand mâle blanc, au sourire conquérant, cigarette aux lèvres, verre de scotch à la main et Cadillac sous le coude, icône d’une société de consommation en plein essor, n’existe plus. Ses échecs historiques à répétition, les guerres dévastatrices, les décolonisations douloureuses, les krachs en série, l’irruption des nouvelles puissances, ont eu raison de son aura. L’hypermodernité, règne de l’urgence et de la superficialité, a rendu désuètes ces gueules charismatiques. Fini l’homme « taillé pour la pleine mer, pour parcourir les steppes à cheval, traverser les déserts, pénétrer au plus profond des forêts primitives ». Au programme désormais : crise économique, dette publique, précarité de l’emploi, concurrence sauvage et logement clapier. Cette nouvelle existence au rabais signe la fin de la vie héroïque et de ses excès. À l’ère de la grande fusion universelle et du temps numérique, il va falloir apprendre à se faire tout petit.
Un essai drôle et désespérément lucide sur le crépuscule du grand mâle occidental tel que nous le connaissons depuis la découverte de l’Amérique, et tel que lui même a pu s’admirer dans le miroir complaisamment tendu par Hollywood."
Au sommaire cette semaine :
- sur Valeurs actuelles, Denis Tillinac mouche ceux qui, à droite, courent après la gauche sociétale...
- sur Metamag, Claude Lorne flingue l'association Ni putes ni soumises et les bonnes "affaires" de sa présidente...