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jacques doriot

  • Lorsque tous trahiront...

    Les éditions de La Manufacture des Livres viennent de publier un roman de Pierre Olivier intitulé Lorsque tous trahiront. Celui-ci s'est vu délivrer le premier Prix du roman d'espionnage.

     

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    " Février 1945. Dans les petites villes autour de Sigmaringen, les Français partisans du régime nazi se rassemblent. Miliciens en déroute, collabos en exil, chacun essaie de faire les bonnes alliances pour tirer son épingle du jeu et éviter les tribunaux militaires. 
    Sur une route de campagne, Jacques Doriot, un des chefs collaborationnistes réfugiés en Allemagne, est tué dans le mitraillage de sa voiture par un avion non identifié. La présence sur les lieux du drame d’un officier des services de renseignement nazis sème le doute. Et si le «Grand Jacques» avait été victime d’un complot, liquidé par ses amis ?
    Un jeune lieutenant se trouve être l’un des premiers témoins de l’affaire et va être chargé de comprendre qui avait intérêt à cette mort. Mais dans cette période trouble, encore faut-il savoir à qui se fier et débusquer les traitres. "

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  • Des volontaires...

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman de Saint-Loup intitulé Les Volontaires.

    Aventurier, journaliste engagé dans la collaboration et écrivain, sous le pseudonyme de Saint-Loup, Marc Augier (1908-1990), est l'auteur de nombreux récits et romans dont Face nord, La peau de l'Aurochs, La nuit commence au Cap Horn (Transboréal, 2015), La République du Mont-Blanc (Auda Isarn, 2020) et Nouveaux Cathares pour Montségur (Auda Isarn, 2020). 

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    " En 1941, tandis que l’Armée allemande se précipitait vers Moscou, les dirigeants des partis politiques parisiens fondaient la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF). Plus de 10 000 hommes se présentèrent. Ils venaient de toutes les classes de la société française de l’époque et pour les motifs les plus divers. 3 000 environ furent jugés aptes à combattre la Russie aux côtés des Allemands. Parmi eux on trouvait des licenciés ès lettres, des ingénieurs, de faux princes et de vrais marquis, des clochards et des héros de la guerre 1914-1918, d’anciens combattants des Brigades internationales et des partisans de Franco, des acrobates motocyclistes, de vrais curés et de faux évêques.

    C’est cette croisade contre le bolchevisme, sous des températures hautement négatives, que nous conte ici Saint-Loup. Revivez cette page héroïque de notre histoire, au milieu des isbas, des forêts et des partisans. Vous y croiserez l’écrivain Jean Fontenoy, Jacques Doriot, Mgr Mayol de Lupé, prélat botté et casqué, et, bien sûr, Le Fauconnier, probable double romanesque de l’auteur, soldat politique de l’Europe raciale et païenne. "

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  • Des maquis blancs...

    Les éditions Konfident viennent de publier une étude historique d'Olivier Pigoreau intitulée Maquis blancs - La « résistance » des collabos 1944-1945.

    L'auteur a publié plusieurs ouvrages documentés sur des épisodes oubliés de la deuxième guerre mondiale comme Bad Reichenhall : un épisode tragique (Jacques Grancher, 2010), consacré à l'affaire de l'exécution sommaire d'une dizaine de Waffen SS français par des membres de la 2e DB, Sanglante randonnée (Histoire & Collections, 2013), qui retrace la parcours d'une unité allemande composée de volontaires français chargée de traquer les groupes de la résistance, ou encore Son âme au diable (Konfident, 2020), consacré aux années de guerre de Jean-Marie Balestre, ancien président de la Fédération internationale de sport automobile.

     

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    " De l'été de la Libération jusqu'au printemps 1945, les services spéciaux allemands ont mené sur le sol français une guerre secrète comparable à celle conduite entre 1940 et 1944 par les Alliés. Des centaines d'hommes et de femmes, militants du Parti populaire français de Doriot, miliciens et autres partisans de la cause du Reich réfugiés sur l'autre rive du Rhin ont été infiltrés dans notre pays, notamment par parachutages, afin de créer un mouvement de résistance qui mènerait la lutte contre les armées occidentales et saperait l'autorité du nouveau gouvernement. Dans les zones montagneuses, les ultras de la collaboration rêvaient de créer des «maquis blancs» et, partout ailleurs, de mettre sur pied des réseaux de renseignement et d'action. La formation des agents, leurs matériels et leurs missions : ce livre lève le voile sur une guerre restée inconnue. "

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  • Jacques Doriot et le PPF...

    Les éditions Synthèse viennent de rééditer n recueil de textes et de témoignage établi par Bernard-Henry Lejeune et intitulé Jacques Doriot et le PPF. L'auteur a été militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire fran­çais.

     

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    " Initialement publié en 1977 par le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste qui était très active à cette époque en Picardie, la première partie de cet ouvrage fut sans doute le premier livre consacré à Jacques Doriot et, de surcroît, réalisé par un Doriotiste. En effet, Bernard-Henry Lejeune, à qui nous devons cet « historisme », pour reprendre le terme consacré, est resté toute sa vie fidèle à son premier engagement militant à la fin des années 30 dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français... 

    Je me souviens avoir acheté ce livre au moment de sa parution lors d’une réunion du Parti des Forces nouvelles à Paris. Il faut rappeler qu’à cette époque l’édition d’un livre dans notre famille politique était un événement qu’il ne fallait pas manquer. Le numérique n’existait pas encore… C’est ainsi que de nombreux militants de ma génération découvrir de manière sereine la vie et l’engagement de Jacques Doriot à travers les textes réunis dans ce livre. Nous étions aux antipodes des carcans idéologiques imposés par les vainqueurs de 1945 au sujet de ce chef de parti tant décrié et poursuivi par la haine tenace et hypocrite des communistes alors encore tout puissants.

    Bernard-Henry Lejeune avait veillé à ce que son historisme soit diffusé dans un grand nombre de bibliothèques universitaires tant en France qu’à travers le monde. C’était un acte militant car il jugeait, à juste titre, préférable que les étudiants en quête de renseignements sur le fondateur du PPF lisent ce livre plutôt qu’un autre écrit par des gens mal intentionnés dont l’objectivité resterait discutable. 

    Puis, dans les années 80 et 90, d’autres ouvrages furent consacrés à Doriot... Cet « historisme », lui, fut vite épuisé et la disparition de son auteur empêcha la publication de sa seconde partie.

    Au mois de juin dernier, lors d’une visite à Lille, j’ai eu le plaisir de revoir Didier Lejeune, le fils de Bernard-Henry Lejeune. Nous finîmes bien sûr par parler du livre de son père et c’est ainsi qu’il fut décidé, dans le cadre des Bouquins de Synthèse nationale, de le rééditer. Je pensais qu’il était dommage que ce livre tombe totalement dans l’oubli… et qu’il était encore plus dommage que la seconde partie ne soit jamais éditée. Didier fut sensible à mes arguments et je tiens à l’en remercier sincèrement.

    Cette seconde partie, qui traite de la période correspondant à la Seconde Guerre mondiale, a finalement été éditée en 2014 sous la forme d’un Cahier d’Histoire du nationalisme (le n°3).

    Ces deux livres étant à nouveau épuisés (comme quoi Jacques Doriot et le PPF continuent à susciter l’intérêt), nous avons décidé de les rééditer en un seul volume regroupant tous les textes.

    Ainsi, plus de 80 ans après le rendez-vous de Saint Denis, le 28 juin 1936, qui donna naissance au plus grand parti nationaliste des années 30 et 40, et près de 40 ans après la première édition de la première partie de cet « historisme », vous avez entre les mains un ensemble de documents, qu’il convient certes de remettre dans le contexte de l’époque, mais qui vous permettront de mieux connaître le vrai Doriot…

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale "

     

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  • Avec Doriot !...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un essai de Pierre Drieu la Rochelle intitulé Avec Doriot. Il est précédé de Doriot ou la vie d'un ouvrier français. Drieu a écrit ces deux textes en 1936 et 1937 au cours de la période pendant laquelle il a fait partie du Parti populaire français de l'ancien cadre dirigeant communiste Jacques Doriot.

     

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    " Je vais vous raconter la vie d’un ouvrier français.

    C’est une vie pleine d’action et d’événements ; c’est une vie étonnante et émouvante ; c’est une expérience terrible et magnifique qui résume toute la destinée du peuple de France depuis la guerre.

    Quand on connaît bien cette vie-là, quand on la comprend bien, quand on en tire tout l’enseignement qu’elle comporte, on est un autre homme.

    On n’est plus un Français quelconque, hésitant, plein de doutes et de soucis, qui tantôt proteste, tantôt se soumet. On est un homme averti, qui sait tout ce qu’il a perdu et tout ce qu’il peut regagner, qui sait les causes de son mal et le remède pour guérir son mal ; on est un homme décidé qui sait où aller et qui est prêt à tout supporter et à tout oser pour y parvenir. "

     

     

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  • Le socialisme fasciste de Pierre Drieu la Rochelle...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer Socialisme fasciste, un essai de Pierre Drieu la Rochelle, publié initialement en 1934 et qui était devenu très difficile à trouver. On notera que l’œuvre de Drieu la Rochelle suscite depuis quelques années un regain d'intérêt, qui s'est traduit par la publication d'un volume de romans et de récits dans la Pléiade, mais aussi par de nombreuses rééditions comme celles des Textes politiques (Krisis, 2009), des Chroniques des années 30 (Editions de Paris, 2016) et du  Jeune Européen (Bartillat, 2016), ou encore par la publication d'un nombre conséquent d'essais tels que Les frères séparés (Petite Vermillon, 2011) de Maurizio Serra, Pierre Drieu la Rochelle (Perrin, 2011) de Jacques Cantier, Drieu la Rochelle face à son oeuvre (Infolio, 2015) de Frédéric Saenen, Malraux et Drieu la Rochelle (Ovadia, 2016) de Jean-Louis Saint-Ygnan ou Les derniers jours de Drieu la Rochelle (Grasset, 2016) d'Aude Terray...

     

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    " Issu de la gauche républicaine et progressiste, Drieu la Rochelle (1893-1945) se placera dans les années 1930 dans la lignée du premier socialisme français, celui de Saint-Simon, Proudhon et Charles Fourier, ce qui le conduira à adhérer en 1936 au Parti populaire français, fondé par Jacques Doriot, et à devenir, jusqu'à sa rupture avec le PPF en 1939, éditorialiste de la publication du mouvement, L'Émancipation nationale. En 1943, alors que chacun sait que tout est perdu pour les partisans de la collaboration, Drieu la Rochelle, dans un ultime geste de provocation, adhèrera de nouveau au Parti populaire français, tout en confiant à son journal son admiration pour le stalinisme.

    « Dès 1918, j’ai flairé dans le communisme russe, le moyen de produire une nouvelle aristocratie. Je ne m’étais pas trompé. Je cherche maintenant dans le socialisme de forme européenne, dans le fascisme, cette nouvelle aristocratie. Une jeune aristocratie qui ne sera point fondée sur l’argent, mais sur le mérite. » telle est la profession de foi que Pierre Drieu la Rochelle nous fait dans Socialisme fasciste, un ouvrage publié en 1934 et qui n’avait jamais été réédité. "

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