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faits divers

  • Cachez ce prénom que je ne saurais voir...

    Nous reproduisons ci-dessous un pont de vue de l'Observatoire du journalisme consacré à l'omission volontaire de l'origine des  auteurs d'actes rapidement qualifiés de faits divers...

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    Cachez ce prénom que je ne saurais voir

    Le « vivre ensemble » est une chimère qu’une caste politique, médiatique et intellectuelle cherche à imposer depuis des décennies aux Français. Les faits divers étant souvent en contradiction avec cette volonté, les médias de grand chemin ont trouvé le moyen de maintenir l’illusion en pratiquant l’omission volontaire. Reprendre un fait divers en omettant le prénom ou l’origine de l’agresseur, souvent pour masquer des origines étrangères, voilà la recette. Pour nos lecteurs, examinons en détail quelques exemples de cette pratique.

    BFM Lyon est un peu amnésique…

    Le premier cas que nous citons concerne un viol commis en pleine rue le 3 novembre 2023 à Lyon. Selon le site d’actualité locale LyonMag, une étudiante sud-coréenne a été violée dans les rues de Lyon par un migrant guinéen après avoir été roué de coups. L’auteur des faits avait ensuite, quelques jours plus tard, voulu réitérer sur une quinquagénaire qu’il avait étranglée. La victime avait repris connaissance alors que l’homme lui touchait le sexe en se déshabillant. Ce fait divers grave a été repris par la journaliste Lucie Nolorgues qui travaille pour BFM Lyon. Néanmoins, elle a bien omis de préciser que le suspect était un migrant guinéen.

    Cas de récidive

    Un oubli peut arriver, dirons-nous. Cependant en cherchant un peu, un autre exemple d’omission, commis par la même journaliste, est facilement trouvable. Cette fois-ci nous sommes en mai 2023, c’est encore le site LyonMag qui révèle l’information. Quatre jeunes avaient lynché trois policiers après que le leader ait commis un refus d’obtempérer suite à un vol à l’arraché. Dans l’accroche de l’article, LyonMag précise que les suspects, ayant été condamnés à des peines allant de dix mois à deux ans de prison, sont « de jeunes Algériens en situation irrégulière ». Là-encore, bis repetita c’est Lucie Nolorgues qui reprend l’article pour BFM Lyon en omettant à nouveau les origines des suspects.

    De Lyon à Bordeaux

    Continuons notre plongée au sein d’une certaine idée de la déontologie journalistique avec une agression qui s’est produite à Bordeaux le 3 novembre 2023. Elouan, un jeune bordelais de 16 ans, se balade dans les rues de la ville avec sa petite amie. Soudain, un homme du même âge qu’Elouan aborde le couple et poignarde le jeune homme en prenant son téléphone. Le Figaro, qui a fait la chronique des faits, précise que la mère de la victime a signalé que l’agresseur avait « un survêt et des traits maghrébins », un élément qu’Actu Bordeaux ne juge pas nécessaire de préciser à ses lecteurs. Nos lecteurs se demanderont peut-être pourquoi nous ne citons pas un média plus connu ? Aucun de ces « gros médias » n’a trouvé utile de publier un article sur une agression comme celle-ci, violente, mais devenue banale dans la France Orange mécanique.

    De la Gironde au Var

    Cas suivant avec un autre viol, survenu dans le Var en août 2023. Une joggeuse trentenaire est violée sur les rives du fleuve Reynard. L’agresseur, confondu grâce à ses empreintes présentes dans le fichier des traces génétiques en France et en Allemagne, s’avère être un Afghan âgé de 25 ans. Tenant d’un solide palmarès, il avait quelques jours plus tôt « importuné » une femme travaillant pour l’association d’aide aux migrants par laquelle il était pris en charge. Notons également qu’il était connu de la police outre-Rhin pour une agression sexuelle. C’est France Bleu Var qui nous apprend cette histoire et le profil du suspect car BFM, fidèle à ses habitudes, a repris l’article mais en omettant, là-encore, l’origine du suspect.

    Du Var à Marseille

    Autre histoire, même procédé avec une agression à Marseille qui date de fin octobre 2023. Ce jour-là, près de la gare Saint-Charles, une jeune femme de 32 ans est passée à tabac par un homme de 51 ans à coups de pieds pendant plus de dix minutes. L’agression a défiguré la jeune femme. Un fait grave, mis en avant par Valeurs Actuelles. Le site d’actualité Actu Marseille reprend l’information, avec une omission, comme s’en doutent nos lecteurs, le profil du barbare : un Algérien en situation irrégulière.

    De la Provence à la Bretagne

    Enfin, concluons ce triste florilège par une histoire dont les médias de grand chemin ont peu parlé mais qui illustre l’impunité quasi totale des délinquants commettant ce genre d’agressions. Nous sommes à Dinan, dans les côtes d’Armor, le 30 août 2023. Une agression particulièrement violente est filmée par un jeune qui dit « finis-le wesh » en incitant ses congénères à mettre des « penaltys » dans la tête des victimes, deux jeunes hommes. Les agresseurs, six jeunes hommes, dont un Malgache sous OQTF, s’en sont pris à ces deux jeunes gens et ont causé, pour l’un d’eux, 45 jours d’ITT pour le motif suivant : les victimes étaient rousses. C’est par Le Petit Bleu des Côtes d’Armor que nous apprenons l’info. Nous avons cherché, rien dans les médias de grand chemin, la seule reprise que nous avons trouvée est un article du Télégramme, lacunaire et qui ne dit rien sur le profil des suspects. Notons que les auteurs des faits n’ont écopé que de peines de prison aménagées, des petites peines dont les auteurs s’enorgueillissaient en sortant fièrement du tribunal.

    Terminons par Paris

    Terminons par une « petite omission », cette fois il ne s’agit pas des origines mais du prénom de l’agresseur qui a été mis de côté par ActuParis. L’histoire a eu lieu à Boulogne-Billancourt, où un chauffeur VTC a jugé qu’il était de sa mission de se glisser nu dans le lit d’une de ses clientes. Le Figaro, grâce à qui nous savons l’affaire, précise que le suspect s’appellerait Medhi. Un élément omis par le site que nous avons cité plus haut.

    Cet article semble redondant et il l’est. Ces faits se multiplient en France mais ce n’est pas le cœur de notre sujet. Ce qui nous intéresse ici c’est de constater que certains journalistes, pour des motifs divers, mettent de côté des informations qui pourraient permettre aux Français de prendre conscience des conséquences de l’immigration. Comme si la consigne en était donnée dans les principales écoles de journalisme.

    Observatoire du journalisme (Ojim, 14 novembre 2023)

     

     

    Le « vivre ensemble » est une chimère qu’une caste politique, médiatique et intellectuelle cherche à imposer depuis des décennies aux Français. Les faits divers étant souvent en contradiction avec cette volonté, les médias de grand chemin ont trouvé le moyen de maintenir l’illusion en pratiquant l’omission volontaire. Reprendre un fait divers en omettant le prénom ou l’origine de l’agresseur, souvent pour masquer des origines étrangères, voilà la recette. Pour nos lecteurs, examinons en détail quelques exemples de cette pratique.
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  • Medias et politiques : le duo du complot...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous Le samedi politique de TV Libertés, présenté par Élise Blaise, qui recevait Laurent Obertone, pour évoquer le fonctionnement des médias du système et la sélection des faits divers "utiles"... Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de La France Orange mécanique (Ring, 2013) et de La France Big Brother (Ring, 2015), ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013) et du roman Guérilla (Ring, 2016)....

     

                                        

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  • Faits divers de l'Europe envahie...

    Nous reproduisons ci-dessous une tribune libre de Flavien Blanchon, cueillie sur Novopress et consacré à l'importance du faits divers comme révélateur de l'état de la société...

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    Faits divers de l'Europe envahie

    Le fait divers marche. Apportant depuis deux ans, pour les informations étrangères, ma modeste contribution à Novopress, j’observe que les violences, délits, crimes commis par des immigrés, a fortiori si ces immigrés sont musulmans, intéressent toujours. Les articles de ce genre, que je ne fais guère que traduire de l’anglais, de l’allemand, de l’italien surtout, sont vus, « aimés », « tweetés », repris sur d’autres sites beaucoup plus que le reste de ma production. Je ne m’en réjouis certes pas – je préférerais, par vanité d’auteur, que l’intérêt se portât sur des textes qui m’ont coûté un peu plus de temps et de réflexion –, mais je le constate.

     

    Ces articles nous valent régulièrement aussi, depuis qu’il est possible de commenter sur Novopress, des commentaires peu amènes, y compris de la part de lecteurs qui ne semblent pas être des maniaques ou des salariés de l’antiracisme. « Ce genre de fait divers n’apporte strictement rien à votre ligne éditoriale… »« Hé bien, Novopress ne s’arrange pas ! les faits divers du Parisien libéré. Bravo les gars, vous allez faire triompher les idées d’enracinement comme cela ! »

    Pareilles protestations sont d’abord une réaction de classe. Le fait divers est traditionnellement associé à la presse populaire. Le terme même, qui n’a pas d’équivalent littéral dans les autres langues, apparut en français sous le Second Empire – on parlait jusque là de canards –, en même temps que Le Petit Journal, le premier quotidien français à un sou, spécialisé dans le sang à la une. Jusqu’au milieu du XXème siècle voire plus récemment encore, un journal de faits divers, c’était ce qu’on appelait dédaigneusement un « journal de concierge », tandis que les quotidiens bourgeois donnaient les vraies informations : les débats à la Chambre des députés, les cours de la Bourse, le carnet mondain…

    Mais nous n’en sommes plus là. Les historiens, qui l’avaient longtemps méprisé avec les autres, ont découvert l’intérêt du fait divers, à la fois en lui-même et par la mystérieuse fascination qu’il exerce. Il y a déjà trente ans, en 1983, que les Annales ESC, comme elles s’appelaient alors, une des plus prestigieuses revues historiques françaises, publiaient un numéro spécial, « Fait divers, fait d’histoire ». Marc Ferro soulignait en introduction : « Le fait divers constitue un objet d’histoire privilégié. Comme révélateur, il signale les crises du tissu social, économique, politique, ou du système des valeurs. Il joue le rôle, en quelque sorte, d’un indicateur de santé ». Le fait divers de l’immigration révèle, tout simplement, que les sociétés européennes sont malades de l’immigration. Perçant un instant le voile de mensonge persévéramment tissu par les politiciens, les journalistes et les archevêques, il donne à voir ce que vivent tous les jours les autochtones, les injures, les agressions, les viols, les lois qu’on refuse à dessein d’appliquer, le racisme anti-blanc, les capitulations toujours plus abjectes et jamais suffisantes devant les revendications islamiques : bref, la chronique de l’invasion.

    Les « littéraires », qui se sont penchés sur le phénomène avant les historiens, ont analysé la « structure du fait divers » – titre d’un célèbre article de Barthes, repris dans ses Essais critiques de 1964. Ils ont montré que le fait divers suppose deux termes, entre lesquels la relation normale, régulière, raisonnable est dérangée ou inversée. Les journalistes anglo-saxons parlent de man-bites-dog items : il y a fait divers quand l’homme mord le chien, quand il y a antithèse, paradoxe, disproportion, rapprochement de deux contenus qui devraient être séparés, inversion des moments et des lieux. Quelques exemples de Barthes : une femme met en déroute quatre gangsters, un juge disparaît à Pigalle, des pêcheurs islandais pêchent une vache, le chef de la Police tue sa femme. Les faits divers, dit de son côté Georges Auclair (Le Mana quotidien : structures et fonctions de la chronique des faits divers), ne font jamais « que noter un écart par rapport à la norme sociale, morale ou naturelle ».

    Le fait divers de l’immigration porte cette incongruité au carré. Qu’une mère morde sa fille, qu’un homme viole un chien, qu’un dealer soit surpris par la police en train de vendre de l’héroïne derrière une église, qu’un plat à la sauce bolognaise provoque une émeute, ce sont typiquement des faits divers. Mais cette mère est une immigrée musulmane qui a attaqué à coups de dents, à côté de Rome, sa fille « trop occidentale ». Ce violeur de chiens est un immigré clandestin, déjà connu des services de police pour des faits de vols et de violences. Ce trafiquant de drogue est un Tunisien à peine débarqué de Lampedusa et qui venait d’obtenir un « permis de séjour à but humanitaire ». Cette émeute est le fait de familles musulmanes, installées en priorité, au détriment des Italiens, dans un camp pour sinistrés en Émilie-Romagne, et auxquelles des volontaires de la Protection civile venaient servir un repas chaud. Vous avez des faits divers de l’immigration. Le plus anormal, le plus aberrant, le plus absurde, ce n’est pas ce que font tous ces gens mais qu’ils le fassent chez nous : c’est qu’on les ait laissé rentrer et qu’on ne les mette pas dehors, c’est le déferlement de l’Afrique, c’est l’Islam en Europe.

    Le fait divers de l’immigration, en dernière analyse, raconte la folie de l’immigration extra-européenne de masse. Il est la vignette du grand renversement de tout ordre et de toute raison, du suicide collectif imposé aux peuples d’Europe. Voilà bien pourquoi les séides du Système ne sauraient raconter le moindre fait divers sans le « normaliser », sans inverser l’inversion : Jihad (qui éblouissait avec un laser les pilotes d’avions à Orly) devient Sébastien, l’assassin Souleymane Vladimir, le massacre sauvage d’un petit Blanc par une bande ethnique, une bagarre entre « jeunes » qui a mal tourné.

    Ces procédés ont un précédent. Marc Ferro, en 1983, à l’époque où l’URSS existait encore, relevait qu’il n’y avait pas de faits divers en URSS. « Dans la réalité sociale, ils persistent sans doute, mais le régime, en contrôlant la presse, les nie, les efface de la chronique ». « Le silence est opaque sur les accidents, sur les catastrophes, celles notamment dont le système pourrait être considéré comme responsable ». On a « recours à un vocabulaire banalisé : on parle de hooliganisme ».

    Si l’antiracisme, selon la formule fameuse, est le communisme du XXIème siècle, il n’est pas surprenant qu’il déteste lui aussi les faits divers, comme, du reste, les faits tout court. L’Italie est, pour l’instant, un peu moins avancée sur cette voie que la France, mais il est révélateur que les campagnes toujours plus virulentes qu’y mènent les politiciens et les médias du Système « contre le racisme sur Internet », visent en priorité le site « Tous les crimes des immigrés », qui ne fait rien d’autre que donner des liens vers les journaux locaux : Tartuffe-Riccardi, ministre de la Coopération internationale et de l’intégration de feu le gouvernement Monti, lui vouait une haine dévote toute spéciale. Le temps n’est sans doute pas loin où, partout en Europe, la censure aura entièrement aboli le fait divers de l’immigration. En attendant, nous en parlons.

    Flavien Blanchon (Novopress, 28 février 2013)

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  • Vengeances de femmes !...

    Journaliste, polémiste, romancier, auteur de l'excellent Coeur-de-cuir (Flammarion, 1998), Patrick Gofman publie aux éditions de l'Atelier Fol'fer, une deuxième version, revue et augmentée de Vengeances de femmes, un livre qui vous fera regarder votre compagne, votre collègue de bureau ou votre voisine d'un autre œil !

     

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    "« Les femmes portent la moitié du ciel. » Et quelle proportion des enfers ? Vengeances de femmes est une anthologie. Une fleur. Une sélection des meilleures, c'est-à-dire des pires vengeances de femmes. 50 vacheries choisies dans l'Histoire, la mythologie, les faits divers et la littérature. 50 recettes pour accommoder le connard au sang. L'idée ? Elle traîne depuis longtemps dans les magazines. Mais elle appartient d'origine à une femme, Dominique R., journaleuse et maman, qui l'a donnée à un homme, Patrick Gofman, pour son bien, sûrement. Auparavant, elle l'avait envoyé gifler un banquier, à Neuilly. Le financier fit trois tours dans ses mocassins en croco, articula les excuses exigées, puis il dit au savetier en rangers, d'un air de pitié : « Ne croyez donc pas toujours les femmes sur parole, mon ami. » "

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