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caroline fourest

  • Feu sur la désinformation... (420)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin.

                           

    Sommaire :

    La météo de l’info : riante à Londres et glaçante à Paris

    L’image de la semaine : Hommage du 8 mai et hommage du C9M

    Le dossier : Un couronnement populaire et critiqué

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    Les pastilles de l’info :

    Ça décoiffe - L’Italie sans les Italiens

    Le coup de gueule - Thierry Vincent journaliste pro black blocs

    La grande occultation - Complaisant d’enquête

    Le super bobard - Olivier Véran et le mépris des blouses blanches

    Propagande, propagande - Libé et les néonazis

    L’idiot du village global - Un "envahisseur" avoue tout

    Top ou Flop - Tucker Carlson de retour… sur Twitter

    Le coup de chapô - Hommage à Dominique Venner

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    Portrait piquant : Caroline Fourest

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  • Feu sur la désinformation... (351)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 : L'image de la semaine
      Emmanuel Macron a rencontré Joe Biden à Rome en marge du G20. Cette rencontre, pavée de bonnes intentions de réconciliation, s'est soldée pour Macron par une véritable humiliation. Retour en image sur ce fiasco diplomatique.
    • 2 : Zemmour face aux antifas
      Eric Zemmour a pris la parole face à un large public au Zénith de Nantes. Les antifas en ont profité pour organiser une manifestation sauvage dont la violence s'est dirigée sur la police. L'AFP (Agence France Propagande !) parle de manière mensongère de heurts entre pros et anti-zemmour. JY Le Gallou rétablit la vérité sur cet épisode d'actualité.

    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Renaud Camus sur CNEWS, du jamais vu !
      Renaud Camus était l'invité d'Ivan Rioufol sur CNEWS. Il a parlé de ses thèmes sans langue de bois, ce qui n'a pas manqué de susciter l'ire des tartuffes, Caroline Fourest en tête...

     

                                            

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  • Les Nouveaux Vertueux...

    Les éditions Jean-Dézert ont publié en fin d'année 2017 ont publié un réjouissant pamphlet, en forme d'abécédaire,  de Bruno Lafourcade intitulé Les Nouveaux Vertueux. Ecrivain, Bruno Lafourcade est notamment l'auteur de L'Ivraie, une des bonnes surprises de la dernière rentrée littéraire.

     

    Lafourcade_Les nouveaux vertueux.jpg

    " Ils sont nos nouveaux bien-pensants : ils étaient autrefois réactionnaires et se disaient de droite, ils sont aujourd’hui progressistes et se croient de gauche. Leur caractéristique ? Juger les faits et les opinions selon leur idée de la vertu, et non selon la vérité, puisque leur morale s’accommode du mensonge. Leurs moyens ? Les médias. Leurs armes ? La négation des faits et la nazification des opinions. Ils s’appellent Plenel, Fourest, Joffrin, Ruquier, Boutelja, Diallo, Taubira, Thuram, Noah, Mélenchon, Bergé, Garrido, Schiappa – mais leur nom est Légion : ce sont les nouveaux vertueux, et ils mentent en meute, car quitter la solitude, c’est quitter la vérité. "

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  • Les snipers de la semaine... (86)

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    Au sommaire cette semaine :

     - sur Egalité & Réconciliation, Emmanuel Ratier prend dans sa lunette de tir Richard Malka, l'avocat qui monte, fils spirituel de Georges Kiejman, et qui compte parmi ses clients Caroline Fourest, Marek Halter ou Anne Sinclair...

    Qui est Richard Malka ?

    Malka.jpg

    - sur Le Monde, le sociologue Jean-Pierre Le Goff, flingue la réforme territoriale de la France décidée à la va-vite par François Hollande

    Non à un redécoupage "techno" de la France

    Redecoupage.jpg

     

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  • Génération BHL : et ça continue encore et encore...

    Nous reproduisons ci-dessous un excellent article de Pascal Eysseric, rédacteur en chef d’Éléments, cueilli sur le blog de la revue et consacrés à Bruno Roger-Petit et à Caroline Fourest, deux chiens de garde du système, élevés dans le chenil de l’ineffable Bernard-Henri Lévy...

    Bruno Roger-Petit - BHL - Fourest.png

    Bruno Roger-Petit et Caroline Fourest entourent le maître Bernard-Henri Lévy

     

    Bruno Roger-Petit, Caroline Fourest, les ravages de la génération BHL

    Il y a plus de trois décennies ans, le 3 octobre 1980, à 18 h 38, une bombe d'une forte puissance explosa devant la synagogue de la rue Copernic, à Paris, provoquant la mort de quatre passants. Le lendemain, Jean Pierre Bloch, le président de la LICRA déclara au journal de 13 heures de TF1 :
    «Les assassins, ce sont aussi ceux qui ont créé le climat. (…) Je dis que cet article prête à l'attentat et crée l'antisémitisme. Malgré ce que dira M. Pauwels — il versera sans doute comme beaucoup d'autres de larmes de crocodiles sur les victimes — , je dis que le responsable de l'assassinat, c'est cette presse ».

    Trois jours plus tard, lundi 6 octobre 1980, Bernard-Henri Lévy écrit dans Le Quotidien de Paris :
    «C’est toujours délicat d’établir des liens de cause à effet entre les discours et les actes. Mais il ne me paraît pas absurde de dire que tout le ramdam qu’on a fait récemment autour des thèses élitaires, indo-européennes, parfois eugénistes, des sous-développés de la nouvelle droite, par exemple, a préparé le terrain à la situation d’aujourd’hui. »

    Dans son viseur : Jean-Claude Valla, le jeune rédacteur en chef du Figaro Magazine, l'un des journalistes les plus brillants de sa génération, et l'une des figures les plus importantes et attachantes de la Nouvelle Droite. Ce dernier dut démissionner. La thèse du «climat » venait de faire sa première victime. Dans ses Mémoires — hélas inachevés —, que vient de faire paraître la vaillante maison d'édition Alexipharmaque, Jean-Claude Valla rappelle à toutes fins utiles :

    «On sait aujourd’hui qu’il s’agissait de Palestiniens appartenant à un petit groupe dissident du FPLP de Georges Habache, le «Palestinian Liberation Front Special Command » dont le chef s’appelait Salim Abou, et que l’explosif avait été acheminé par une valise diplomatique libanaise. »

    Dans une belle et émouvante préface qu'il consacre à son ami, Michel Marmin explique : « Meneur d'hommes qui savait allier la délicatesse à la fermeté, Jean-Claude Valla était un grand journaliste, doublé d'un historien non conformiste et scrupuleux. Ses mémoires, dont sa disparition prématurée interrompit malheureusement la rédaction, restituent pleinement sa personnalité lumineuse. Pour être incomplets, ils n'en constituent pas moins une magnifique leçon de conviction et de courage, deux vertus que les jeunes Européens ne sauraient trop aujourd'hui cultiver. »

    Trente ans ont passé, Jean-Claude Valla est mort à Pau le 25 février 2010, Bernard-Henri Lévy est toujours vivant. À ce jour, le faussaire n'a formulé aucun remords ni présenté aucune excuse. Trente ans ont passé, la thèse du «climat » a fait école, gangrenant le journalisme français, désormais en danger de mort.

    La thèse du «climat », l'effroyable plaie du journalisme français

    Pas une semaine ne s'écoule sans que cette détestable méthode inventée par Bernard-Henri Lévy ne soit reprise par un arriviste pour éliminer un concurrent. Il est vrai que depuis trente ans, la méthode béhachélienne d'intimidation comme moyen de promotion a fait ses preuves. La cible du moment s'appelle Frédéric Taddeï, le présentateur de l'émission «Ce soir ou jamais » (France 2).
    Adepte de la prétérition lourde et répétitive, de la double négation qui en dit long sur l'état d'esprit de son auteur, le journaliste de télévision Bruno Roger-Petit a remis au goût du jour la méthode behachelienne. Il ne s'agit pas ici de dénoncer la responsabilité dans un attentat, mais celle du succès surprise de la manifestation «Jour de Colère ». Les procédés stylistiques sont exactement les mêmes. L'absence totale d'honnêteté intellectuelle aussi.

    Dans son billet, Bruno Roger-Petit écrit : «Il n'est pas question ici de pratiquer le jeu de l’œuf et de la poule. Il n'est pas question d'accuser Taddeï (et d'autres) d'avoir engendré la manifestation «Jour de colère » et ceux de ses participants qui font un usage repoussant de ce qu'ils considèrent relever de la liberté d'expression. En revanche, on ne peut pas ne pas s'interroger sur le point de savoir si, à force d'avoir tendu le micro à divers vecteurs de divisions et d'oppositions entre Français, ils n'ont pas contribué, et Taddeï le premier, au dévoiement de la liberté d'expression transformée en arme contre la République et les droits qu'elle offre à chacun d'entre nous. »

    De là ou il est, Jean-Claude Valla me pardonnera d'avoir pensé à lui, en lisant ce passage d'un journaliste si médiocre. Il est pourtant emblématique de la tournure d'esprit d'une certaine école journalistique qui tient le haut du pavé en France (Renaud Dely, Joseph Macé-Scaron, Caroline Fourest, Nicolas Demorand, etc.). Cette génération perdue pour le journalisme a fait de la théorie du «climat » une religion. Le «climat» avant les faits. Le «climat» comme explication totalitaire du monde. Le «climat» pour mieux éliminer un adversaire idéologique. C'est Caroline Fourest qui explique à propos de l'affaire «Abdelhakim Dekhar », et avant même de connaitre l'identité du tueur, que ce n'est un «simple fait divers», mais bien un «climat particulier» qui est en cause. Fervente militante de la méthode behachélienne d'intimidation, Caroline Fourest lâche ses coups :
    « La plus grande responsabilité, aujourd'hui, est à droite, où l'absence de complexe et la surenchère ont libéré une parole mortifère. On entend décidément trop peu la droite républicaine. Où est-elle? Quand des gens de son propre camp dérapent et tiennent des propos à droite de l'actuel Front national».

    La méthode béhachélienne d'intimidation peut connaitre des ratés. Journaliste aux Inrockuptibles, David Doucet a démonté avec beaucoup de rigueur et d'à-propos les mensonges de Caroline Fourest sur Frédéric Taddeï. L'agenda de carrière ou de promotion leur tenant lieu de pensée, il est assez facile de suivre les adeptes de la méthode BHL à la trace. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, les victimes ne sont pas toutes de droite, loin s'en faut. Les petits meurtres se pratiquent également entre amis. Longtemps au service de la coterie strauskhanienne, Bruno Roger-Petit a utilisé la méthode béhachelienne contre Manuel Valls, quand en 2009 ce dernier cherchait à prendre ses distances avec son mentor, ou contre Benoît Hamon, le remuant représentant l'aile gauche du parti socialiste (quand il était dans l'opposition).


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    Biberonné au lait de l'Idéologie française, le journaliste de connivence aboie quand des journalistes nuisent à leur client ou ne correspondent pas à leur plan de carrière. Toujours prêt, le journaliste de connivence pratique le contre-feu médiatique. À coup de  point d'interrogation et de basses insinuations. D'injures aussi. Il faut sauver le client. À tout prix.

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    Mais, c'est certainement dans l'art de l'insinuation que le journaliste de connivence peut le mieux déployer son art. Son domaine : la généralisation vague, la dénonciation globalisante de la droite, le retournement de veste, le commentaire venimeux. Ecrire tout est son contraire, mais toujours dénoncer. Faire son miel des ragots sur la vie privée sous un président de droite, et si possible en inventer, mais pour mieux dénoncer les atteintes à la vie privée sous un président de gauche. Tartuffe à l'heure d'internet. Bruno Roger-Petit y excelle.

     

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    Pascal Eysseric (Blog Eléments, 29 janvier 2014)

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  • Fractures à gauche...

    Deux ouvrages récents viennent éclairer les soubresauts que connaît la gauche progressiste depuis plusieurs années. De l'accueil contesté de Tariq Ramadan au Forum social européen de Saint-Denis en 2003  à l'agression de Caroline Fourest à la fête de l'Huma en septembre 2012, en passant par l'éclatement du NPA à la suite de la présentation d'une candidate voilée aux élections régionales de 2010, la fracture n'a cessé de s'élargir entre libertaires tendance bobo, féministe ou gay et anti-capitalistes "radicaux", favorables aux alliances avec les "damnés de la terre", quels qu'ils soient...

    On pourra donc feuilleter avec amusement Les féministes blanches et l'empire, de Félix Boggio Ewanjé-Epée et Stella Magliani-Belkacem, publié aux éditions de La Fabrique, et Homonationalisme - Politique queer après le 11 septembre, de Jasbir K. Puar, publié aux éditions Amsterdam. Une bonne initiation à la langue de plomb de la gauche radicale...

     

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    "Depuis la loi dite « sur le voile à l’école » de réelles fractures sont apparues entre les différentes composantes du mouvement féministe pour aboutir à des clivages profonds en termes de mots d’ordre, d’actions et de mobilisations. Dans le même temps, l’offensive raciste s’est affermie, greffant à sa rhétorique la question des « droits des femmes ». Il est de plus en plus courant d’analyser ce virage en terme d’« instrumentalisation du féminisme à des fins racistes ». Ce livre entend précisément interroger et discuter cet énoncé.
    L’idée qu’un mouvement social, une politique d’émancipation, puissent être simplement utilisés, ou récupérés par l’ordre existant pour renforcer son discours rencontre bien des limites. Comment expliquer que la réaction ait pu soudainement se parer de vertus « féministes », elle qui a toujours été si hostile aux mouvements féministes, elle qui est si prompte à défendre le patriarcat ? Pour comprendre ce tournant, il faut envisager la chose non comme une simple « récupération » ou « instrumentalisation » mais plutôt comme une convergence d’intérêt, comme une affinité entre les objectifs, à court ou moyen terme, de larges franges du féminisme et du pouvoir raciste et impérialiste, à des moments historiques précis.
    C’est dans cette perspective que les auteur-e-s de ce court essai entreprennent une généalogie des stratégies féministes : non pas une histoire détaillée, mais plutôt un coup de projecteur sur des situations historiques où la question raciale et/ou coloniale s’est trouvée au cœur du discours des féministes. Les suffragettes et « la mission civilisatrice », le féminisme de la deuxième vague et, plus près de nous, l’épisode de la loi sur le voile à l’école ou encore celui de la solidarité internationale, constituent ces « moments » dont l’étude met à jour les logiques qui ont conduit certaines féministes à promouvoir leurs objectifs aux dépens des colonisé-e-s et descendant-e-s de colonisé-e-s.
    Le livre propose une discussion stratégique sur le féminisme et le racisme, un récit des occasions perdues et de certaines faiblesses héritées que les mouvements progressistes doivent comprendre et dépasser pour inventer des futurs émancipateurs."

     

    Homonationalisme.jpg

    "Dans le monde de l’après-11 Septembre, l’idéologie du « choc des civilisations » se combine à celle d’un « choc des sexualités ». Nous aurions d’un côté le monde occidental, tolérant et libéral, de l’autre le monde musulman, sexiste et homophobe.

    Une part non négligeable du mouvement gay états-unien, en quête d’intégration et de respectabilité, s’est ainsi engagée sur la voie d’une normali­sation « homonationaliste » et soutient les guerres « contre le terrorisme ». Parallèlement, la réception américaine des images de torture d’Abu Ghraib met en évidence les difficultés du féminisme et de la pensée queer à penser les questions de race et d’impérialisme.

    C’est à l’analyse de cette intrication complexe entre politique des sexualités et projets impérialistes occidentaux, qui fait pendant à la question de l’instrumentalisation du discours féministe par des poli-­
    tiques racistes et impérialistes, qu’est consacré Homonationalisme."

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