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mathieu bock-côté - Page 3

  • La présidence Mitterrand : 40 ans de métastases...

    Le numéro 42 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur un dossier consacré aux années de la présidence Mitterrand, un entretien avec Mathieu Bock-Côté, et les rubriques habituelles "Politique", "Monde" "Essais", "Culture", "Envers et contre-cool" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

     

     

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  • Le rap, triomphe des demeurés ?...

    Le numéro 37 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur trois dossiers, l'un consacré à la question du blasphème, l'autre au retour en grâce des villes moyennes et le dernier au rap, des entretiens avec Mathieu Bock-Côté ou Olivier Rey, et les rubriques habituelles "Politique", "Monde" "Essais", "Culture", "Envers et contre-cool" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (48)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    Le numéro 184 (juin-juillet) d’Éléments est en kiosque depuis un dizaine de jours. Ci-dessous sa couverture et son très riche sommaire :

     
    François Bousquet dans la peau de Virginie Despentes : « Je suis une bourgeoise blanche de gauche privilégiée ». L’auteur de Baise-moi s’était exprimée dans une lettre rendue publique sur les ondes de France Inter où elle disait son attachement à la lutte contre les discriminations et sa compassion pour ses victimes issues de l'immigration. Cette apostrophe était intitulée à mes amis blancs qui ne voient pas où est le problème :
     
    Deux brèves interviewes d’Alain de Benoist. Dans la première il s’interroge sur l’avenir du catholicisme et se demande si la déchristianisation des la France ne risque pas de faire apparaitre le catholicisme comme une religion de classe. Dans la seconde il montre que ceux qui s’affirment « gaullistes » aujourd’hui ont trahi depuis longtemps l’héritage du général : 
     
     
     
    Christopher Gérard dans une brève critique salue la parution toute récente du petit livre de Jean-François Gautier, A propos des Dieux (éditions Nouvelle Librairie), une apologie intelligente et cultivée des spiritualités polythéistes :
     
     
    Excellent numéro  d'I-Média de Jean-Yves Le Gallou et Nicolas Faure, l'émission hebdomadaire de Télé-Libertés. Sont abordés essentiellement  les sujets ayant trait aux manifestations et émeutes raciales aux États Unis et en France. L’émission s’emploie à rétablir des vérités occultées par les « journalistes » de propagande :
     
     
    L’OJIM dans un article incisif analyse la comédie victimaire  à laquelle se livre la presse de grand chemin à propos de la mort d’un Afro-américain à Minneapolis et de l’affaire Traoré, remise sur le tapis à cette occasion. il montre que l’opération s’est révélée un succès pour les militants d’extrême gauche, décoloniaux et indigénistes dont la mouvance a gagné en ampleur en usant à l’égard des forces de l’ordre de la technique du renversement accusatoire. Hier ils criaient pas d’amalgame ! Aujourd’hui ils y recourent sans complexe. Assa Traorè, soeur d’Adama et animatrice du comité « La vérité pour Adama », le reconnait elle-même « ça nous dépasse et c’est ce qu’on veut » :
     
     
    « N’importons pas, en France, la question raciale américaine !» proclame, martial, l’ancien député Les Républicains Christian Vanneste ( sur Boulevard Voltaire du 5 juin). Sa cécité l’aveugle comme dirait l’autre car c’est fait depuis longtemps. Ce pompier pyromane occulte également un autre élément massif : les majorités de droite auxquelles il a appartenu ont sanctifié durant des décennies, contre le voeu des populations autochtones, l’importation de millions d’immigrés extra-européens dans l’hexagone créant ainsi la masse de manœuvre nécessaire pour que ce problème, contre lequel il voudrait nous prémunir, éclate à la face de ses promoteurs.
     
     
    L’implacable démonstration du journaliste Nicolas Faure sur le site Polémia : non, les Noirs américains tués par la police ne sont pas victime du « racisme systémique » qui régnerait aux Etats Unis contrairement à ce qu’affirme une propagande insistante :
     
     
    Reprenant les 10 arguments les plus souvent employés par les immigrationnistes pour justifier leur cause, le site « Je Réinforme » propose de dénoncer cet argumentaire, preuves à l’appui :
     
     
    Louis de Raguenel dénonce la maffia Traoré qui depuis la mort accidentelle d’Adama Traoré ne cesse d’accuser les gendarmes. Le rédacteur en chef de Valeurs Actuelles met à mal cette version des faits et dénonce une véritable entreprise d'intoxication qui, avec le soutient d’une partie des médias mainstream pousse des milliers de gens à manifester. Dénonçant la thèse boiteuse du clan Traoré il y voit se manifester l’ambition de l’extrême-gauche indigéniste et décoloniale :
     
    Ci-joint le palmarès judiciaire (édifiant !) de la très nombreuse famille d’Adama Traoré. Un clan qui ne semblerait vivre que de trafics, de deals et d’extorsions :
     
    Grégory Roose dénonce les occultations de l’information concernant George Floyd. Une presse pourtant adepte de fact-checking, qui travaille uniquement dans le sens de l’émotionnel, et fournissant ainsi la matière de la haine contre l’homme blanc qui serait assuré de ses « privilèges ». Un certain anti-racisme ou prétendu tel a ouvert la voie à un racisme aussi décomplexé qu’il est autorisé. Et ceux qui refusent de céder à cette nouvelle grille de lecture objectivement « raciste » sont les premiers que l’on stigmatisera :
     
     
    Dans un article du Point traduit de l’Américain par Peggy Sastre en 2018 William Ray montre que le concept de « privilège blanc » qui fait maintenant son introduction en France souffre de biais fondamentaux. Peggy McIntosh son inventrice, issue de la grande bourgeoisie de la cote est et donc gosse de riches, confond manifestement dans son article fondateur de 1989 les réels privilèges financiers dont elle a pu jouir avec ceux, imaginaires, de sa « race ». En les étendant à l’ensemble d’une population qui se trouve ainsi essentialisée par les passe-droits dont elle bénéficierait. Ayant infusé à peu près partout le concept de « privilège blanc » a largement contribué à détourner les consciences, surtout chez les « racisés-dominés »  de la fracture économique qui va, elle, s’accélérant sans provoquer les troubles sociaux que l’on voit s’étaler aux États Unis. Il est significatif qu’en France même le ralliement de la gauche à ce concept biaisé qui vise à occulter des inégalités criantes sur le plan économique au profit d’inégalités raciales largement fantasmées. Cela va de pair avec son abandon des classes populaires autochtones et cela ratifie la trahison de la vocation qui l’avait fait naître :
     
     
    Julien Rochedy parle éloquemment du pseudo « privilège blanc ».
     
     
    Mathieu Bock-Côté parle du dispositif politico-médiatique profondément inhibiteur qui s’est mis en place au nom de l’antiracisme mais dont la véritable vocation consiste à instruire le procès de la nation tandis que ses défenseurs étaient au pire nazifiés, au mieux refoulés dans les marges et conduits au silence :
     
     
    Zoom de TVL avec Bruno Gollnisch. Celui-ci y fait la liste, toujours plus longue, des lois liberticides qui étranglent les capacités d’expression des Français depuis la loi Pleven jusqu’à la loi Avia. À ce propos il ne mâches pas ses mots sur les fake news d’État, prenant en exemple les États Unis :
     
    Marcel Gauchet dresse un bilan plutôt catastrophique de l’état de la France. Délabrement de l’État et désarticulation du système de décision politique, rendue visible pendant la crise du Covid-19. Il met principalement en cause l’universalisme des élites qui se vivent comme « citoyennes du monde »  :
     
     
    « Bâtir quand tout s’effondre ». L'engagement qui est au coeur de l’université d’été d’Academia Christiana, qui chaque année réunit pas moins 300 jeunes gens et jeunes filles. 
    Interview de Victor Aubert l’un des animateurs. On suivra par ailleurs l’une des conférences de l’édition de 2019 donnée par Arnaud de Robert  sur le thème  « effondrement du système, mythe incapacitant ou réalité dynamique » auquel il répond par ce qu’il appelle un stoïcisme joyeux :
     
    Conférence de Paul-François Paoli : « Quand la gauche agonise» (Cercle Aristote). Enregistrée le 1 février 2016. Un état des lieux qui pour la gauche s’est notablement aggravé depuis :
     
    Un texte de Xavier Eman : « Que l'on dénonce les violences policières me paraît non seulement légitime mais indispensable. Mais ce qui me fascine chez les "antifas" c'est qu'il faut que la victime soit "non-blanche" pour que ces violences aient vraiment un sens, de l'importance et de l'intérêt... Porter aussi loin le dédain des siens et la haine de soi dépasse le cadre politique pour se perdre dans les méandres psychanalytiques... Si l'extrême-droite a pu malheureusement être parfois le "bras armé" du capital, les "antifas" sont en train de devenir la milice auxiliaire de toutes les "minorités ethniques", poussant à une "guerre raciale" contre leur propre sang, une folie dont il subiront d'ailleurs - comme tous les exaltés coupeurs de têtes - les conséquences à leur tour… ».
    Xavier Eman armé d’un humour pince-sans-rire nous compte les aventures rocambolesque de Moussa, militant de la cause noire et pied-nickelé notoire :
     
    L’OJIM trace le portrait d’Abel Mestre journaliste au Monde où il fut spécialisé dans « l’extrême droite », un concept qu’il n’a jamais défini et dont il a tendance à élargir le spectre comme tout bon trotskiste qui se respecte. Un spécialiste de constitution de fiches. Inculte et prétentieux. Bref, un militant de « la République métissée » doublé d’un parfait inquisiteur :
     
     
    Michel Onfray règle ses comptes avec le journal Le Monde. Un véritable festival ! :
     
     
    Une vidéo de Greg Toussaint. Un noir qui ne mâche pas ses mots sur la bien-pensance :
     
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  • Toutes les populations ne sont pas interchangeables !...

    Nous reproduisons ci-dessous une chronique de Mathieu Bock-Côté, publiée dans Le Figaro et cueilli sur le site royaliste Je suis Français, que celui-ci a consacré à la question de l’immigration. Québécois, Mathieu Bock-Côté est sociologue et chroniqueur et est déjà l'auteur de plusieurs essais comme Le multiculturalisme comme religion politique (Cerf, 2016), Le nouveau régime (Boréal, 2017) ou L'empire du politiquement correct (Cerf, 2019).

     

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    Mathieu Bock-Côté : Immigration, « “ Nos valeurs ” ne suffisent pas »

    Il était inévitable qu’Emmanuel Macron, l’homme du « en même temps», prenne un jour la pose du grand leader affrontant sans fausse pudeur la question de l’immigration.

    Il était inévitable aussi que la gauche médiatique transforme cela en scandale : c’était le tour de Macron de faire le jeu du Rassemblement national et de légitimer les « peurs » qui alimentent le « populisme ». Il était assuré, aussi, que le commun des mortels témoignerait d’une immense lassitude devant ce qui semble être un festival de paroles creuses lors du débat à l’Assemblée le 7 octobre.

    On pourrait écrire une histoire des discours volontaristes depuis trente ans prétendant chaque fois reprendre le contrôle sur les flux migratoires, la fermeté étant chaque fois censée se conjuguer avec l’humanisme. Cela n’a pas empêché l’immigration massive de se poursuivre. Le tripatouillage statistique de certains démographes et historiens lyssenkistes au service du régime diversitaire a cherché à dissimuler une transformation profonde de la population française, qu’il n’est d’ailleurs pas permis de mentionner sans se faire extrême-droitiser. Le commun des mortels ne se laisse pas pour autant bluffer. Il y a des limites à vivre dans le déni.

    Pour bien penser la question de l’immigration, il faut sortir du périmètre étroit où on l’enferme. Il est bien vu, lorsqu’on entend faire preuve de fermeté, d’en appeler à coups de rodomontades à une assimilation véritable des populations immigrées à la nation française. Tout le problème survient quand il faut définir cette dernière. On se réfère normalement à l’universalisme républicain et aux principes des Lumières qui le soutiendraient. Certes : ils sont assurément au cœur du patrimoine national. Mais trop souvent, on en propose une lecture désincarnée. La nation se définirait exclusivement comme une communauté de citoyens, sans référence aux mœurs ou à la culture. La laïcité elle-même, quoi qu’on en pense, n’est pas immédiatement universelle : elle s’ancre dans l’expérience historique française et semble souvent incompréhensible pour ceux qui n’en ont qu’une connaissance superficielle, comme on le voit dans le monde anglo-saxon. Trop souvent, d’ailleurs, une partie des élites politico-médiatiques pontifie sur les valeurs de la République pour ne pas avoir à parler de la France. N’est-il pas même permis, à leurs yeux, de douter de l’existence de la culture française  La logique postnationale transforme la France en surface plane condamnée à la désincarnation.

    Il faut renouer avec une conception plus dense de la nation. Il s’agit d’assimiler les immigrés à un peuple historique particulier, qui a tout avantage à vouloir imposer ses propres mœurs, s’il entend servir de norme identitaire aux populations nouvelles. L’historien québécois Michel Brunet disait que trois facteurs pèsent dans l’histoire des peuples : le nombre, le nombre et encore le nombre. Comment imposer les « valeurs de la République » lorsque l’école, par exemple, se retrouve devant une concentration extrêmement élevée de jeunes qui sont culturellement étrangers à la France, à ses coutumes, à ses usages. Les conditions sociologiques de l’assimilationnisme républicain sont en train de disparaître – en certains endroits, que l’on nomme pudiquement les territoires perdus de la république, mais qui sont en fait les territoires perdus de la nation française, elles sont disparues depuis longtemps. On ne saurait assimiler à une conception ethnique de la nation le simple rappel que toutes les populations ne sont pas interchangeables. Un pays ne saurait être absolument indifférent à la population qui le compose, sauf à se présenter comme une construction sociale artificielle où les communautarismes confisqueront tôt ou tard la souveraineté. Il se caractérise aussi par un substrat identitaire, qui ne se laisse pas réduire dans les paramètres du contractualisme républicain.

    Les théoriciens militants des sciences sociales ont beau redéfinir sans cesse à la baisse leur définition de l’intégration, pour nous faire croire que tout se porte pour le mieux dans le meilleur des mondes, ils ne sont plus crus. Le sens commun veut reprendre ses droits, et c’est à son école que doivent se mettre ceux qui veulent parler sérieusement d’assimilation. C’est avec l’immigration massive qu’il faut rompre, qu’elle se présente par la filière régulière ou irrégulière, pour que cesse la formation d’un nouveau peuple « issu de la diversité », dont certains éléments sont trop souvent indifférents ou hostiles à leur pays d’accueil. Un sans-papiers, par définition, a pour vocation de quitter la France. Mais il faut aussi entreprendre une reconquête identitaire et politique du territoire français, pour le réintégrer dans la communauté nationale, en rappelant que les immigrés accueillis au fil des décennies ne sont pas appelés à se séparer de leur patrie d’adoption au nom du droit à la différence mais à en prendre le pli identitaire, en apprenant à dire « nous » avec lui.

    Mathieu Bock-Côté (Le Figaro, 11 octobre 2019)

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  • Le politiquement correct, censure contemporaine ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Mathieu Bock-Côté à la Radio Télévision Suisse et consacré à la censure sournoise imposée dans les débats par le politiquement correct. Québécois, Mathieu Bock-Côté est sociologue et chroniqueur et est déjà l'auteur de plusieurs essais comme Le multiculturalisme comme religion politique (Cerf, 2016), Le nouveau régime (Boréal, 2017) ou L'empire du politiquement correct (Cerf, 2019).

     

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  • Idiocratie, la revue !...

    Nous vous signalons la parution des deux premiers numéros de la revue Idiocratie, liée au site du même nom. Très bien réalisés, superbement illustrés, ces deux numéros de plus de 80 pages ont un contenu particulièrement riche. On peut se les procurer en ligne à partir du site Idiocratie ou dans quelques librairies parisiennes, dont la Nouvelle Librairie, ainsi que chez un bouquiniste rennais.

     

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    Au sommaire du numéro 0 :

    Antimanifeste des idiots, par Les idiots

    Dossier : Critiques de la modernité

    Fiume à l'avant-garde de l'histoire, par Laurent Gayard

    Politique(s) des Modernes, par David Bisson

    Entretien avec Mathieu-Bock-Côté

    Dossier : Les perdants radicaux

    Merah-Breivik, les perdants radicaux, par Laurent Cantamessi

    Islamisme 2.0, la fantômisation du monde, par Alexis Michequine

    Contre-cultures

    Les  perdants magnifiques

    Cinéma

    Musique

    Fiction

    Varia

    Poésies

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    Au sommaire du numéro -1

    Memento mori

    L'empire du management

    Le management de soi, une religion du bien-être pour le XXIe siècle, par David Bisson

    Entretien avec Baptiste Rappin

    Management des radicalités, par Laurent Gayard

    Théodore Kaczynski : unabomber, par Robert Sabotage

    Management du terrorisme, par Jean de Juganville

    Managers, par Emile Boutefeu

    L'unique et sa destinée

    Stirner & Nietzsche. L'Unique en son royaume, par Laurent Gayard

    Anarchie et esprit : la vie en commun, par Alexis Michequine

    Entretien avec Edouard Jourdain

    Entretien avec Luc-Olivier d'Algange

    Contre-cultures

    Les perdants magnifiques

    Notoirement méconnus

    Saines lectures

    Audio Prestige

    Fictions

    Poésies

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