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aventure - Page 2

  • Le corbeau de pierre...

    Les éditions Denoël publient cette semaine Le corbeau de pierre, un roman de Marco Steiner consacré à la jeunesse de Corto Maltese. Amoureux et spécialiste de l'oeuvre d'Hugo Pratt, le père de Corto Maltese, Marco Steiner a été chargé de préfacer la réédition de l'ensemble des volumes de la série.

     

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    " Par une nuit noire et pluvieuse sur la côte de la mer d’Écosse, un groupe d’hommes charge des caisses de whisky et des armes sur un navire à destination des rebelles irlandais. La police arrive, forçant les hommes à s’enfuir dans la nuit. Parmi eux se trouve le père de Corto Maltese, qui décide alors de confier la garde de son fils adolescent à son meilleur ami, le capitaine Kee. Corto va naviguer avec le fils du capitaine et un groupe de solides gaillards : difficile de deviner jusqu’où les mènera leur voyage car à bord de l'embarcation se trouve une mystérieuse statuette de pierre - un corbeau - qui renferme des secrets occultes et ésotériques. Au cours de cette incroyable épopée maritime, Steiner parvient à recréer l’atmosphère si singulière qui caractérise l’œuvre d’Hugo Pratt. Truffé de références historiques et littéraires, Le Corbeau de pierre évoque une période fascinante et jusqu’alors inconnue du grand public : la jeunesse de Corto Maltese."

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  • Ils ont tué tous les héros !...

    Les éditions Le Passeur viennent de rééditer un essai de Jean-Claude Guilbert, publié initialement en 1978 et intitulé Ils ont tué tous les héros. Aventurier et journaliste, Jean-Claude Guilbert est notamment l'auteur d'une biographie d'Hugo Pratt et a signé avec Gérard Chaliand et Patrice Franceschi, De l'esprit d'aventure (L'aube, 2008).

     

     

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    " Nous sommes trop lâches, trop gras, trop mous. Nous avons perdu depuis un certain jour du Moyen Âge le goût du serment. Nous ne respectons plus la parole donnée et — sous prétexte de réalisme — laideur, bassesses et compromissions envahissent notre vie quotidienne.

    De ce pamphlet aux multiples facettes se dégage une question fondamentale: à force de pensées, sommes-nous devenus avares de notre courage ? Jusqu’où l’égoïsme intellectuel et sa fille naturelle, la lâcheté physique, nous conduiront-ils ? Faut-il choisir le geste ou le discours ? Et ces deux positions, apparemment contradictoires chez l’homme occidental moderne, sont-elles vraiment irréconciliables ?

    En 1976, avec Ils ont tué tous les héros, Jean-Claude Guilbert renouvelait l’essai, ensoleillait la colère, malmenait notre quotidien et lançait un appel romantique prémonitoire à ses contemporains. « Il faut agir et réagir, dit-il, afin que nos quatre vérités d’aujourd’hui ne deviennent pas nos remords de demain. » Sur ce sujet grave, inquiétant et totalement d’actualité si l’on observe les mœurs contemporaines, l’auteur se révèle visionnaire. Un pamphlet salvateur ! "

     

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  • Le soleil d'or...

    Les éditions Alexipharmaque viennent de publier un roman de Bruno Favrit intitulé Le soleil d'or. Alpiniste chevronné, lecteur passionné de Nietzsche et porteur d'une vision du monde païenne, Bruno Favrit est l'auteur de nouvelles comme Nouvelles des Dieux et des montagnes (Les Amis de la Culture Européenne, 2004) ou Ceux d'en haut (Auda Isarn, 2007), d'un roman, Criminel de guerre (Les Amis de la Culture Européenne, 2005) et de plusieurs essais comme Vitalisme et Vitalité (Editions du Lore, 2006) ou Esprit du Monde - œuvres en perspectives (Auda Isarn, 2011). Il a aussi publié Midi à la source (Auda Isarn, 2013), le journal qu'il a tenu entre 1990 et 2011, ainsi qu'un recueil d'aphorismes,Toxiques & Codex (Alexipharmaque, 2013).

     

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    " Le so­leil d’or, c’est un ro­man d’aven­tures.
    Des aven­tures au bout du monde — parce qu’il n’y a d’aven­tures vé­ri­tables qu’au bout du monde : au-de­là de la fron­tière, au-de­là de la carte, vers les ter­ri­toires… Ce se­ra alors pour l’es­sen­tiel la Pa­ta­go­nie, âpre et er­ra­tique, dont les in­fi­nis sont con­tem­p­la­tions au­tant que per­di­tions.
    C’est aus­si une quête, celle d’un so­leil d’or dont les feux ma­lé­fi­cient peut-être, dont les rayons blessent les cons­ciences, brûlent les âm­es et les pas­sions.
    Tan­dis qu’on re­t­rou­ve­ra les thèm­es chers à Bru­no Fa­v­rit, l’homme face à la na­ture, les som­mets et les pics — la ver­ti­ca­li­té qui, si elle est él­é­va­tion est aus­si, et da­van­tage que dans d’autres de ses livres, ver­tige, abîme, chute.
    Dans des dé­cors im­menses où pour­raient mi­roi­ter Fran­cis­co Co­loane et Ni­co­las Roe­rich, Bru­no Fa­v­rit ép­rouve l’éva­sion, prouve le Grand De­hors. "

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  • L'homme de la mer Rouge...

    La collection de poche Points vient de rééditer les souvenirs de Henri de Monfreid sous le titre Mes vies d'aventures - L'homme de la mer Rouge. Aventurier, pirate, trafiquant d'armes, et grand admirateur de Mussolini, Henri de Monfreid est l'auteur de nombreux récits d'aventure...

     

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    " « Sa voix précise est faite pour raconter les combats contre les requins, la plongée aux perles, les poissons-fleurs, les mutilations des vaincus… toutes les aventures de ce Français qui voulut vivre une vie de hardiesse, de solitude et de liberté. »

    Joseph Kessel

    De sa naissance à La Franqui jusqu’au jour où il planta son ancre à terre, Henry de Monfreid a traversé un siècle d’aventures : l’appel de la mer, la contrebande, les rivages de la mer Rouge, les régions interdites de la Corne de l’Afrique… Frôlant mille fois la mort, quand d’autres se seraient contentés de rêver, Henry de Monfreid a construit avec passion son destin d’exception. Dans ce journal de bord, tel un conteur oriental, il raconte d’une seule voix ses vies multiples et prodigieuses. "

     

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  • Avant la dernière ligne droite...

    Les éditions Points rééditent, dans leur collection Aventures, Avant la dernière ligne droite, un livre dans lequel Patrice Franceschi raconte sa vie aventureuse, et notamment ses missions humanitaires en Afghanistan, pendant la guerre contre les Soviétiques, dans les années 80.

     

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    " Du Congo à l’Amazonie et de la mer de Chine à la Nouvelle-Guinée, Patrice Franceschi nous fait le récit de ses innombrables aventures. Il a partagé la vie des Pygmées, des Indiens, des Papous, été le premier aviateur à accomplir le tour du monde en U.L.M., et suivi le Nil de sa source à la mer. Il nous raconte aussi la part de sa vie consacrée aux missions humanitaires, de la Somalie au Kurdistan, et dévoile l’intensité de ses années passées au côté de la résistance afghane combattant l’armée soviétique.

    Corse né en décembre 1954, Patrice Franceschi partage sa vie entre écriture et aventure. Ses récits, romans, poésies, essais, sont inséparables de ses engagements et d’une existence libre et tumultueuse où il tente « d’épuiser le champ du possible ». Il est aussi marin et capitaine du trois-mâts d’exploration La Boudeuse. "

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  • Voyageurs et explorateurs !...

    «La désinstallation est la capacité - fondée sur la curiosité, l'esprit d'aventure et de conquête - de sortir de son propre cadre de vie tout en restant fidèle à soi-même et à son héritage. L'esprit bourgeois est cosmopolite et en même temps installé; l'esprit aristocratique est enraciné et désinstallé. Les Bororos d'Afrique sont installés et enracinés. La désinstallation a été la marque faustienne des cultures historiques européennes. Conquêtes, découvertes scientifiques, assaut technique sur la nature, grandes aventures individuelles et collectives des "découvreurs et conquérants" procèdent de la désinstallation. Sans elle, l'enracinement devient enfermement et fin de l'histoire (l'esprit du pétainisme vichyssois - "le retour à la terre-qui-ne-ment-pas", "la France seule" - très influencé par une droite chrétienne et réactionnaire, est une bonne illustration d'une idéologie du renoncement et du masochisme culpabilisateur justifié par l'enracinement).» Guillaume Faye

     

    Les éditions Pygmalion viennent de publier sous la plume de François Angelier un Dictionnaire de Voyageurs et Explorateurs occidentaux. Ce dictionnaire, qui est un bel hommage à l'esprit de désinstallation des Européens, recouvre la période du XIIIe au XXe siècle.

     

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    "Pendant des siècles, se mettre en route ou s'embarquer releva du défi téméraire, voire de l'inconscience suicidaire. Pourtant, guidés par l'appât du gain, animés d'un grand désir de sciences ou ivres d'un vif appétit de merveilles, voués à la conversion des peuples ou poussés par l'évasion hors d'un monde misérable, des hommes et des femmes, parfois des familles entières, se mirent en route vers des horizons inconnus. S'échelonnant entre deux cataclysmes (les invasions mongoles au XIIIe siècle et le cataclysme atomique du XXe), ce Dictionnaire des voyageurs et des explorateurs occidentaux permet au lecteur de découvrir, outre les figures classiques du voyage et de l'exploration (de Marco Polo à Alexandra David-Néel, en passant par Colomb, Cook, Ross, Charcot, etc.), toute une cohorte bigarrée de missionnaires dominicains et de conquistadors espagnols, d'amiraux anglais et de coureurs des bois canadiens, de diplomates italiens et de globe-trotters allemands, d'alpinistes autrichiens et de corsaires hollandais. Un livre magistral sur la grande parade des conquérants de la planète."

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