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alain de benoist

  • Demain, une Europe sans Européens ?...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°217, décembre 2025 - janvier 2026) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la démographie des peuples européens, on découvrira l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec David Betz, Ivan Krastev et Dany Robert-Dufour...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non et de Bernard Rio...

     

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    Au sommaire :

    Éditorial
    Vous avez dit « domination » ? Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    L’entretien choc de David Betz : vers une guerre civile européenne? Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Cartouches
    L’objet disparu: le scoubidou, par Nicolas Gauthier

    Mes lectures, par Alain de Benoist

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma: Chien 51, dystopie crépusculaire, par Nicolas Gauthier

    Curiosa Erotica: Jean-Pierre Bouyxou, homme de toutes les fascinations. Par David L’Épée

    Champs de bataille: il y a ferraille et ferraille. Par Laurent Schang

    Uranie, l’hortothérapeute (IX). Par Bruno Lafourcade

    Littérature. Les choix d’Anthony Marinier

    Un homme, une maison d’édition: Xavier Meystre. Propos recueillis par François Bousquet

    Le droit à l’endroit: l’État de droit, une vieille idée neuve. Par Aristide Leucate

    Économie. Par Guillaume Travers

    Bertrand Lacarelle, écrivain forlongueur. Par Olivier François

    Bestiaire: Kant, le chien et l’ornithorynque. Par Yves Christen

    Sciences. Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    Taxe Zucman: panacée ou illusion ? Par Guillaume Travers

    Le miracle européen : la « grande divergence », apogée et épuisement. Par Thomas Hennetier

    Ivan Krastev: comment notre monde est devenu illibéral. Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Qui sont les Blancs ? Julien Rochedy ouvre le dossier interdit. Par François Bousquet

    « Sale Blanc ! » P.-A. Taguieff, radiographie le ressentiment victimaire. Par François Bousquet

    Thomas Hennetier : « Pas de démocratie sans peuple ». Propos recueillis par François Bousquet

    Dans la tête de Mélenchon. Par Denis Collin

    Badinter au Panthéon: la mort lui va si bien. Par Christophe A. Maxime

    L’histoire secrète d’Enrico Mattei : or noir et stratégie de la tension. Par Gérard Boulanger

    Samuel Fitoussi contre les mandarins : pourquoi les intellectuels se trompent. Par David L’Épée

    Dany-Robert Dufour: baise ton prochain comme il te baisera. Propos recueillis par François Bousquet

    Le droit à la continuité historique contre l’extinction des peuples. Par Gabriel Piniés

    Un pas de côté avec Patrice Jean : le roman n’a pas dit son dernier mot. Par Anthony Marinier

    Hugues Pagan le survivant: la nuit n’a pas d’alibi. Par Gérard Landry

    Yellowstone, la pastorale américaine de Taylor Sheridan. Par François-Xavier Consoli

    Erich Fromm, l’apôtre de la société saine. Par Thomas Hennetier

    Dossier : Démographie: l’hiver des peuples européens
    Gérard-François Dumont : anatomie du déclin démographique français. Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Trilemme démographique : immigration, stagnation ou sursaut nataliste ? Par Anthony Marinier

    Le Grand Bond… en arrière du continent noir. Par Loup Viallet

    Le mythe nataliste de l’immigration démenti par les faits. Par Darel E. Paul

    Le crépuscule du désir : comment le Japon se vide sans se renier. Par Nina Pravda

    Jean Raspail: l’homme qui avait tout vu venir. Par Anthony Marinier

    Panorama
    La leçon de philo politique : le rêve aristocratique d’Ernest Renan. Par Ego Non

    Pourquoi une philosophie politique civilisationnelle ? Par Frédéric Saint Clair

    Un païen dans l’Église : inspiration finale à Notre-Dame d’Avesnières. Par Bernard Rio

    « Back to bled! » La remigration selon Renaud Camus. Par François Bousquet

    Éphémérides

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  • Marchands et héros...

    Les éditions Krisis viennent de publier un essai de Werner Sombart intitulé Marchands et héros - Réflexions patriotiques, avec une préface d'Alain de Benoist

    Économiste, historien et sociologue connu dans le monde entier, disciple de Marx dans sa jeunesse, Werner Sombart (1863-1941) a exercé une influence profonde dans les années 1920 sur une partie des auteurs conservateurs révolutionnaires. Plusieurs de ses œuvres, dont Le socialisme allemand (Pardès, 1996), Les Juifs dans la vie économique (KontreKulture, 2012),  Le Bourgeois (KontreKulture, 2020), Comment le capitalisme uniformise le monde ? (La Nouvelle Librairie, 2020) ou Amour, luxe et capitalisme (La Nouvelle Librairie, 2022), ont été traduites en français et, pour certaines, récemment rééditées.

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    " La Première Guerre mondiale ne fut pas seulement l’affrontement d’intérêts nationaux particuliers : elle opposa deux ethos, deux façons d’habiter le monde au sein d’une même civilisation. D’un côté, le Marchand anglais, pragmatique, comptable, dévoué au culte de la rentabilité et de la vie facile ; de l’autre, le Héros allemand, romantique, prêt au sacrifice pour un idéal supérieur. Dans ce brûlot écrit au cœur de la tourmente, Werner Sombart exalte un socialisme patriote, dressant la force spirituelle du héros contre le matérialisme du négociant et du spéculateur. Essai flamboyant, il constitue un maillon essentiel dans l’œuvre d’un penseur qui, de la critique du capitalisme uniformisant, en vient à défendre les valeurs guerrières et intemporelles de la mémoire européenne."

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  • Ukraine, Palestine: l'Occident incapable de résoudre les conflits ?...

    Le 23 septembre 2025, Edouard Chanot recevait, sur TV libertés, Alain de Benoist pour évoquer avec lui la situation internationale et, notamment, l'incapacité de l'Occident à résoudre les conflits en cours, à l'est de l'Europe comme au Proche-Orient.

    Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019),  La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020),  La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022), Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023), Martin Buber, théoricien de la réciprocité (Via Romana, 2023) et, dernièrement Un autre Rousseau - Lumières et contre-Lumières ( Fayard, 2025).

     

                                             

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  • XXIe siècle : le compte à rebours énergétique...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°216, octobre - novembre 2025) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la question énergétique au XXIe siècle, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, un entretien avec Eli Barnavi et un débat entre Fabien Bouglé et Philippe Charlez...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non et de Bernard Rio...

     

    Eléments 216.jpg

    Au sommaire :

    Éditorial
    Réflexions sur les guerres en cours? par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Élie Barnavi : « Israël se condamne à des guerres sans fin », propos recueillis par Daoud Boughezala

    Cartouches
    L’objet disparu : les vignettes Panini, par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma : Dracula, cent ans de cinéma, par Nicolas Gauthier

    Curiosa Erotica : Don Juan et Calimero, les deux fanfarons, par David L’Épée

    Champs de bataille : au bonheur du fana mili (III/III), par Laurent Schang

    Uranie, la délivrance (VIII), par Bruno Lafourcade

    L’Inde britanique d’Abir Mukherjee, par Gérard Landry

    Le droit à l’endroit : la liberté d’expression ne peut pas être conditionnelle, par Aristide Leucate

    Économie, par Guillaume Travers

    Le cinéma à fleur de peau : Images d’Archibald Ney, par Olivier François

    Bestiaire : le don et le contre-don chez les cétacés , par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    La démission européenne selon Peter Sloterdijk, chronique d’un continent sans nerf, par Thomas Hennetier

    Le capitalisme face à ses limites : deux visions des limites d’un système, par Guillaume Travers

    Le stade Qatar du capitalisme : oasis artificielle sous perfusion gazière, par Guillaume Travers

    Steak et châtiments : les viandards sont-ils des Bidochon ?, par David L’Épée

    Du Bureau ovale à Thucydide : le réalisme dans les relations internationales, par Olivier Battistini

    Loi Duplomb : quand la droite s’empoisonne elle-même, par François de Voyer

    OK Boomer ! Soixante-huitards à perpétuité, par Alexandre de Galzain

    Ardisson et lumières : mort d’un marquis voyageur, par Christophe A. Maxime

    Éloge de l’élégance masculine : en finir avec notre déchéance vestimentaire, par Nicolas Gauthier

    Serge Reggiani : l’art de jouer sans effet et de chanter sans artifice, par Thomas Hennetier

    Bardamu mon amour : Émeric Cian-Grangé, le Petit Futé du célinisme, par François Bousquet

    Les romans à lire ou à jeter : la sélection tranchée de la rédaction d’Éléments, par Anthony Marinier et Daoud Boughezala

    Paul Valéry l’Européen : un regard sur le monde actuel, par Jean Montalte

    Dossier
    XXIe siècle : le compte à rebours énergétique

    Vive les crises ! Les dilemmes énergétiques du XXIe siècle, par François de Voyer

    Fabien Bouglé et Philippe Charlez : deux iconoclastes contre l’idéologie verte, débat animé par Daoud Boughezala

    Transition écologique : la dernière ruse du capitalisme. Décroissance ou désastre, par Guillaume Travers

    La Chine, dragon vert ou ogre noir ? Entre productivisme aveugle et dépendance fossile, par Daoud Boughezala

    Europe : comment recharger nos batteries ? Penser la puissance autrement, par Vincent Renard

    Plan Mattei : la realpolitik énergétique gagnant-gagnant de Meloni, par Lionel Rondouin

    La ruée vers l’Arctique. Nouvel Eldorado, par Laurent Schang

    Les damnés du CO2. Transition écologique ou antisociale ?, par Xavier Eman

    Panorama
    La leçon de philo politique : Hans-Hermann Hoppe à l’assaut de la démocratie, par Ego Non

    Pourquoi une philosophie politique civilisationnelle ?, par Frédéric Saint Clair

    Un païen dans l’Église : excréments et sacrements à Notre-Dame à Grâces, par Bernard Rio

    À poil, Éléments ! Naturisme : réponse à David L’Épée, par Hubert Calmettes

    Éphémérides

     

     

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  • Armin Mohler et la fidélité à un «style» différent...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Matteo Romano, cueilli sur Voxnr et consacré à Armin Mohler et à sa réflexion sur le style fasciste.

    On peut retrouver dans le numéro 42 de Nouvelle École (1985) un article d'Armin Mohler intitulé « Le "style" fasciste ».

     

    Mohler_Style fasciste.jpg

    Armin Mohler et la fidélité à un «style» différent

    « On est plus fidèle à un style qu’à des idées », écrivait Drieu La Rochelle, et sans aucun doute, on peut dire que c’est là le fil conducteur du court mais dense essai du philosophe et représentant de la Nouvelle Droite, Armin Mohler, intitulé Le style fasciste (éd. it.: Settimo Sigillo, 1987). Mohler, chercheur sur la révolution conservatrice allemande, qui fut déjà secrétaire d’Ernst Jünger durant l’après-guerre et correspondant d’Evola, est, comme nous l’avons déjà mentionné, surtout connu pour le dialogue qu’il a engagé avec la Nouvelle Droite et pour sa virulente critique du libéralisme.

    Dans cet opuscule, Mohler, à travers une description physiognomique de ce qu’il considère être « Le Style » – l’attitude du « fasciste » – tente d’identifier le noyau essentiel de cette expérience historique, politique et sociale. Le contexte, dans lequel ce court essai s’inscrit, peut être repéré dans un débat de l’époque entre plusieurs intellectuels de la nouvelle droite française, un débat basé sur l’ancien débat médiéval entre nominalisme et universalité ; ce débat avait été principalement alimenté par des articles et des publications dans la revue Nouvelle École, souvent signés par Mohler lui-même ou par Alain de Benoist. Ce sujet a également été repris plus tard par Aleksander Douguine, qui, dans la vision « nominaliste », voit la racine de l’individualisme libéral moderne.

    Pour Mohler, cependant, une vision qui recentre l’individualité et sa valeur existentielle (et que l’on pourrait qualifier de nominaliste) est précisément ce qui permet de récupérer le sens le plus authentique et aussi le plus brut de la vie, seul capable d’opérer une rénovation cathartique en dehors de toute conception vide de l’homme, abstraite, universelle et niveleuse. Ce fondement est celui du libéralisme moderne et de ses diverses formes d’internationalisme. Il en découle, pour revenir à notre étude, que l’approche choisie par Mohler pour définir « ce qui est fasciste » sera (justement, ajoutons-nous) essentiellement pré-politique, pré-dogmatique. Il suit ainsi la voie tracée par d’autres chercheurs qui se sont penchés sur le phénomène, comme Giorgio Locchi dans L’essence du fascisme.

    Mohler écrit : « En résumé, disons que les fascistes n’éprouvent en réalité aucun problème à s’adapter aux incohérences de la théorie, car ils se comprennent entre eux selon une voie plus directe : celle du style. » Et encore, en référence au discours de Gottfried Benn lors de la visite de Marinetti en Allemagne hitlérienne en 1934, Mohler écrit : « Le style dépasse la foi, la forme vient avant l’idée. »

    Pour Mohler, donc, le fasciste n’est pas tel parce qu’il adhère à un schéma idéologique, dogmatique ou politique. Il l’est parce qu’il a éprouvé en lui, dans sa plus profonde intimité, la faiblesse mortelle de tout mythe ou valeur dérivée des Lumières, illuministe (dit-on en Italie, ndt), rationaliste et démocratique. Tout cela implose devant les guerres, les révolutions, les crises économiques et sociales. Mais le fasciste y répond en recueillant ce qu’il y a de positif dans chaque crise, et devient porteur d’une volonté créatrice qui réaffirme les valeurs de l’esprit, de l’héroïsme et de la volonté sur la vie.

    Mohler cite Jünger : « Notre espoir repose sur les jeunes qui souffrent de fièvre, parce que la purulence verte du dégoût les consume. » Pour l’auteur, cela traduit « la nostalgie d’une autre forme de vie, plus dense, plus réelle. » Une vie plus dense, car plus complète, passant par une tragédie existentielle nue et renouvelante. Mohler parle d’un mélange entre « anarchie » et « style », entre destruction et renouveau. Et c’est justement cette mortification héroïque qui mène à une reconnexion avec la racine originelle et unitaire de la réalité et de la vie de l’individu : dans laquelle l’opposition entre vie et mort est dépassée dans une indifférence intérieure. Le renouveau, que le fasciste ressent en lui, à condition d’avoir pris pour tâche « la nécessité de mourir constamment, jour et nuit, dans la solitude ». Ce n’est qu’à ce moment-là, arrivé au point zéro de toute valeur (ce n’est pas un hasard si un chapitre est intitulé « Le point zéro magique »), puisant dans des forces plus profondes, façonné de manière virtuose par un style « non théâtral, d’une froideur imposante vers laquelle orienter l’Europe », qu’il pourra témoigner de la naissance d’une nouvelle hiérarchie. Un style objectif, froid et impersonnel.

    Et c’est précisément cette attitude que Mohler retrouve chez l’homme et dans le « style fasciste », car en lui, selon l’auteur, l’individualité et son expérience sont placées au centre. Alors que ce qui caractérise le plus le national-socialiste, c’est son accent mis davantage sur le « peuple », sur la « Volksgemeinschaft » et sur la rébellion sociale, ce qui le distingue encore plus de ce que Mohler appelle « l’étatiste », c’est son admiration pour ce qui fonctionne, pour ce qui n’est pas arbitraire, pour ce qui est bien intégré dans la structure d’un État parfois asphyxiant, qui ne lui permet pas de vivre tout le « tragique » propre au fasciste. Bien que les trois « types » aient pu se croiser dans l’histoire, Mohler souhaite ici, sur un plan théorique, souligner la caractéristique spécifique de ce qu’il qualifie d’ « homme fasciste ».

    Il s’agit de la nécessité primordiale d’un besoin d’affirmation existentielle, qui, selon Mohler, explique pourquoi le fascisme « manque d’un système préconçu, qui explique tout dogmatiquement et de façon livresque ». Dans ce caractère immanent, intime, individuel de la révolution que le fasciste accomplit avant tout, et qui l’anime, se manifeste une attitude intérieure, un comportement, ainsi qu’une dignité et une noblesse particulières, que l’on n’atteint qu’à travers une catharsis intérieure.

    En conclusion, on peut dire que si l’interprétation de Mohler peut paraître, à certains points, forcée, elle a le mérite de ne pas réduire l’expérience et le phénomène en question à quelque chose d’accidentel, de contingent ou de relégué à une appartenance partisane, à une doctrine politique ou économique. Au contraire, elle le place à un niveau plus profond et constitutif, c’est-à-dire dans ce qui, chez l’individu, est en communication avec la sphère de l’être.

    Matteo Romano (Voxnr, 16 septembre 2025)

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  • 50 ans de combat contre la pensée unique !...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, l'équipe du magazine présente le nouveau hors-série de la revue consacré à la pensée unique. Une anthologie d’articles retraçant plus de 50 ans de combat métapolitique pour la liberté d’expression et la libre confrontation des idées. Un numéro exceptionnel permettant de retrouver toutes les grandes plumes de la revue de la Nouvelle Droite, d’Alain de Benoist à Guillaume Faye en passant par François Bousquet, Charles Champetier, Jacques Marlaud et bien d’autres... 

    On trouvera sur le plateau, autour d'Olivier François, Xavier Eman, rédacteur en chef, Daoud Boughezala , Rodolphe Cart et François-Xavier Consoli...

     

                                               

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