Vous pouvez découvrir ci-dessous la superbe vidéo de présentation du hors-série n°11 de la Nouvelle Revue d'Histoire consacré aux peuples fondateurs de l'Europe.
Ce numéro est disponible en kiosque.
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Vous pouvez découvrir ci-dessous la superbe vidéo de présentation du hors-série n°11 de la Nouvelle Revue d'Histoire consacré aux peuples fondateurs de l'Europe.
Ce numéro est disponible en kiosque.
La revue Défense et Sécurité Internationale , dont le rédacteur en chef est Joseph Henrotin, vient de publier un numéro hors-série (n°45) consacré au "soldat augmenté" dont les performances et les capacités seront accrues par l'utilisation des différents types de technologies disponibles (cyber, bio, nano, etc...)...
" Il s'agit de comprendre pourquoi, comment et jusqu'où les progrès scientifiques (médecine, biotechnologies, nanotechnologies, informatique) permettent dès aujourd'hui de doter les membres des forces armées de capacités physiques et intellectuelles allant au delà des aptitudes normales de l'être humain, pour une meilleure efficacité dans l’action militaire.
En effet, si l’homme peut parfois apparaitre aujourd’hui comme le futur maillon faible d’un dispositif militaire, il a vocation à rester au centre des systèmes d’armes de demain. Aussi est-ce précisément pour compenser ses faiblesses sur le champ de bataille que ce Hors-Série s’attache à traiter des possibles augmentations qui peuvent être mises à sa disposition, avec les questionnements de leurs impacts potentiels sur l’homme et de leur acceptabilité. "Au sommaire :
Éditorial
Le soldat augmenté : pourquoi ?
Améliorer les capacités humaines : actualité d’un vieux rêve
Par Pierre-Yves Cusset, chargé de mission à France StratégieLes forces et les faiblesses du soldat sur le champ de bataille
Par Eric Ozanne, colonel, chef d’état-major interarmées des forces armées en GuyaneLe sommeil et la performance opérationnelle
Par Dave I. Cotting, Associate Professor & Director of Core Curriculum Leadership Instruction Department of Psychology, Virginia Military Institute ; et Gregory Belenky, Research Professor, College of Medical Sciences, Washington State UniversityMilitem increscendum. Augmenter le soldat dans l’Antiquité et le Moyen Âge
Par Olivier Hanne, agrégé et docteur en Histoire médiévale, chercheur au CREC.Le soldat augmenté : exemples de répercussions psychologiques
Par Christian Colas, Médecin en chef des services (R), sous-direction plans capacités, direction centrale du service de santé des armées ; et Laurent Melchior Martinez, Médecin en chef, coordonnateur national du service médico-psychologique des armées, direction centrale du service de santé des arméesL’homme augmenté et la conquête spatiale
Entretien avec Jean-François Clervoy, astronaute.Le soldat augmenté : concept et réalité opérationnelle
Par Jean-Thomas Rubino, capitaine (TA), instructeur aux Ecoles de Saint-Cyr CoëtquidanLe soldat augmenté : quel intérêt pour les forces ?
Par Thomas Noizet, lieutenant-colonel, Etat-major de l’armée de Terre.Le soldat augmenté. Quel intérêt pour une unité d’élite comme le GIGN ?
Par Christophe B., commandant de la force formation, GIGNAéronavale, guerre en mer et soldats augmentés
Par Pierre Vandier, capitaine de vaisseau, auditeur de la 65e session du Centre des Hautes Etudes Militaires, commandant du porte-avions nucléaire Charles de Gaulle de 2013 à 2015.Le soldat augmenté : comment ?
Les nouveaux horizons apportés par les micro et nanotechnologies pour le combattant de demain
Par Audrey Flament et Jean-Michel Goiran, Leti, institut de CEA TechLe fantassin du futur sera mobile et collaboratif
Par Parick Sechaud, Sagem (groupe Safran). Division Optronique et Défense, R&T Combat NumériséLe soldat augmenté : un soldat informé, allégé et mieux équipé
Par Gérard de Boisboissel, ingénieur de recherche au Centre de Recherche des Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan (CREC)Les soldats augmentés mieux informés, allégés et mieux équipés – de l’imagination à l’emploi
Par Emmanuel Gardinetti, commandant (T) DGA Ingénierie des Projets, responsable du métier sciences de l’hommeAptitude au métier des armes : les perspectives ouvertes par l’anthropotechnie
Par Lionel Bourdon, médecin chef des services HC, Praticien professeur agrégé du Service de santé des armées, Professeur titulaire de la chaire de recherche appliquée aux armées, Directeur scientifique de l’institut de recherche biomédicale des arméesLe stress, acteur oublié de l’extension capacitaire
Par Frédéric Canini et Marion Trousselard, médecins en chef, département Neurosciences & Contraintes Opérationnelles, Institut de Recherche Biomédicale de Armées (IRBA), Brétigny-sur-OrgePerspectives ouvertes par la pharmacologie en milieu opérationnel civil. Mythe ou réalité ?
Par Olivier Lamour, docteur en médecineLe soldat augmenté : jusqu’où ?
Le soldat augmenté est avant tout un homme
Par Jean-Michel Le Masson, médecin en chef (R), chef du Service de santé zonal pour le Secrétariat général pour l’administration du ministère de l’Intérieur, chercheur associé au Centre de recherche des Ecoles de Saint-Cyr CoëtquidanLe soldat est-il prêt à se « faire augmenter » ?
Par Claude Weber, sociologue au Centre de Recherche des Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan (CREC)Le paradoxe de la reine rouge
Par Patrick Clervoy, docteur en médecineQuelle éthique du recrutement ?
Par Henri Hude, philosophe, directeur du pôle Ethique et environnement juridique au CREC-Saint-Cyr.« Les gardiens de la galaxie » – l’éthique biomédicale part en guerre
Par George Lucas, Académie navale d’AnnapolisEvolution du droit et acceptation juridique de l’augmentation
Par Julien Le Gars, magistrat, ancien sous-directeur des libertés publiquesL’institution militaire face au défi de l’homme augmenté
Par Didier Danet, Pôle Action Globale et Forces Terrestres, Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan
Historien, traducteur, intervenant régulier sur Méridien zéro et défenseur de la cause ukrainienne, Pascal Lassalle nous a adressé un commentaire critique mais argumenté sur le numéro hors-série de la Nouvelle revue d'Histoire sur Les peuples fondateurs de l'Europe. Nous le reproduisons donc ici en espérant qu'il donnera lieu à des réponses constructives...
A propos du numéro hors-série de la Nouvelle revue d'Histoire sur Les peuples fondateurs de l'Europe
Un numéro salutaire, mais avec un bémol notable, celui de choix difficilement explicables (?) : les Aquitains, les Basques et les Catalans ont droit à leur(s) page(s) et c'est très bien, mais quid d'une bonne partie des peuples frères de l'Europe médiane, orientale ou baltique : Tchèques, Croates ou surtout Polonais, sans oser parler des Lituaniens, Ukrainiens ou Bélarussiens ? Il aurait été par exemple salutaire de rappeler que ces quatre derniers ont fait partie du plus grand état porteur de phénomènes civilisationnels européens dans cette partie du continent, la "République nobiliaire (Rzcespospolita) polono-lithuanienne. Dans cette zone, seule la vaillante Hongrie semble trouver grâce aux yeux de la rédaction. Grâce au tropisme pro-russe de ces dirigeants actuels ? Nos "amis" russes eux, ne sont en effet pas oubliés sous la plume d'une avocat zélé de la Grande Russie, habitué des colonnes de la revue ou de l'émission du rédacteur en chef sur Radio Courtoisie dans deux articles convenus qui expriment de manière hagiographique le point de vue de l'historiographie russe (la "langue vieille russe", la "Russie de Kiev") et une vision, au mieux idéalisée, de ce pays sous la direction de Poutine (un article abordant les questionnements identitaires des élites politiques et culturelles russes sur leur appartenance à l'espace historique et civilisationnel européen aurait été plus indiqué pour les lecteurs) . A ce stade, on pourrait presque en venir à légitimement se demander si les choix rédactionnels de la revue ne s'inscrivent pas purement et simplement dans une stratégie d'influence, visant à graver dans les esprits d'une manière à peine subliminale , le "traditionnel" axe (géo)politique Paris-Berlin-Moscou (le pôle carolingien et la Russie se taillant la part du lion dans le numéro) en rejetant les peuples de la "Nouvelle Europe" ayant fait les "mauvais choix" (atlantisme résolu, "russophobie") dans les ténèbres de la non-existence historique et identitaire, cela en synergie avec d'autres structures métapolitiques comme la Fondation Polémia ou l'Institut Iliade. Pour nuancer ou infirmer cette hypothèse, on pourra bien sûr remarquer que les peuple ex-yougoslaves et/ou balkaniques, sont également passés par perte et profit, alors que nos amis scandinaves ne sont pas oubliés. Il n'en reste pas moins que ces omissions, qui, pour les hypothèses évoquées ou d'autres, perpétuent des travers qui ne sont pas nouveaux, apparaissent bien regrettables pour un numéro hors série qui se veut exceptionnel et ne l'est donc malheureusement pas tant que ça...
Au final donc, une fois de plus, outre ces arrières pensées géo et métapolitiques, il est vraiment dommage de gâcher tout un acquis (les travaux du GRECE canal historique à l'époque où il pensait encore l'identité européenne avec ses origines boréennes mises en évidence dès les années 70 par les travaux de Georges Dumézil, puis de Jean Haudry) en faisant purement et simplement l'impasse sur les branches slaves (occidentales, orientales et méridionales) ou du moins en les réduisant dans un « impérialisme historiographique » implicite à la question russe comme au bon vieux temps des travaux d'un Anatole Leroy-Beaulieu pour ne citer que lui. Ajoutons, pour essayer d'être plus exhaustif qu'un article novateur signé par un Iaroslav Lebedysnky sur notre héritage nomade aurait également été le bienvenu. Une certaine déception au final et une vision lacunaire, voire tronquée des peuples fondateurs de cette grande Europe, cette Alter-Europe, que nous appelons inlassablement de nos voeux...Pascal Lassalle (10 décembre 2015)
Le onzième numéro hors-série de La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque. Il est consacré aux peuples fondateurs de l'Europe.
Au sommaire de ce numéro :
Éditorial : Qui sont les Européens ?
Par Philippe Conrad
L'Europe, du néolithique à l'âge de Bronze
Par Philippe Fraimbois
A la découverte d'un peuple
Par Henri Levavasseur
Les Indo-Européens
Entretien avec Jean Haudry, propos recueillis par Pauline Lecomte
Sur l'existence des Indo-Européens
Par Yann Le Bohec
L'Europe est née en Grèce
Par Philippe Conrad
Peuples d'Italie préromaine
Par Jean-Louis VoisinCe que nous a légué Rome
Par Jean-Louis VoisinL'Europe des Celtes
Par Philippe Conrad
Des Gaulois aux Gallo-Romains
Par Yann Le Bohec
Le monde des Ibères
Par Philippe Parroy
Les Basques, le peuple le plus ancien d'Europe
Par Arnaud Imatz
L'Espagne des Wisigoths
Par Michel Savoie
L'essence de l'Espagne
Par Arnaud Imatz
La Catalogne, avec ou sans l'Espagne ?
Par Arnaud Imatz
Aux origines du monde germanique
Par Henri Levavasseur
Bretons insulaires et armoricains
Par Yves de TréséguidyQuand la (Grande) Bretagne est devenue l'Angleterre
Par Philippe Parroy
L'exception irlandaise
Par Philippe Conrad
Les raisons du "miracle franc"
Par Philippe Conrad
L'Aquitaine, à la périphérie de l'espace franc
Par Bernard Fontaine
Le royaume ostrogoth de Théodoric
Par Bernard FontaineL'Italie des Lombards
Par Bernard Fontaine
A la recherche de l'homme scandinave
Par Nicolas Kessler
Des Magyars à la Hongrie historique
Par Henri Bogdan
Unité et pluralité des Allemagnes
Par Eric Mousson-Lestang
L'ethnogenèse des Russes
Par Jean-Pierre Arrignon
Comment la Russie retrouve ses racines
Par Jean-Pierre Arrignon
L'identité française, un produit de l'histoire
Par Pierre de Meuse
L'obsession de l'ailleurs
Par Ludovic Greiling
Nous vous signalons la parution de la revue Rébellion (n°72, novembre - décembre 2015). Vous pourrez notamment lire dans ce numéro un dossier sur l'éducation et des articles de David L'Epée, collaborateur habituel d’Éléments, et de Charles Robin, l'auteur de La gauche du Capital (Krisis, 2014).
On notera au passage que la revue dispose désormais d'un très beau site que nous vous invitons à consulter : Rébellion
Au sommaire de ce numéro :
Éditorial: Hic Sunt Dracones
Réflexion : L’allogénat, ou l’appel au coucher des luttes révolutionnaires françaises et africaines, par Dany Colin
Actualité : Et revoilà les gaucho-humanitaristes dans la rue ! par Jean Morvan
Dossier : Pour une autre Education
La fabrique de l’aliénation sur l’école techno-libérale, par Charles Robin
« Produire du temps de cerveau disponible » : l’éducation dans le monde moderne, par Marie Chancel et Dazibao
La destruction de l’Ecole : Objectif politique prioritaire du Pouvoir, par Patrick ViscontiPolémique : Les chiens de garde aboient et la caravane passe, par David L’Epée
Commande 4 euros (port compris) :
Sur la boutique ou par courrier :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
La revue Conflits, dirigée par Pascal Gauchon, vient de sortir en kiosque son deuxième numéro hors-série consacré cette fois-ci à la question de la puissance.
Vous pourrez y découvrir, notamment, des articles de Pascal Gauchon ("Pouvoir ce que l'on veut" ; "La puissance économique décide-t-elle de tout ?" ; "La France, une grande petite puissance ?"), de Florian Louis ("Penser la puissance"), de Thomas Flichy de la Neuville ("La puissance militaire, Ultima ratio regis"), d'Helena Voulkovski ("Métamorphose de la puissance ?"), de Christophe Réveillard ("L'Union européenne. Renonciation à la puissance ?"), de John Mackenzie ("La hiérarchie des puissance") de Frédéric Munier ("Le soft power. La puissance de la séduction" ; "L'Allemagne. Un retour à la puissance"), de Pascal Marchand ("La Russie. Le retour de la puissance ?") ou d'Anne-Sophie Letac ("Le savoir, nouvel enjeu de puissance"), ainsi qu'un entretien avec Gérard Chaliand ("Géopoliticien de terrain").
" La puissance est une idée vieille en Europe.
Écrasés par le poids des fautes passées, les peuples européens lui tournent le dos. Ils ont été puissants, ils en ont abusé, ils ont constaté que la puissance coûte financièrement, moralement et psychologiquement, ils ne veulent plus en payer le prix.
La puissance est un idée neuve et renaissante en Asie, en Russie, chez tous les pays émergents et, bien sûr, aux États-Unis. Eux ne partagent pas les états d'âme des Européens, ils ne se posent plus de questions métaphysiques, ils assument la puissance comme une évidence. "