Bonne fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos !...
" Je veux nommer cela qui dans mon âme
Se fait appel de mes hivers perdus,
Résurrection de la source et la flamme,
Paix de Noël dans le temps suspendu. "
Jacques-André Saintonge
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Bonne fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos !...
" Je veux nommer cela qui dans mon âme
Se fait appel de mes hivers perdus,
Résurrection de la source et la flamme,
Paix de Noël dans le temps suspendu. "
Jacques-André Saintonge
Le Forum de la dissidence, organisé par la Fondation Polémia se tiendra samedi 3 décembre 2022 au NewCap Event Center, 3 quai de Grenelle à Paris (15e), à compter de 14 heures, sur le thème : Faire face au système Macron !
Trois ans après le Forum de la dissidence consacré à la dictature Macron, le bilan est ahurissant !
Interdiction de sortir à plus d’un kilomètre de chez soi. Des hélicoptères traquant des randonneurs. L’interdiction des réunions de famille. La quasi-obligation vaccinale, sous couvert de pass sanitaire. La liberté de prescription des médecins bafouée. La censure croissante de toute opinion dissidente.
Nous vivons dans une société de propagande ou toutes les atteintes à notre identité et à nos libertés sont imposées par la synchronisation progressiste des médias, de l’école, de l’université, du monde professionnel, du sport, de la culture, du divertissement, des institutions de l’État ou des fonctions politiques.
Cette année nous avons choisi de mettre en avant la première ligne de la Résistance dans le combat pour notre identité et nos libertés.
Le lanceur d’alerte Damien Rieu, en pointe Face au Grand Remplacement et à l’islamisation.
L’influenceur Nicolas Faure, qui déconstruit chaque semaine sur Sunrise L’idéologie égalitaire, source de tous nos maux.
Yann Vallerie, de Breizh Info qui lutte contre l’implantation de foyer d’immigrés africains dans des bourgades rurales de Callac.
Nicolas Demade, qui nous donnera ses recettes pour faire face au Grand Endoctrinement scolaire.
Jean-Eudes Gannat qui montrera comment il est possible de faire face aux persécutions politiques.
Thaïs d’Escufon qui nous dira comment se faire entendre malgré la censure.
L’historien français du droit, le professeur Jean-Luc Coronel de Boissezon exposera comment Faire face aux persécutions universitaires.
Le chroniqueur régulier de Cnews, l’avocat Pierre Gentillet, qui montrera comment Faire face au gouvernement des juges.
Renaud Camus qui traitera lui un sujet fondamental : Faire face à la laideur.
Et Michel Geoffroy, premier contributeur de Polémia, qui s’attaquera à Faire tomber le mur de l’ouest.
Voilà un programme de combat. Avec des intellectuels mais aussi des hommes et des femmes de terrain.
Début à 14 heures
Ouverture des portes à 13h30
Nous reproduisons ci-dessous le "Manifeste du Prométhéisme" de Prometheica, revue italienne d'études sur le surhumanisme, la technique et l'identité européenne, qui compte parmi ses animateurs, notamment, Adriano Scianca et Carlomanno Adinolfi.
Feu et Destin :
Manifeste du Prométhéisme1 L’ASSAUT AU CIEL
Le feu de la technique est aujourd’hui dérobé par un système de pouvoir qui se dit progressiste mais qui est en réalité bigot, superstitieux et stagnant. Par technique, nous entendons non seulement l’ensemble des pratiques et des savoirs liés à la science, mais aussi tout l’assortiment des actes politiques, esthétiques, religieux, sociaux avec lesquels l’homme a historiquement compris et transformé le monde, l’œuvre générale de mobilisation totale de la réalité aujourd’hui méconnue, omise et condamnée. Dans cet Olympe décadent, les dieux exténués de la civilisation humaniste, égalitariste, libérale conservent une flamme sans en avoir conscience, une flamme dont ils ne soutiennent même plus la vue. L’assaut contre ce ciel de plomb pour la libération du feu est ce que nous appelons la Révolution Prométhéenne.
2 EUROPE AVANT-GARDE
La technique a une portée à la fois universelle et particulière. Cette étincelle d’innovation et de création accompagne l’homme depuis toujours et en tout lieu, elle est même ce que l’être humain a de spécifique par rapport aux animaux. Cette portée a cependant été déclinée de manières très différentes dans les diverses cultures : certaines, bien que ne pouvant empêcher l’usage de la technique, l’ont entourée d’interdits, de tabous, de condamnations morales et de narrations inhibitrices. D’autres, au contraire, en ont fièrement relevé le défi. Le nom de la terre où le feu de la technique a brûlé avec le plus d’éclat est : Europe. Le prométhéisme reconnaît et revendique ce trait culturel, sans pour autant fonder sur lui aucune prétendue hiérarchie morale universellement valable.
3 ACCÉLÉRER POUR NE PAS POURRIR
Résolument révolutionnaire, le prométhéisme rejette toute tentation réactionnaire ou conservatrice, toute critique de l’esprit du temps qui parte de l’esprit du temps tout juste passé, tout refuge dans des valeurs et des institutions données. Le réactionnaire n’est que l’agent régulateur du subversif, celui qui défend les subversions d’hier. Ce n’est pas en retardant les processus en cours que l’on échappe à leurs aspects perturbateurs, mais en les accélérant à une vitesse telle, qu’elle en fasse ressortir l’impensé. Ne pas se retirer du processus, donc, mais aller plus loin, accélérer le processus.
4 POUR LA SURHUMANITÉ
Pour le prométhéisme, l’homme, comme abstraction autant éthique que biologique, est quelque chose qui doit être dépassé. Ontologiquement propulsé vers l’avant tel un projectile, l’homme est réellement fidèle à lui-même quand il dépasse ses propres limites. Il ne se retrouve pas dans une essence façonnée à l’image et à la ressemblance d’un être transcendant ou d’une charte des droits, mais dans un nombre incalculable de transformations, imitations, hybridations, relations, connexions ; il se prolonge dans la machine, s’identifie à l’animal, il se répand dans l’ordinateur, se projette dans les dieux. L’homme est sa propre expérimentation. Si cette tension vers “l’ultérieurité” accompagne l’homme dès l’hominisation, aujourd’hui elle devient consciente. Le défi pour la post-humanité devient un défi incontournable, qui peut, bien entendu, conduire à l’inhumain comme au surhumain. Le conflit fondamental – qui caractérisera l’avenir et dans lequel le prométhéisme prend part avec un lucide fanatisme – est la bataille entre les éleveurs d’un homme rétréci et les éleveurs d’un homme renforcé.
5 POUR UNE POLITIQUE PROMÉTHÉISTE
Le prométhéisme refuse de se cristalliser en une formule sociale spécifique déduite de la politique politicienne et admet en son intérieur des sensibilités et des provenances différentes. Il ne peut cependant s’accorder avec des positions humanistes, kantiennes, réformistes, hédonistes, réactionnaires, conservatrices, technophobes, cléricales, libérales ou politiquement correctes. Par conséquent, le cercle se resserre.
6 SOUVERAINETÉ TECHNOLOGIQUE TOTALE
Le thème de la souveraineté technologique s’impose avec une telle évidence que même les agendas politiques des sociétés occidentales en font de plus en plus souvent mention. Ces préoccupations sont cependant réduites à néant par les utopies mondialistes, les tabous technophobes et la perte constante de souveraineté générale que l’on constate à tous les niveaux dans nombre de ces sociétés. Le prométhéisme exige une souveraineté technologique totale, pour laquelle sera sûrement nécessaire un « saut quantique » dans la manière globale de se référer à la politique et à la technologie. La souveraineté technologique totale implique – puis elle alimentera – la souveraineté politique et la disponibilité de moyens technologiques à la hauteur, c’est-à-dire la liberté et la possibilité concrète d’adopter certaines stratégies. Ce « saut quantique » n’est donc concevable qu’à l’échelle de la grande politique, qui est forcément celle du grand espace de civilisation européen.
7 L’AUTODÉTERMINATION BIOCOMUNAUTAIRE
Le développement des biotechnologies et des anthropotechniques met aujourd’hui l’homme face à des décisions pour lesquelles il en ira de la quantité et de la qualité de sa descendance. Le perfectionnement des techniques de diagnostic et de soins prénataux, de procréation artificielle, d’édition génomique, de clonage change radicalement la perspective dans laquelle nous concevons aujourd’hui les questions démographiques ainsi que ce nœud de problèmes mêlés de tabous brûlants qui porte le nom d’eugénisme. Mais, que nous décidons d’utiliser pleinement toutes les techniques à notre disposition, ou que nous décidons d’y fixer des limites, nous sommes, de toute façon, pleinement responsables de la direction que nous avons choisi d’entreprendre. L’interdit bioéthique est lui aussi un choix interventionniste, culturel, auto évolutif. Le prométhéisme vise à relever de manière créative ce défi en vue d’une autodétermination biocommunautaire.
8 UNE ÉCOLOGIE FUTURISTE
Contrairement aux apparences, le prométhéisme est aujourd’hui la seule vision du monde qui puisse aboutir à une pratique écologique couronnée de succès. L’environnementalisme petit-bourgeois des « petits gestes quotidiens », celui nihiliste et extincteur, la temporisation suicidaire de la décroissance, le green washing hypocrite des multinationales – tout cela relève d’une idéologie anti-humaine, anti-politique et anti-européenne qui n’a, par ailleurs, le moindre espoir d’influencer les dynamiques écologiques. La seule écologie authentique est celle qui intervient sur la nature, avec plus et non avec moins de technique, et qui décide comment modeler l’environnement selon des paramètres culturels donnés. Bases pour une écologie prométhéenne : géo-ingénierie, nanotechnologie, intelligence artificielle, nucléaire, génie génétique, recherche de nouvelles ressources, de nouvelles techniques de stockage et de recyclage.
9 DU CÔTÉ DES ROBOTS
Depuis plus d’un siècle, la figure du robot perturbe le sommeil de la modernité, qui y entrevoit le profil d’un nouveau golem. En présence du robot, l’homme moderne fait l’expérience de la honte que l’on ressent face à la grandeur humiliante de son propre produit, qui « a vu des choses que nous, humains, ne pouvons même pas imaginer ». Mais les plaintes moralisatrices sur l’homme dépossédé de son âme par les robots négligent une donnée fondamentale : l’outil en obsidienne des premiers hominidés et la puce en silicium ont été forgés par le même feu prométhéen. C’est en « s’aliénant » dans l’artificiel que l’homme est devenu lui-même depuis la nuit des temps. Dans le robot – même dans la version la plus réaliste des super-ordinateurs et de l’IA – le prométhéisme voit le miroir de l’homme, sa volonté de dépassement, un allié au-delà du bien et du mal.
10 ÉPIQUE DE L’ESPACE
Dans un monde toujours plus petit, l’espace devient la dernière frontière de conquête. En plus d’être un formidable vecteur de recherche et de développement pour des technologies utiles ici sur Terre, l’exploration spatiale garantit l’accès à des matières premières rares et la consolidation de la souveraineté satellitaire. Mais c’est surtout, dans son aspect radical de découverte, de colonisation et de terraformation d’autres planètes, une source inépuisable de merveilleux. Peut-être que le prochain ver sacrum se produira en direction d’un destin stellaire. Quant aux éventuelles rencontres avec des civilisations extraterrestres, le prométhéisme n’a pas de préjugés positifs ou négatifs, tout en faisant l’éloge de la pluralité du vivant, de l’altérité radicale, de formes multiples de l’être et du devenir, de ce qui nous pousse au-delà, plus loin, plus haut, au-delà des universalismes et des anthropocentrismes judéo-chrétiens plus ou moins sécularisés.
11 PHILOSOPHIE DE LA VOLONTÉ
Le prométhéisme n’est pas un messianisme. Il n’annonce pas plus un nouvel âge d’or où des machines à l’intelligence semi-divine conduiront les hommes hors de l’histoire, que l’avènement d’un monde parfait où des citoyens sans défauts ne connaîtront ni maladie ni mort. Le prométhéisme est, au contraire, une philosophie inspirée du sens tragique de la vie et du volontarisme. Non prédiction fataliste de ce qui, certainement, sera, mais exhortation de ce que nous voulons être. La simple reconnaissance d’un destin déjà écrit est déjà un acte anti-prométhéiste. Prométhée est la divinité de la décision et de la volonté. À la lumière de son feu resplendit un monde façonné par notre plus authentique liberté.
IXe Colloque de l'Institut Iliade
Restaurer le politique
Identité - Souveraineté - Sacré
Samedi 2 avril 2022 de 10h00 à 19h00
Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007 ParisInscription sur le site de l'Institut Iliade
Comme son étymologie l’indique, le domaine du politique couvre l’ensemble des champs matériels et immatériels dans lesquels s’articulent et se déploient les forces et les équilibres qui régissent le destin de la cité (polis en grec ancien). L’art du politique est celui d’organiser et de conduire les affaires d’un peuple, d’une nation, d’un État. Il constitue par conséquent l’une des dimensions les plus essentielles et les plus décisives de l’existence humaine.Intrinsèquement lié aux notions de territoire, de peuple et de bien commun, l’exercice du politique implique l’existence de frontières, la distinction entre l’ami et l’ennemi, la conscience d’une origine commune et la volonté d’un destin partagé. Il se situe donc à la croisée des notions d’identité et de souveraineté, qu’il relie étroitement. À travers l’ordre qu’il instaure, le politique vise à garantir la sécurité extérieure et la paix intérieure.
Le politique exprime également une vision du monde spécifique, enracinée dans l’éthos de la civilisation dont il procède, en même temps qu’il réalise les potentialités ultimes de cette civilisation et lui donne corps sous la forme d’une réalité historique. Parce qu’il vise à ordonner l’espace au sein duquel se manifeste et se pérennise l’existence d’un peuple, il possède une dimension véritablement sacrée.
L’essence du politique est incompatible avec l’idée abstraite d’un homme porteur de droits universels. Le politique n’est pas réductible à la morale : il est l’actualisation du génie d’un peuple, selon des formes appelées à se renouveler en fonction des défis de l’histoire. Il n’y a pas plus de « régime idéal » qu’il n’y a de sens ou de fin de l’histoire, mais bien une manière propre à chaque peuple d’affirmer son existence et d’assurer son devenir dans le fleuve du vivant.
Les peuples d’Europe sont aujourd’hui confrontés à des périls terribles : risque de submersion par des flux migratoires d’une ampleur sans précédent, effacement de leur culture et de leur mémoire historique, travail de sape contre les fondements même de leur souveraineté au profit d’entités et de groupes d’intérêts à visées mondialistes, attaques d’une violence inouïe contre la famille, mise en place de formes de dictatures larvées à la faveur de crises sanitaires, trahison ou subversion des élites.
Les temps sont venus pour les peuples d’Europe de se réveiller, et de retremper leurs énergies aux sources pérennes : en renonçant aux idéologies universalistes, en rejetant toutes les formes de soumission, il leur appartient de refonder la cité sur le socle de l’identité, afin d’assumer à nouveau leur destin historique.
Programme :
Ouverture des portes : 9 heures 30 – Début des interventions : 10 heures
Nul n’échappe au politique !
Philippe Conrad
Qui est l’ami ? Qui est l’ennemi ?
Ego Non
Après la fin du politique, l’avènement du césarisme ?
David Engels
Table ronde animée par Charles de Meyer
État régalien et communautés organiques : quel équilibre ?Alain de Benoist et Paul-Marie Coûteaux
Ethnos et polis – On ne remplace pas un peuple
Renaud Camus
Entretien avec Romain Petitjean
Guerre ethnique ou guerre civile ?
Laurent Obertone
Début des interventions de l’après-midi : 14 heures
Europe puissance. Une géopolitique continentale face au monde
Olivier Eichenlaub
Table ronde animée par Nicolas Faure
GAFA, Big Pharma… Qui gouverne le monde ?Michel Geoffroy, Pierre-Antoine Plaquevent et Ferenc Almassy
Reprendre le pouvoir sur les juges
Frédéric Rouvillois
Quel sacré pour le politique ?
Javier Portella
Table ronde animée par Floriane Jeannin
L’appel au peuple ou le recours aux élites ?Julien Rochedy et Michel Maffesoli
Table ronde animée par Pierre-Alexandre Bouclay
Former les élites et les cadres de la renaissance française et européenne
Alexandre Pesey (IFP), Édouard Husson (ISSEP), Martin Sellner (GegenUni) et Fabrice Lesade (Iliade)
Qu’est-ce qu’un chef ?
Lionel Rondouin
Fin des interventions : 18 heures 30
Fermeture des portes : 19 heuresNombreux stands
Dédicaces des auteurs
Exposition d’art
Buvette
« Celui qui dira que nous sommes condamnés et que c’est pourquoi nous devons combattre jusqu’au bout (comme disent les Russes, tant qu’à mourir, il faut le faire en musique), celui-là ne sera pas un pessimiste. Ce sera un optimiste historique. L’optimisme historique signifie qu’on sait la vérité, si cruelle qu’elle soit, et qu’on est déterminé à se battre, quoi qu’il en coûte. L’optimisme historique ne compte sur rien ni personne, sauf sur soi-même et sur la bagarre. »
Alexandre Zinoviev, Nous et l'Occident
Bonne année 2022 à tous les lecteurs de Métapo infos !
« Celui qui dira que nous sommes condamnés et que c’est pourquoi nous devons combattre jusqu’au bout (comme disent les Russes, tant qu’à mourir, il faut le faire en musique), celui-là ne sera pas un pessimiste. Ce sera un optimiste historique. L’optimisme historique signifie qu’on sait la vérité, si cruelle qu’elle soit, et qu’on est déterminé à se battre, quoi qu’il en coûte. L’optimisme historique ne compte sur rien ni personne, sauf sur soi-même et sur la bagarre. »
Alexandre Zinoviev
Bonne fête de Noël aux lecteurs de Métapo infos !...
" Que la lumière de cette flamme de l’année nouvelle brille dans cette maison et dans nos cœurs comme une image du Soleil qui ne meurt pas ; comme un symbole de la marche du monde qui se poursuit, sous la grande roue des saisons. "
Jean Mabire