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  • Histoire antique, histoire ancienne ?...

    Les éditions Passés composés viennent de publier un essai de François Lefèvre intitulé Histoire antique, histoire ancienne ?. Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de Lettres classiques et ancien membre de l’École française d’Athènes, François Lefèvre est professeur d’histoire grecque à la Sorbonne. Il est l’auteur d’une Histoire du Monde grec antique traduite dans plusieurs langues.

     

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    " L’Antiquité reste-elle d’actualité ? C’est la question à laquelle un de ses plus éminents spécialistes répond dans ce livre. En une succession de courts chapitres, il montre la proximité entre les civilisations grecque et romaine et la nôtre. À bien des égards, nos problèmes les plus contemporains furent également les leurs. Brexit, enseignants mal payés, déserts médicaux, sport business, technocratie, manifestations de rue : ce qui nous apparaît comme « l’enfer » de la modernité n’est qu’une forme de répétition de l’Antiquité classique. Ainsi découvrira-t-on que Donald Trump n’est pas l’inventeur des fake news, mais que l’Athénien Thémistocle ou Philippe II de Macédoine y ont eu recours bien avant lui, en dignes héritiers d’Ulysse ; qu’avant Notre-Dame, un autre lieu de culte illustre, le temple d’Apollon à Delphes, périt dans les flammes et provoqua un émoi international ; Delphes où bien avant l’ONU, une instance supranationale siégeait, l’Amphictionie.

    À travers ces exemples riches en anecdotes, curiosités et révélations, François Lefèvre fait revivre d’une plume alerte le monde antique et nous invite à réfléchir sur le nôtre, tant il est vrai que le passé, fût-il aussi reculé, éclaire le présent. "

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  • L'inégalité comme condition d'existence...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque la question de l'inégalité en s'appuyant sur l’œuvre du philosophe russe, Nicolas Berdiaev.

     

                                               

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  • "La France doit dire ce qu'elle est"...

    Le numéro 40 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur un dossier consacré à l'avortement, des entretiens avec, notamment, François-Xavier Bellamy, Ludovic Maubreuil, Patrice Jean ou Michaël Rabier, et les rubriques habituelles "Politique", "Monde" "Essais", "Culture", "Envers et contre-cool" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • Quel avenir pour les autochtones d’Europe ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré aux menaces qui pèsent sur les autochtones européens.

     

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    Terreur migratoire, sanitaire, médiatique et sociétale… Quel avenir pour les autochtones d’Europe ?

    Les autochtones d’Europe conscients de qui ils sont et de leur civilisation, sont actuellement dans les cordes d’un ring de boxe, en train de subir des assauts répétés de fossoyeurs qui lynchent en meute.

    Jamais dans l’histoire de la civilisation européenne, nous n’en étions rendus à un tel point, où l’immigration de masse, conjuguée avec l’ethnomasochisme, la haine de soi distillée au quotidien, mais aussi avec un règne de la peur (tyrannie sanitaire, médiatique,  juridique…), ne nous menace clairement de disparition, à moyen terme.

    L’autochtone d’Europe, un monstre ?

    Notre civilisation, aujourd’hui, regorge de millions d’individus à qui l’on n’a pas cessé de dire qu’ils étaient des monstres. Les Allemands ont été éduqués et instruits notamment à l’école dans la honte de leur passé, de leur histoire, dans la culpabilisation de tout un peuple au nom de 15 ans de leur histoire. Les Français eux, ont appris que seule compte la diversité et le « vivre ensemble », et que tout autre choix de société ne serait que racisme, relent colonial, impasse consanguine… Les Britanniques — qui ne cessent de se renier — ont importé sur notre sol toute une idéologie venant d’outre-Atlantique et faisant la part belle à des microcommunautés, à des lubies sociétales hors sol, destinées à faire oublier aux Européens qui ils sont vraiment. Partout en Europe occidentale, les autres nations suivent la même pente, glissante, autodestructrice.

    Quand est-ce que ce cauchemar va cesser ? Quand est-ce qu’enfin les Européens vont sortir de l’état de dormition dans lequel ils sont plongés depuis plusieurs décennies déjà ? Aujourd’hui, nous ne sommes même plus dans une phase d’acceptation des petites minorités importées d’ailleurs (les masses immigrées venues du monde entier) ou inventées pour satisfaire au règne du marché, mais aussi du communautarisme le plus artificiel (les LGBTQ+, les gros, les féministes, les nains, les handicapés joueurs de tennis, les malades mentaux en lutte…). Non, nous sommes rentrés dans l’ère de la tentative de domination de ces petites communautés et minorités agglomérées les unes avec les autres.

    Chacun veut désormais « exprimer son droit à la différence », « s’assumer qui il est » (au final personne), « revendiquer ses droits à… » et au final, s’imposer contre une majorité trop silencieuse, désorganisée, et désormais presque non identifiée tant le socle commun de base, celui de l’identité ethnique, culturelle, religieuse, qui fondait toute société harmonieuse, est aujourd’hui suspecté d’office d’aller à l’encontre d’un « Nouveau Monde » qui est en train de s’imposer à tous.

    Voyez où nous en sommes. Après plus d’un an de tyrannie sanitaire, de mesures les plus délirantes imposées à quasiment toute la planète au nom d’un virus qui n’est pas la peste noire, les masses en sont encore à attendre sagement les consignes de l’État providence, comme un mouton attend son sort à l’entrée de l’abattoir. « Donnez-nous le vaccin, qu’on puisse enfin voyager et retourner au bar et au cinéma » disent-ils, en nombre, tout en jetant l’opprobre sur ceux qui « salopards de complotistes » envisagent de rester, tant qu’ils le peuvent, des hommes libres de leurs choix, de leurs pensées.

    Quel rapport entre la tyrannie sanitaire et les menaces évoquées plus haut qui pèsent sur les Autochtones d’Europe ? Tout est lié. Nous vivons dans une société qui est prête à cesser de vivre pour retarder sa mort programmée.

    Nous sommes à l’ère de la culpabilisation permanente de la majorité par des minorités qui voudraient presque décider de la façon dont nous devons vivre, respirer, et penser au quotidien.

    Nous sommes à l’époque du renoncement généralisé, renoncement des peuples à se révolter contre leurs autorités rendues illégitimes par l’abstention électorale massive, mais aussi par l’abandon des populations à leur triste sort en matière de sécurité, de santé, d’éducation, qui forment pourtant les principales attributions d’un État providence respectant le contrat social qui lie entre eux les citoyens.

    Désormais, ces mêmes autorités veulent nous forcer à vivre avec des Barbares, qui s’entretuent dès l’âge de 12-15 ans gavés qu’ils sont aux émissions de télépoubelle, à la musique dégénérée, à la culture de l’excuse permanente, et exposés qu’ils sont dès le plus jeune âge à la drogue, à la pornographie, à la violence, sans compter leur exposition à toutes les déviances normalisées, dont certaines désormais presque promues jusqu’au plus haut sommet politique ou médiatique, comme cet enfant de 8 ans, « transgenre » exposé comme une marionnette par des parents dont la place devrait être à l’asile ou bien en prison.

    Alors que faire, alors que d’un côté, nous serons 500 millions d’Européens en 2050 (combien d’Autochtones ?) et que dans le monde entier, des masses bien plus importantes émergent ? Que faire alors qu’au sein même de notre espace, de notre berceau culturel, ethnique, et géographique, une partie des nôtres semble déterminée à faire un saut final dans le vide ?

    Vivement le divorce

    Surtout ne pas désespérer. Surtout tenir bon. Il faut rompre, tout simplement. Faire sécession, d’abord mentalement, d’avec cette société mortifère qu’ils veulent aujourd’hui nous imposer.  Non pas pour se réfugier à la recherche d’un passé fantasmé. Non pas pour plonger dans le camp de la « réaction permanente ». Mais pour construire une autre société, toujours à la recherche du Bien, du Beau, du Vrai, du Juste.

    Cette société, nul besoin de la République française ou de la démocratie parlementaire pour la construire, pour la façonner. Cela se passe ici et maintenant, chez vous. A traverse les associations culturelles et politiques. À travers l’émergence de communautés unies par le sang et par le sol de leurs ancêtres. A traverse les écoles hors contrat et l’instruction de nos enfants loin de la prison mentale que constitue de plus en plus l’Éducation nationale. Il faut développer et bâtir nos propres réseaux d’informations, nos propres entreprises, nos propres initiatives dans toutes les strates de ce qui fonde une société saine et harmonieuse. Sans demander quoi que ce soit à l’État providence qui n’est plus une providence pour personne.

    N’oubliez pas : le contrat social est rompu. L’État ne vous protège plus puisque les forces de l’ordre attendent que l’on vous agresse, ou que l’on s’en prenne à vos proches, pour éventuellement enquêter et réagir, le mal étant déjà fait. Puisque la Justice censée être rendue en votre nom maintient sur le territoire — et même en liberté — des individus dangereux.

    L’État vous soigne mal, puisque malgré les impôts et charges que vous payez chaque mois, vous n’avez aucune garantie d’avoir des rendez-vous rapides avec des spécialistes et avec des médecins compétents si jamais vous veniez à vous retrouver en mauvaise posture.

    L’État ne vous aime plus, lui qui ne cesse d’ouvrir les portes du territoire à des masses dont il sait parfaitement que le nombre rend tout « vivre ensemble » impossible. Lui qui ne cesse d’affirmer son mépris et sa détestation de « tout ce qui est Biniou, Béret, Baguette » pour schématiser. Lui qui veut absolument contrôler vos déplacements, votre façon de consommer, lui qui filme le moindre de vos faits et gestes dans les rues des grandes métropoles « pour votre sécurité ».

    Cela n’a de toute façon jamais été une grande histoire d’amour entre une République qui est née sur le sang des partisans de l’Ancien Régime, et une large partie de sa population, intégrée de force à un hexagone trop grand, trop différent, trop abstrait pour qu’il puisse, sur la durée, devenir autre chose qu’un « projet politique auquel tout le monde peut adhérer » comme le disent ses partisans eux-mêmes.

    Les autochtones d’Europe sont en train de mourir sous les coups d’institutions avec lesquelles ils ont été mariés de force. Le temps du divorce est arrivé. Il en va de notre survie. Il faut se réveiller et faire front, ensemble. Il y a urgence.

    Julien Dir (Breizh-Info, 11 mars 2021)

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  • Pour Napoléon !...

    Les éditions Perrin viennent de publier un essai de Thierry Lentz intitulé Pour Napoléon. Historien, directeur de la Fondation Napoléon, Thierry Lentz est l'auteur de nombreux ouvrage sur l'Empereur et le 1er Empire. Mais, on lui doit également une enquête passionnante sur l'assassinat du président des Etats-Unis John Kennedy ainsi qu'une étude intitulée Le diable sur la montagne - Hitler au Berghof 1922-1944 (Perrin, 2017)...

     

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    " Exaspéré par les polémiques qui surgissent à tout bout de champ sur Napoléon, relatives particulièrement à l’esclavage, au patriarcat, à sa dictature ou aux guerres que l’empereur a menées, Thierry Lentz y répond dans cet essai argumenté, au ton vif et personnel. Vingt chapitres très enlevés pulvérisent les faux procès, fondés pour la plupart sur l’ignorance et l’anachronisme, parfois sur l’aveuglement idéologique et la bien-pensance, voire la haine de la France et de son histoire, devant laquelle les politiques se courbent trop souvent. Surtout, l’historien impeccable, sans défendre systématiquement Napoléon, rappelle le rôle décisif et pérenne tenu par le Consulat et l’Empire dans la construction de la France contemporaine, jusque dans notre présent et notre intimité. Oui, Napoléon vit en nous, et les Français, dans leur ensemble, ne s’y trompent pas, qui reconnaissent en lui un héros national, avant et à côté de Charles de Gaulle. "

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  • De l’antiracisme à la « racisation »...

    Dans Cette année-là, l'équipe de la revue Éléments, autour de Patrick Lusinchi,  nous fait découvrir sur le plateau de TV Libertés des livres, des chansons, des films, des évènements, des personnages qui ont marqué la société française en bien ou en mal et qui marquent encore notre présent. Un rendez-vous classé par année, sous le signe d’un retour sur notre passé, avec ce qu'il faut de passion et d'impertinence... Et on retrouve sur le plateau Pascal Eysseric, directeur de la rédaction, François Bousquet, rédacteur en chef, Olivier François et Christophe A. Maxime...

    Au sommaire ce mois-ci :

    – la grande décennie de l’antiracisme militant, qui s'ouvre en 1980 à l’occasion de la parution d’un numéro de la revue Éléments qui a fait date : « Pour en finir avec la civilisation occidentale »...

     

                                               

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