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  • Indispensables frontières...

    Les éditions du Toucan viennent de publier un essai de Thierry Baudet intitulé Indispensables frontières - Pourquoi le supranationalisme et le multiculturalisme détruisent la démocratie. Néerlandais, Thierry Baudet enseigne le droit public à l Université de Leyde. Paru en 2012, son essai a eu un certain retentissement dans les pays anglo-saxons.

     

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    " Une frontière, ce n’est pas seulement une ligne sur la carte. C’est un combat qu’on enterre, un ancien ennemi qui devient un voisin. C’est la fin d’une juridiction et d’un mode de vie et le début d’une autre réglementation et d’une autre culture. C’est toujours une trace de l’histoire, une blessure qu’on a soignée mais qui peut se rouvrir. C’est l’attribut d’un monde où l’on peut distinguer entre « nous » et « eux », et où ainsi les hommes qui s’identifient peuvent se faire représenter dans le cadre démocratique.

    Or, depuis près de trois quarts de siècles en Europe, les Etats-nations sont progressivement démantelés : par le supranationalisme qui leur demande de céder des pans entiers de leurs prérogatives à des organisations et tribunaux internationaux, et par le multiculturalisme qui tient pour nécessaire l’accueil massif de populations de cultures diverses. En démontrant, sur la base de l’Histoire et du Droit, que ces changements asphyxient les principes démocratiques, Thierry Baudet nous alerte vigoureusement sur la catastrophe qui approche. "

     

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  • Retour sur les années de plomb en Italie...

    Gabriele Adinolfi, responsable du Centre d'étude Polaris et principal inspirateur du mouvement Casapound, était reçu le 19 mars 2015 par Martial Bild, dans le journal de TV Libertés. Fondateur dans les années 70 du mouvement nationaliste révolutionnaire Terza Pozitione, il a évoqué, à l'occasion de la sortie de son livre Années de plomb, semelles de vent (Bouquins de Synthèse nationale, 2014), cette période particulièrement tragique de l'histoire récente de l'Italie...

     

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  • Les amazones de la terreur...

    Les éditions Payot viennent de publier un essai de Fanny Bugnon intitulé Les « amazones de la terreur » - Sur la violence politique des femmes de la Fraction armée rouge à Action directe. Docteur en histoire, Fanny Bugnon enseigne à l'université de Rennes.

     

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    " Durant le dernier tiers du XXe siècle, de nombreuses femmes rejoignirent les rangs d’organisations politiques violentes comme la Fraction armée rouge allemande, les Brigades rouges italiennes ou Action directe en France. Certaines tuèrent. Les médias surpris de cette violence féminine les appelèrent "amazones de la terreur" et créèrent pour elles une nouvelle catégorie, celle de la "femme terroriste". Dans ce livre pionnier, croisant les mutations du militantisme de l’après-68 et l’essor de la deuxième vague féministe, Fanny Bugnon propose une réflexion de fond sur le sujet encore tabou de la violence politique des femmes et une étude sur les mouvements révolutionnaires radicaux qui offre des résonances très actuelles, en particulier avec l’engagement des femmes dans les attentats sur tous les fronts. "

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  • « Le fossé séparant les peuples des élites mondialisées ne cesse de se creuser »...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré aux mantras inlassablement répétés par les élites mondialisés...

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    « Le fossé séparant les peuples des élites mondialisées ne cesse de se creuser »

    Il ne faut pas « stigmatiser », ne pas faire « l’amalgame ». Pour ne pas réveiller la « bête immonde » dont les idées « nauséabondes » nous menacent, il faut louer le « métissage » et la « diversité »… À force de mouliner des mantras, les moulins à prière sémantiques finissent par donner vertige et tournis. Mais qu’est-ce que tout cela signifie ?

    Cela signifie que nos dirigeants ont régressé au stade de ce que Freud appelle la pensée magique. En répétant leurs mantras, ils prononcent des incantations et lancent des exorcismes. Les loups hurlent, les hiboux ululent, Manuel Valls agite ses amulettes. Comme il a perdu ses nerfs, le Premier ministre se flatte de « stigmatiser » le Front national et n’hésite pas à recourir à toutes sortes d’amalgames, alors même qu’il ne cesse de mettre en garde contre les amalgames et la « stigmatisation ». Même contradiction chez ceux qui célèbrent à la fois la « diversité » et le « métissage » sans voir que le second réduit inévitablement la première. Le « métissage » est d’ailleurs lui-même un mot magique, invoqué comme une force agissante au service de la fusion rédemptrice : « L’hybridation généralisée est le rouleau compresseur qui produit l’homogénéisation et le nivellement des cultures, l’abolition finale de la diversité culturelle », écrivait récemment Pierre-André Taguieff. Quant à l’allusion répétée à la « bête l’immonde », elle relève à la fois du vocabulaire zoologique et du langage de curés : comme dans les régimes totalitaires, il s’agit de dénier à l’adversaire son humanité pour le ramener à l’animalité.

    De même évoque-t-on jusqu’à plus soif les fameuses « valeurs républicaines ». Mais quelles sont-elles ?

    On abuse aujourd’hui du mot « valeurs ». En réalité, il n’existe pas de « valeurs républicaines », il n’y a que des principes républicains. Mais lesquels ? L’allusion à la res publica est chose ancienne : Les six livres de la république de Jean Bodin datent de 1576, la République de Platon remonte au IVe siècle avant notre ère. De quelle République les officiants des « valeurs républicaines » entendent-ils se réclamer ? De la Première, celle de la loi des suspects, de la Terreur et du génocide vendéen ? De la Troisième, celle de la colonisation patronnée par Jules Ferry ? De la Quatrième, restée célèbre par son instabilité ? Le terme « républicain » est en fait un mot-caoutchouc, une « bulle de savon », disait récemment Frédéric Rouvillois.

    Il y a déjà quelques années, dans un article resté célèbre, Régis Debray avait avec bonheur opposé les « républicains » et les « démocrates ». Révélateur est à mon avis le fait que la classe dirigeante préfère évoquer les « valeurs républicaines » plutôt que les valeurs démocratiques. Les premières renvoient principalement à l’État, tandis que les secondes privilégient le peuple (souveraineté étatique et souveraineté populaire ne sont pas la même chose). Or, le fossé séparant les peuples des élites mondialisées ne cesse de se creuser. Le peuple rejette spontanément les mots d’ordre de la Nouvelle Classe. La Nouvelle Classe se méfie du peuple, qui pense mal et ne vote jamais comme on lui dit de le faire. D’où les critiques contre le « populisme », manière élégante d’avouer qu’on méprise le peuple et qu’on aspire par-dessus tout à gouverner sans lui.

    Les gouvernements s’étant succédé aux affaires ne cessent d’évoquer un autre mantra, le « vivre ensemble », alors même qu’ils sont les premiers atteints lorsqu’ils dénoncent comme « l’anti-France » un bon tiers du corps électoral…

    Ici, c’est différent. On peut ironiser sur la façon dont la classe politique use et abuse du « vivre ensemble », mais le mauvais usage que l’on fait de cette expression ne nous dit rien de sa valeur. Or, le « vivre ensemble » est le principe même de toute vie sociale ou communautaire. Le commun est au fondement du politique pour la simple raison qu’il n’y a pas de politique des seuls individus. Il n’y a de politique qu’en référence au collectif. Si la démocratie est en son fond un régime politique, c’est parce qu’elle permet une participation de tous les citoyens aux affaires publiques qui équivaut elle-même à une mise en commun. Le bien commun se définit alors comme ce dont chacun peut jouir sans qu’on puisse en faire l’objet d’un partage. Le commun ne peut être partagé ou divisé, il est inappropriable par nature. Les biens communs sont des supports du vivre ensemble.

    Mais encore faut-il comprendre ce qu’implique le « vivre ensemble ». Les gens vivent d’autant mieux ensemble qu’ils peuvent se reconnaître dans ceux qu’ils voient autour d’eux. Les comportements sont d’autant plus altruistes que les gens sont spontanément portés à avoir confiance dans leur entourage. Même les « ghettos », que dénoncent adversaires et partisans de l’immigration, les premiers y voyant autant de « zones de non-droit » et les seconds autant de preuves d’un défaut de « mixité sociale », ne sont pas seulement le résultat des conditions économiques, mais aussi la conséquence du vouloir vivre ensemble. À l’inverse, ce qui détruit le plus le vivre ensemble, c’est l’imposition, le mélange ou la coexistence forcée de modes de vie que les gens ressentent comme profondément différents du leur. Quand ces modes de vie deviennent dominants, les gens commencent à se sentir étrangers chez eux et, s’ils en ont les moyens, ils partent s’installer ailleurs. Ce que la doxa dominante appelle le « vivre ensemble », c’est donc exactement l’inverse de ce qu’il requiert, à savoir l’existence de liens sociaux organiques. Ceux qui prônent aujourd’hui le « vivre ensemble » sont en réalité ceux qui en détruisent le plus consciemment le pouvoir fédérateur.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 23 mars 2015)

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  • Les jours d'après...

    Les éditions de La Table ronde viennent de publier Les jours d'après, un recueil de contes noirs de Jérôme Leroy. Maître de l'anticipation noire, Jérôme Leroy est, notamment l'auteur de Monnaie bleue, de Bref rapport pour une très fugitive beauté , de Big sister ou de La minute prescrite pour l'assaut ainsi que du remarquable polar de politique-fiction, Le Bloc.

     

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    " Il tient encore debout, mais les racines des baobabs dévorent ses fondations. A l'intérieur, autour des tables de réunion, les hommes et les femmes, rongés depuis longtemps par les vautours, tombent en poussière. Oui, le beffroi de la Bourse du Commerce, à Lille, tient encore debout, mais plus pour longtemps... Laboratoire de l’œuvre de Jérôme Leroy - on croisera par exemple, dans "Rendez-vous rue de la Monnaie", des personnages de L'Ange gardien, son dernier roman - ce recueil de nouvelles, sous-titré "Contes noirs" évoque alternativement la fin d'un monde et l'apparition d'un autre, né sur ses décombres. Dans la lignée de René Barjavel et Marcel Aymé, Jérôme Leroy nous propose des contre-utopies aussi drôles que noires. "

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  • « Cette mafia qui se réclame de la gauche »...

    Nous reproduisons ci-dessous l'entretien donné par Michel Onfray au magazine Le Point, dans lequel il s'attaque à la gauche caviar de BHL, et qui lui a valu d'être cloué au pilori par le premier ministre Manuel Valls. A lire !...

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    « Cette mafia qui se réclame de la gauche »

    1. Une partie de la gauche est devenue très hostile à votre égard. Votre opposition à la théorie du genre, votre critique de l’islam et votre défense d’Eric Zemmour vous ont valu le surnom de « Finkielkraut bis ». Auriez-vous basculé du « côté obscur de la force » ?

     

    Tout dépend de quelle gauche on parle… La gauche mondaine, parisienne, celle de Saint-Germain-Des-Prés ? La gauche caviar de BHL ? La gauche tellement libérale qu’elle défend la vente d’enfants en justifiant la location d’utérus des femmes pauvres pour des couples riches ? La gauche de Pierre Bergé qui estime que louer son ventre c’est la même chose que travailler comme caissière ? La gauche qui préfère avoir tort avec Robespierre, Marx, Lénine, Staline, Mao, Khomeiny que raison avec Camus ? La gauche qui rend responsables Houellebecq, Finkielkraut et Zemmour des attentats du 7 janvier qu’elle ne veut pas nommer islamistes ? La gauche de Libération qui, le 20 janvier 2014, justifie la zoophilie et la coprophagie avec la philosophe Beatriz Preciado, chroniqueuse du dit journal ? La gauche qui fit de Bernard Tapie son héros et un ministre ? La gauche qui a vendu une télévision publique à Berlusconi ? La gauche qui traque la misogynie et la phallocratie partout dans la langue française et veut qu’on dise professeure et auteure mais qui ne voit pas que la polygamie, le voile, la répudiation, les mariages arrangés, l’excision, le chômage des mères seules au foyer, les ex-maris qui ne paient pas les pensions alimentaires,  font des ravages plus profonds en matière de phallocratie ? La gauche qui vote comme Sarkozy sur l’Europe et l’euro, le raccourcissement des retraites et l’augmentation du temps de travail, les restrictions de remboursements maladie,  et croit que le danger fasciste est partout sauf là où il est ? La gauche qui se croit antifasciste comme Jean Moulin quand elle appelle à interdire le parti de Marine Le Pen ? La gauche de ceux qui croient à la liberté de la presse, à la liberté d’expression, bien sûr, mais qui m’interdit France-Inter pendant quatre années ou demande qu’on interdise la diffusion de mon cours sur Freud à France-Culture en initiant une pétition contre moi au nom de la liberté d’expression ? La gauche du sénateur socialiste qui intervient auprès du président du Conseil régional de Basse-Normandie pour faire sauter la subvention de l’université populaire à la demande d’une historienne de la psychanalyse qui elle aussi, bien sûr, est de gauche? La gauche qui détruit l’école parce qu’elle sait que ses enfants sortiront de toute façon du lot, puisqu’ils s’en occupent chez eux et qui, de ce fait, renvoie les enfants de pauvres dans les caniveaux où Marine Le Pen, ou le Djihad,  les récupère ? Que cette gauche là ne m’aime pas, ça m’honore… En revanche, je ne compte pas le nombre de gens vraiment de gauche qui me disent, dans la rue, par mails, par courrier, à l’issue mes conférences, qu’ils sont d’accord avec moi, mais n’osent pas le dire parce qu’il règne une terreur idéologique activée par cette mafia qui se réclame de la gauche…

     

    2. Même la revue de la Nouvelle Droite, Eléments, vous tresse des lauriers….Y aurait-il un malentendu ?

     

    Je suis antilibéral, contre l’euro et l’Europe, pour les peuples, je défend un socialisme proudhonien, mutualiste et fédéraliste, je crois au génie du peuple tant que les médias de masse ne l’abrutissent pas pour le transformer en masse abêtie qui jouit de la servitude volontaire et descend dans la rue comme un seul homme au premier coup de sifflet médiatique, je ne crois pas que le marché doive faire la loi, je ne fais pas de l’argent l’horizon indépassable de toute éthique et de toute politique , je préfère les girondins fédéralistes et provinciaux aux jacobins centralisateurs et coupeurs de têtes , et avec ça je suis de gauche – si Eléments est d’accord avec ça, devrai-je cesser de croire ce que je crois ?

     

    3. Dans « L’ordre libertaire : la vie philosophique d’Albert Camus », vous faisiez une critique implacable de la « gauche totalitaire ». Ce livre n’a-t-il pas marqué une rupture définitive entre une certaine intelligentsia de gauche et vous ?

     

    Une certaine intelligentsia de gauche, comme vous dites, n’a jamais aimé que je ne sois pas du sérail et que je ne doive mon statut qu’à mon travail et non au copinage tribal qui fait l’essentiel de son quotidien. J’ai construit ma vie pour n’avoir rien à demander à personne.  Que cette tribu grosse comme un village Papou fasse sa loi et fonctionne comme une mafia, c’est son affaire, pas la mienne. J’ai créé une université populaire il y a treize ans à Caen, en province, pour lutter contre la présence de Le Pen au second tour des présidentielles, cette UP fonctionne à merveille avec une vingtaine d’amis. J’y travaille bénévolement et les cours sont gratuits. C’est ma façon d’être de gauche car se dire de gauche compte pour rien si l’on ne vit pas une vie de gauche, à savoir une vie dans laquelle on incarne les idéaux de gauche – banalement : liberté, égalité, fraternité, laïcité, féminisme.  Cette intelligentsia n’en parle jamais alors que mille personnes viennent chaque lundi à mon cours. L’arbitre des élégances n’est pas pour moi ce village papou, mais ce peuple qui vient.

     

    4. « Moi qui suis de gauche, je préfère un homme de droite intelligence à un homme de gauche débile », avez-vous déclaré au Figaro. La droite serait-elle de plus en plus intelligente ? Et à contrario la gauche serait-elle de plus en plus débile ?

     

    Depuis que je juge la gauche sur ce qu’elle fait plus que sur ce qu’elle dit d’elle, je ne me fais plus avoir par les étiquettes. Il n’y a pas la gauche et la droite, mais des gens de gauche et des gens de droite. Et je n’estime pas une personne sur ces critères. Pas plus que l’athée que je suis ne juge autrui sur le fait qu’il croie ou non en Dieu, mais sur ce qu’il fait de son athéisme ou de sa foi dans sa vie quotidienne. Là aussi, là encore, je préfère un croyant intelligent à un athée imbécile. Je trouve même sidérant qu’on ait besoin de le dire, ce qui supposerait qu’un homme de gauche devrait préférer un crétin de gauche à un homme de droite intelligent…

     

    5. Quels sont les intellectuels de droite dont vous vous sentez le plus proche ?

     

    Je ne me sens pas proche de BHL ou d’Alain Minc, ni de Jacques Attali qui, me dit-on, sont de gauche. Faudrait-il que je me sente proche pour cela d’intellectuels de droite ? Qui sont-ils d’ailleurs ? Concluez si vous voulez que je préfère une analyse juste d’Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou BHL et que je préférais une analyse qui me paraisse juste de BHL à une analyse que je trouverais injuste d’Alain de Benoist … Les Papous vont hurler ! Mais ils ne me feront pas dire que je préfère une analyse injuste de BHL sous prétexte qu’il dit qu’il est de gauche et que Pierre Bergé, Libération, Le Monde et le Nouvel Observateur, pardon, L’Obs affirment aussi qu’il le serait…

     

    6. Y a-t-il un homme politique de droite pour lequel vous seriez prêt à voter ?

     

    Aucun. Ni d’ailleurs aucun un homme de gauche. C’est fini l’époque où je croyais aux bateleurs de la politique politicienne.

    Michel Onfray, propos recueillis par Sébastien Le Fol (Le Point, 25 février 2015)

     

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