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  • Le Suicide de l'espèce...

    Les éditions Denoël viennent de publier un essai de Jean-David Zeitoun intitulé Le Suicide de l'espèce - Comment les activités humaines produisent de plus en plus de maladies

    Jean-David Zeitoun est docteur en médecine , diplômé de Sciences Po et docteur en épidémiologie clinique. Il a été interne et chef de clinique à l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris. Ses travaux de recherche concernent la régulation des médicaments, les risques associés aux traitements, la qualité des soins et la santé populationnelle.

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    " Ce livre est une tentative d'explication d'une anomalie de masse : la société mondiale produit de plus en plus de maladies, tout en dépensant toujours avantage pour essayer de les traiter. La réponse courte à cette contradiction est que les risques environnementaux, comportementaux et métaboliques qui causent les maladies sont des conséquences de la croissance économique. Nous avons laissé se créer une offre et une demande de risques. La logique de l'offre est simple et son rationnel est économique : les entreprises vendent des risques ou les disséminent pour produire plus et moins cher. La logique de la demande est plus complexe et diversifiée : nous nous exposons aux risques ou nous les consommons par nécessité, par erreur ou inattention, par addiction ou par désespoir. La production de maladies entraîne un suicide au ralenti de l'espèce humaine, qui n'a cependant rien d'une fatalité. "

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  • Migrants déployés dans les régions : l’invasion silencieuse...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré à la stratégie insidieuse du gouvernement visant à répartir discrètement les migrants clandestins qui affluent en région parisienne dans les communes de la France périphérique...

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    Migrants déployés dans les régions. L’invasion silencieuse

    Les autorités semblent avoir retenu la leçon de Callac. Sans néanmoins renoncer à importer tous les migrants qui rentrent actuellement illégalement sur le territoire hexagonal, dans nos régions. Ainsi, actuellement, discrètement, avec l’aide d’associations perfusées aux subventions publiques (avec votre argent donc) des milliers de migrants quittent chaque mois les squats, les parkings, les rues où ils s’entassent depuis leur arrivée en France, direction les régions françaises. Direction nos campagnes, nos moyennes villes. Dans la plus grande discrétion.

    « 75% des demandeurs d’asile sont mis à l’abri”, dont 1.800 personnes “orientées en région chaque mois” » indique ainsi le directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) Didier Leschi.

    Cela s’appelle une invasion silencieuse. Non annoncée par les pouvoirs publics. Réalisée souvent sans grands échos y compris dans la presse locale et dans les municipalités, pour ne pas susciter de tensions (on ne dit rien à la population comme ça elle évitera de protester et de se rebeller…c’est un procédé dégueulasse estampillé République française). Entendons-nous bien : 98% des extra européens arrivant en France ne sont sûrement pas – hormis le fait d’être entrés illégalement sur un territoire sans être invité – des délinquants en puissance.

    Mais ce n’est pas une question d’être gentil ou pas, intégré ou pas, pacifique ou pas. L’immigration n’est pas, et ne doit pas être, une question de délinquance, ou la variable d’ajustement du chômage et de l’emploi. L’immigration est un problème car à terme, elle change culturellement, religieusement, ethniquement, le visage d’un pays, et avant cela de villes, de régions (Qui osera dire que la Seine St Denis est la même ethniquement qu’il y a 100 ans ?). L’immigration est un problème car elle oblige des individus, puis des groupes communautaires, à cohabiter sur un même territoire alors qu’ils ne peuvent pas cohabiter quoi qu’en dise la République française qui s’est toujours comportée de toute façon comme une machine à broyer les peuples, à nier les identités, les races, les cultures…tout ça pour produire la société déliquescente dans laquelle nous évoluons aujourd’hui.

    Mais les citoyens ne sont pas aveugles. Ils voient bien ces nouveaux arrivants. Ici une famille dans un village et quelques enfants de plus intégrant l’école. Là, un groupe de jeunes hommes extra européens, qui sont posés toute la journée à la terrasse d’un café ou sur la place du centre d’une petite ville.

    Petit à petit. Une famille par ci, un groupe de jeunes hommes par là, sans bruit. L’Etat français – incapable de mener une politique d’immigration à la tunisienne, consistant à mettre tout ce beau monde dans des avions et à les renvoyer dans leurs pays d’origine – impose l’immigration dans nos campagnes, dans nos petites villes. Vous le voyez, mais vous n’avez le droit de rien dire, sous peine d’être taxé de tous les noms. La presse vous demande cette preuve que vous ne pouvez pas sortir, n’étant pas dans les petits papiers des Préfectures ni des associations, et cela malgré que vous ayez la preuve visuelle, que même une certaine droite n’ose pas affirmer : oui, nous voyons arriver de plus en plus d’extra-européens dans nos villes, et cela se voit, en effet, à la couleur de peau, mais aussi à la façon de parler, ou plutôt de ne pas parler la langue du pays.

    L’objectif de la République française, c’est de répartir l’immigration, d’étaler tout cela bien partout dans l’hexagone afin qu’il n y ait demain plus aucun coin qui n’échappe au côté « multiculturel » des grandes métropoles, des paradis sur terre comme chacun sait, havre de paix, de sécurité, de « vivre ensemble », etc etc. De la répartir insidieusement, mais sûrement. Et dans dix ans, les mêmes qui installent aujourd’hui ces migrants clandestins/demandeurs d’asile sur notre territoire (qui seront devenus français de papier par magie entre temps) vous diront l’air grave : « Mais ils sont français comme vouzémoi, quel est votre problème ? Leurs enfants sont français, vous n’avez rien à dire ».

    Souriez, vous allez être remplacés. Progressivement. Mais sûrement. Tant que la pompe aspirante ne sera pas fermée. Tant qu’on continuera à accepter que notre argent, nos taxes, nos impôts, soient alloués à des associations qui oeuvrent quotidiennement pour les autres, pas pour les nôtres. Tant que l’on continuera à baisser la tête par peur d’être qualifié de « raciste d’extrême droite » ou autre anathème dont vous avez peur qu’il vous condamne à une mort sociale, professionnelle, certaine. Tant que l’on continuera à tolérer que la République française et ses agents imposent, sur votre territoire, via des logements sociaux, des rachats de biens immobiliers par des associations, une immigration que vous rejetez pourtant systématiquement, élection après élection, sans que personne ne vous écoute.

    Vous ne croyez pas à cette immigration insidieuse imposée par les autorités françaises ? A Callac, si le projet Horizon a bien été annulé, c’est l’Etat qui a pris la relève : depuis le début de l’année 2023, deux familles de migrants, d’Afrique noire, mais aussi du Moyen-Orient, sont arrivées, et ils constituent une quinzaine de personnes.

    Cela se passe à Callac, à Coray, mais aussi à Quimperlé, à Saint-Brévin, et dans des centaines de villes et de villages de l’hexagone. Sous vos yeux, à votre insu. C’est vous qui payez aujourd’hui l’addition, et vos enfants, demain, les conséquences. Mais pour combien de temps encore?

    Julien Dir (Breizh-Info, 9 mars 2023)

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