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Le surhomme de Nietzsche...

Les éditions Pkp Verlag viennent de publier Le Surhomme de Friedrich Nietzsche, un essai de Pierre Kynast, traduit en français. Auteur de plusieurs ouvrages, Pierre Kynast se présente sur son site, que les germanistes pourront utilement visiter, comme philosophe indépendant.

 

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" Ce livre est un pari. Un pari, car la philosophie nietzschéenne du surhomme est ici retracée sans la critiquer, sans l’édulcorer ni la diaboliser. Celui qui cherche une réponse à la question de savoir ce qu’il a en lui du surhomme de Nietzsche la trouvera ici -sans autoritarisme ni avertissement moralisateur. Il ne s’agit ici que de suivre le concept du surhomme à travers l’œuvre de Nietzsche, en intégrant nombre de ses dangereuses pensées et de les lier, en suivant les indications de Nietzsche, aux événements actuels de notre temps, par exemple au préambule de la constitution allemande. Avec Nietzsche le monde prend une couleur autre. Encore aujourd’hui - et peut-être plus qu’à aucun moment - le surhomme de Nietzsche demeure une philosophie pour après-demain dans la recherche de nouveaux philosophes. "

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Commentaires

  • Ignorer Jésus et la révélation, c'est ignorer ce qu'est la vie et la mort, c'est ignorer à la fois ce qu'on est et ce qu'est Dieu. Notre surhomme, se haussant sur la pointe des pieds, se prend pour un dieu. Il n'est que poussière.

  • Dans ce cas beaucoup d'hommes qui ignorent tout de Jésus et de la Révélation (vous avez oublié la majuscule) doivent se méprendre en toute bonne foi à propos de ce que sont "la vie et la mort". Les Évangiles qui à défaut d'autre chose auraient pu vous apprendre l'humilité ne vous a apparemment enseigné que des certitudes, ce en quoi vous n'êtes guère chrétien car il n'est pas de bonne foi qui doute d'elle même comme disait Pascal. Quant au surhomme nietzschéen, vous avouez, par votre détermination inébranlable que vous n'en avez pas compris grand chose. Il ne cherche pas à se hausser, même sur la pointe des pieds, au statut de Dieu (décidément vous semblez fâché avec les majuscules) puisque son hypothèse part du principe que Dieu est mort, définitivement mort.

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