Les éditions Le Retour aux sources doivent publier très prochainement Wall street et la révolution bolchévique, un ouvrage de l'historien et économiste britannique Antony Sutton qui révèle les liens étranges qui existaient entre certains révolutionnaires russes, bolchéviques et menchéviques, et les milieux financiers de Wall street Une étude du dessous des cartes qui n'explique pas tout mais qui éclaire au moins une partie du jeu...
Pourquoi Trotski, alias Braunstein, voyagea-t-il avec un passeport officiel américain lorsqu’il retourna en Russie en 1917 rejoindre Lénine pour la révolution ?
Pourquoi la mission américaine de la Croix-Rouge en Russie, en 1917, comportait-elle plus d’hommes d’affaires que de médecins ?
Au fil d’une enquête magistrale, qui se lit comme un roman d’espionnage, Antony Sutton établit des liens historiques tangibles entre capitalistes américains et communistes russes. Tirant ses informations de l’examen de dossiers du Département d’État, des archives personnelles de personnages clés de Wall Street, de biographies, d’articles de presse et de livres d’historiens classiques, Sutton nous révèle :
• Le rôle que jouèrent les dirigeants des banques du groupe Morgan dans l’acheminement illégal d’or bolchevique vers les États-Unis.
• Le détournement de la mission de la Croix-Rouge américaine en Russie par les puissants de Wall Street .
• L’intervention de Wall Street pour obtenir la remise en liberté de Léon Trotski, le révolutionnaire dont l’objectif était de renverser le gouvernement russe.
• Les accords passés par de grandes entreprises afin de capter l’énorme marché russe, quinze ans avant la reconnaissance officielle du gouvernement soviétique par les États-Unis.
• Le soutien au communisme, actif mais secret, par des hommes d’affaires de premier plan, lesquels se faisaient publiquement les champions de la libre entreprise.