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Trop, c'est trop ?...

Nous reproduisons ci-dessous un article de Michel Geoffroy, cueilli sur le site de Polémia et consacré au ras-le-bol des classes moyennes et populaires françaises...

 

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Trop, c'est trop : vers une révolte des Français de souche ?


1) Trop d’immigrés qui ne manifestent aucune volonté de « s’intégrer » et de devenir de vrais Français par la civilisation et la culture ; trop d’immigrés qui cultivent leurs particularismes d’une façon ostentatoire, et qui affirment de plus en plus leur religion – l’islam – dans l’espace public, au mépris de la laïcité et avec la lâche complicité des pouvoirs publics ; trop d’Africains qui se constituent en communautés.

2) Trop de culpabilisation et de repentance à l’encontre des seuls Européens et des seuls Français de sang et de souche ; trop de mépris de la nation française et de son histoire ; trop de parti pris en faveur de nombreux allogènes, dont il est interdit de critiquer le comportement même délictueux, sous peine de « racisme » ; trop de discrimination à l’encontre des Français de souche.

3) Trop d’insécurité pour les honnêtes gens, trop de bienveillance pour les criminels et délinquants récidivistes ; trop de délinquants d’origine immigrée ; trop de « zones de non-droit » ; trop de corruption dans la classe politique ; trop de police, trop de radars et trop de juges mais pas assez de sécurité et de moins en moins de liberté pour le citoyen.

4) Trop de politiquement correct ; trop de répression de la liberté de parole, trop de propagande et de travestissement de la réalité dans les médias ; trop de publicité cynique et agressive ; trop d’américanisation de la culture.

5) Trop de déni de démocratie ; trop de « minorités » bruyantes, trop de « communautés », trop « d’autorités morales », trop de lobbies qui prétendent imposer leurs préjugés et leurs seuls intérêts à la majorité des Français ; trop de mépris du peuple français de la part de l’oligarchie politico-médiatique ; trop de promesses non tenues par les politiques, qu’ils soient de gauche comme de droite.

6) Trop de violences et de dégradations à l’école ; trop de maîtres qui capitulent devant les élèves et devant leurs parents ; trop de laxisme éducatif et universitaire ; trop de diplômes qui ne valent plus rien sur le marché du travail.

7) Trop de chômage, trop de petits boulots, trop de contrats à durée déterminée, trop de délocalisations, trop de désindustrialisation ; trop d’inégalités sociales, trop de profits pour les uns, trop d’insécurité économique pour les autres ; trop de difficultés à se loger lorsqu’on est jeune ; trop d’impôts et de taxes pesant sur les classes moyennes et populaires.

8) Trop de « réformes » inutiles qui ne s’attaquent pas aux vraies questions qui préoccupent les Français ; trop de services publics « reformés » mais qui ne fonctionnent plus ; trop de fonctionnaires découragés ; trop de fermetures de services publics de proximité.

9) Trop d’inquiétudes sur l’avenir : trop de dépenses sociales que les actifs ne peuvent plus financer, trop de menaces sur les économies et les retraites ; trop de dettes publiques et privées.

10) Trop de diabolisation des Français qui respectent les lois, qui demandent que cesse cette situation qui les révolte, qui ne sont ni « racistes », ni « fascistes », ni « d’extrême droite » mais qui veulent enfin être entendus de la classe politique et voir leur opinion représentée dans les médias.

Michel Geoffroy
04/10/2011

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Commentaires

  • François Bayrou est le seul candidat capable 1/ de nous faire échapper à la fois à Sarközy et au programme socialiste 2/ de faire produire, instruire et construire, objectifs essentiels à notre pays.
    De nouveaux alliés, venant de la gauche comme de la droite, continuent de le rejoindre.
    Ecouter au moins son allocution de clôture de l’Université d’été du Modem sur le net,
    et au mieux, en plus, lire son récent ouvrage « 2012 état d’urgence ».

    François Bayrou est candidat pour la troisième fois à la fonction présidentielle. Il présente bien, a de bonnes manières, a été ministre de l’Education nationale, s’exprime toujours de façon claire et posée, rédige lui-même ses discours, et n’est jamais agité.

  • Voici quelque chose de très peu dit, ou pas du tout : dans le programme de Hollande, il y a deux sortes de projets : 1/ ceux auxquels le candidat tient et qu’il s’efforcerait de réaliser s’il était élu, et 2/ ceux qu’il n’a pas l’intention de réaliser pour la bonne raison soit qu’il les juge en fait sans intérêt, soit parce qu’il sait qu’ils ne sont pas réalisables pour une raison financière ou autre. On dira : « mais alors pourquoi cette deuxième catégorie figure-t-elle dans le programme ? » Pardi, pour séduire, pour enthousiasmer, pour faire rêver ceux qui ont besoin de rêver.
    Quand la bande de Sarkö dénonce l’impossibilité financière de certains projets de Hollande, il savent très bien en réalité que Hollande le sait aussi bien qu’eux.
    Maintenant, les gens qui n’aiment jamais qu’on leur dise : « vous n’aviez pas pensé à ça » diront : « c’est la même chose pour tous les programmes électoraux ». Plus ou moins, et parfois très peu. Il arrive qu’un programme sans démagogie puisse l’emporter. Bayrou a un programme dénué de démagogie.

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