" L’ami, le confident de Céline, remet les pendules à l’heure pour nous raconter ce que fut la réalité de la vie sous l’Occupation, les trahisons, les bassesses, l’héroïsme, le courage ou les mensonges qui nous firent tant de mal. Pierre Monnier nous décrit aussi avec brio les événements qui ont précédé le 10 mai 1940 : la trahison anglaise, le jeu des communistes, la lâcheté des dirigeants français…
Tout cela, non seulement il l’a vécu, mais il le raconte avec sa verve accrocheuse et il dévoile les rôles tenus par certains, leur double jeu, leurs compromissions. Après un tel livre, les prébendiers de la Résistance ne sortiront pas indemnes de soixante-dix années de mensonges et de falsifications de l’Histoire. Les pendules à l’heure : un livre à découvrir d’urgence pour faire taire les assassins de la mémoire.
Lire Pierre Monnier, c’est aussi entrer dans l’intimité d’un témoin de l’histoire qui fut l’ami ou le confident des grands noms du XXe siècle : Louis-Ferdinand Céline bien sûr, qu’il fut le premier à oser rééditer après-guerre, mais aussi Robert Brasillach, Thierry Maulnier, Kleber Haedens, Charles Maurras, Léon Daudet et bien d’autres.
Grâce à Pierre Monnier, un grand nombre de mensonges volent en éclats, des évidences s’imposent, et l’adversaire principal surgit au grand jour, comme le cloporte que l’on découvre en soulevant une pierre. Il rapporte ce qu’il a observé avec une claire objectivité, sans concessions et dans la langue la plus directe. Il porte sur les hommes et les faits le regard le plus pénétrant, le plus révélateur et donne ainsi une vision authentique de ces années de fer, de feu et de sang qu’il libère de tous les mensonges dont elle est grevée par ceux qui s’acharnent à mettre le peuple de France en « condition ».
Ce livre de l’honnêteté historique est, par voie de conséquence, le plus irritant pour les groupes de pression qui prétendent réduire notre mémoire à une perception limitative, réductrice et manichéenne.
Les Pendules à l’heure, c’est l’arme au service de chaque Français pour une intrépide libération de la mémoire et du jugement… "