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philippe de saint-robert

  • Végâneries !...

    Les éditions Via Romana viennent de publier Végâneries, un ouvrage du Club des Ronchons coordonné par Alain Paucard. Fondé en 1986 par ce dernier, le Club des Ronchons aura eu pour président d'honneur Jean Dutourd (1920-2011). Le règlement intérieur stipule que les réunions sont interdites « aux femmes, aux enfants, aux animaux et aux plantes vertes », ce dernier ajout à la demande de Jean Tulard. Le Club des Ronchons est fondamentalement opposé à l'idée totalitaire du Bonheur.

     

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    Au sommaire :

    Alain PAUCARD : Le féminisme ne suffit plus

    Jacques ABOUCAYA : Comment je suis devenu végan
    Jean BERTEAULT : Prescription de véganine
    Arnaud BORDES : Délivrance
    Michel BOUVIER : Le boeuf clandestin
    François CÉRÉSA : Robert le Végan
    Philippe DUMAS
    Jean DUTOURD (1958) : Cheval
    Alfred EIBEL : Végane : à l’arbordage
    Charles-Henri d’ELLOY : Parigot, tête de veau !
    Bertrand FOSSAT : El Extasio, sonnet végan
    Alain GERBER : [sans titre]
    Olivier GRIETTE : La morale, une et indivisible
    Pierre GUINGAMP : J’exagère ?
    Philippe LACOCHE : La grosse carpe végan qui pue la vase
    Bruno LAFOURCADE : La nouvelle arche
    Bernard LECONTE : Supervegan
    Bernard LE SAUX : Les enfants de William Kramps
    Boris MOISSARD : Le Cu Cul Clan
    Alain PAUCARD : Fake news
    David PERINI : Le général Vegan s’en va-t-en guerre !
    Jean-Jacques PÉRONI : Au nom du pâté, du figatelli et du saint-nectaire
    Xavier RAUFER : Végans, végétariens en peau de lapin (si j’ose dire…)
    Ivan RIOUFOL : Mangez un végan !
    Philippe de SAINT-ROBERT : Malthus, nous voilà !
    Olivier SARRADE-LOUCHEUR : Le protocole de Panurge
    Gérald SIBLEYRAS : Végan en pot
    TREZ
    Jean TULARD, de l’Institut : Napoléon végan ?
    & Pensées ronchons

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  • Bernanos l'antidote !...

    Le numéro 8 du mensuel L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut y trouver un dossier consacré à Bernanos, avec, notamment, des articles de Jérôme Besnard ("Le royaliste intégral") et de Philippe de Saint-Robert ("La vocation spirituelle de la France") et un entretien avec Sébastien Lapaque ("Brésil, terre promise"). Par ailleurs, on peut également y lire des entretiens avec Hubert Védrine ("Il faudrait neutraliser l'Ukraine") ou avec Julien Hervier et Maurizio Serra ("Drieu et D'Annunzio, deux dandies dans l'Europe en feu"), ainsi que les rubriques "L'époque", "Monde", "Reportages",  "Les essais" et "Culture"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • Montherlant ou l'indignation tragique...

    Les éditions Hermann viennent de publier un essai de Philippe de Saint-Robert intitulé Montherlant ou l'indignation tragique. Gaulliste indépendant, journaliste et essayiste, défenseur intransigeant de la langue française, Philippe de Saint-Robert a aussi bien connu Henry de Montherlant, auquel il a déjà consacré un ouvrage, Montherlant ou la relève du soir (Les Belles Lettres, 1992).

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    "Montherlant s'est donné la mort il y a 40 ans, en septembre 1972. On pourrait le présenter aujourd'hui comme un avant-gardiste des «indignés» de notre époque, lui qui écrivait, dès 1935, dans Service inutile : «On m'a reproché quelquefois de n'avoir pas beaucoup d'amour, mais j'ai de l'indignation, qui est une forme d'amour».
    Philippe de Saint Robert revisite tant le romancier d'avant-guerre que l'auteur dramatique de la seconde partie de sa vie. Trois sources d'inspiration, venant de sa jeunesse, irriguent cette oeuvre : le monde romain et ses cruautés, comme miroir de notre temps, le christianisme dont le fatum l'obsède sans qu'il y adhère autrement que par admiration, et enfin un patriotisme amer à la Caton, forgé au feu de la Grande Guerre et désolé par le pacifisme et la lâcheté qui s'ensuivirent et aboutirent à la défaite que l'on sait. Montherlant s'est toujours défendu d'avoir donné un théâtre de la grandeur ; ce qu'il recherche, c'est ce qu'il y a de grandeur en des êtres faibles. Lui qui se défend d'être psychologue, poursuit une quête constante de la nature et de l'âme humaines.
    L'exceptionnelle qualité de son style n'explique pas l'apparent éloignement dont il souffre aujourd'hui. Les écrivains ne se démodent que dans l'esprit de ceux qui ne les ont pas lus, ou qui ne les ont pas compris. Montherlant demeure, par sa clairvoyance, plus que tout autre, un écrivain pour notre temps."

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