Après un ovrage consacré à la défense de la tradition viticole française, Alexandre Rougé, collaborateur régulier du Choc du Mois, publie à la rentrée, aux éditions Res Publica, un essai intitulé La fin du monde moderne.
"Cet essai dénonce les excès de la postmodernité, définie par la perte du sacré et le recul incessant du respect et de la dignité, avec pour conséquence le totalitarisme, le nihilisme et la déshumanisation. Il dénonce l'homme moderne comme le moins humain, esclave d'un système capitaliste qui exploite et rentabilise tous les aspects du vivant, provoquant névroses et haines. "