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  • Les intellectuels, le peuple et le ballon rond...

     "[...] Ce qui déplaît visiblement à certains adversaires du sport est qu'il soit éminemment populaire -  que le peuple, ainsi qu'il l'a toujours fait, s'enthousiasme pour les compétitions sportives (d'autant plus qu'à notre époque, il n'a plus guère d'occasion de s'enthousiasmer pour autre chose). Or le prestige du champion est indissociable de la fierté du groupe auquel il appartient et qui se reconnaît en lui : la compétition sportive implique un monde commun et des valeurs partagées.[...]"  Robert de Herte, Règne des records ou gloire des champions ?, in Eléments n°125, été 2007 

     

    Dans Les intellectuels, le peuple et le ballon rond, que les éditions Climats rééditent sept ans après sa première sortie, Jean-Claude Michéa, auteur de L'empire du moindre mal et de Impasse Adam Smith, défend le football en tant que grand sport populaire et dénonce sa marchandisation. A lire avant la déferlante télévisuelle de la Coupe du monde !... 

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    "Ce texte est d’abord prétexte à rendre hommage à Football, ombre et lumière, un grand livre de l’écrivain uruguayen Eduardo Galeano, paru aux éditions Climats en 1998. Mais Jean-Claude Michéa ne se contente pas ici de signaler l’intérêt philosophique indéniable de cet ouvrage, ni d’écrire de très belles pages sur ces footballeurs qui défièrent la gravité et donnèrent leurs noms à des gestes impensables. En dévoilant les mécanismes du mépris entretenu par une bonne partie des classes éduquées à l’encontre des sports populaires en général, et du football en particulier, il approfondit sa critique de l’Économisme, et de cette “ minorité civilisée ” chargée de mettre en pratique ses diktats. Le texte de Jean-Claude Michéa, introduit par une note de présentation de l’éditeur, sera accompagné de quelques nouvelles d’Eduardo Galeano, tirées de son livre, Football, ombre et lumière. Beckenbauer et Baggio y côtoient en bonne intelligence Camus et Pasolini. "

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