Nous reproduisons ci-dessous un texte court et incisif de Xavier Eman qui nous rappelle, sur son site A moy que chault !, qui sont les vrais salauds...
Les salauds
Au nom de la « tolérance », du « vivre ensemble » et de l'utopie mondialiste du « village global » :
Ils ont nié les maux liés à la submersion migratoire et la souffrance des autochtones face à celle-ci, ils récoltent le communautarisme social des riches et les ratonnades des pauvres acculés par la peur et le désespoir...
Ils ont insulté les patriotes et les nationalistes politiques, ils récoltent des générations de pleutres frustrés, dévorés d'aigreur et de ressentiment, prêts à la haine la plus aveugle à la première occasion « légitimée » et sans risque...
Ils ont nié les peuples, ils récoltent le sous-tribalisme des quartiers, des cités, des bandes et des ghettos...
Ils ont nié le mot race, ils récoltent les prémisses de la guerre ethnique...
Ils ont nié l'attachement à la terre, à l'histoire, à la culture, ils récoltent les exilés fiscaux et les migrants économiques...
Ils ont nié a transcendance, ils récoltent les drogués de la consommation, les toxicos de l'avoir, les shootés au pognon...
Ils ont nié la transmission et la recherche de la vérité historique, ils récoltent des troupeaux d'incultes et d'illettrés, de crétins diplômés, d'ignares prétentieux exposés à n'importe quelle manipulation plus ou moins habile (aujourd'hui la leur, mais demain?)...
Ils ont nié l'intimité et la sacralité d'éros, ils récoltent des hordes de clébards qui ne jouissent que sur écran et baisent moins que leurs grand-parents...
Ils ont nié la différence et la complémentarité des sexes, ils récoltent des armadas de célibataires névrosés, de familles décomposées et d'ados « Drag Queen » défilant une plume dans le cul sous les applaudissements de vieilles salopes libidineuses...
Ils ont nié l'inégalité des talents et des mérites, ils récoltent le népotisme bourgeois, le copinage et l'endogamie des privilégiés..
Ce sont des destructeurs, Des semeurs de haine. Des faiseurs de guerres.
Xavier Eman (A moy que chault !, 27 août 2018)