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julien dir

  • Pillage organisé et tiers-mondisation...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, et consacré à la faillite d'un état gangrené par la médiocrité et la corruption, qui trahit les citoyens français...

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    Pillage organisé et tiers-mondisation : où disparaît l’argent que nous prend tous les jours la République française ?

    La coupe est pleine. L’annonce du déremboursement partiel des médicaments et l’augmentation du reste à charge en médecine sonne comme une gifle à un peuple déjà pressuré par un système fiscal hors de contrôle. Où va l’argent ? Où passent les milliards d’euros siphonnés chaque année par un État obèse et dysfonctionnel ? Taxes, impôts, charges sociales, prélèvements divers : les Français se tuent à la tâche pour alimenter un monstre bureaucratique qui ne remplit même plus ses missions essentielles. Ce système, gangrené par la médiocrité et la corruption, trahit ses citoyens chaque jour davantage.

    Une machine fiscale vorace, mais inefficace

    Les Français, champions du monde des prélèvements obligatoires, sont étouffés par un matraquage fiscal incessant. Chaque euro gagné par un salarié, un entrepreneur ou un artisan est amputé d’une part scandaleuse pour alimenter un État qui, en retour, offre des services publics de plus en plus dégradés. Hôpitaux en ruine, urgences saturées ou « régulées », maternités fermées : c’est un paysage de tiers-mondisation que le gouvernement impose à un pays autrefois leader en matière de santé et d’éducation. Et pendant ce temps, on assiste, impuissants, à l’effondrement de l’école, à la montée en flèche de l’insécurité et à l’explosion des inégalités territoriales.

    Où est passé l’argent collecté sur le dos des travailleurs et des entrepreneurs ? L’État dilapide ces fonds dans des politiques aussi inutiles que dispendieuses, refusant d’assumer ses responsabilités dans la gestion des deniers publics. Les « responsables » politiques de ce fiasco ne sont jamais inquiétés. Pourquoi ceux qui ont contracté des dettes abyssales depuis des décennies ne sont-ils pas en prison pour haute trahison ? Ces énarques de salon, protégés par leur immunité et leur arrogance bureaucratique, continueront d’échapper à toute poursuite pendant que la population paye leurs erreurs au prix fort.

    Une République du « pire » : entre libéralisme sauvage et soviétisation bureaucratique

    La République française offre désormais à ses citoyens le pire des deux mondes : un libéralisme sauvage pour les plus faibles et une bureaucratie soviétique pour tous les autres. Les travailleurs et les classes moyennes doivent composer avec des services publics qui s’effondrent, tandis que l’élite politico-administrative reste grassement rémunérée pour son incompétence. Derrière chaque fermeture de service hospitalier, chaque régulation des urgences, chaque école qui se délite, se cache une armée de technocrates bien à l’abri dans leurs bureaux, obsédés par leurs tableaux Excel et leurs réformes sans vision.

    Le plus révoltant ? Personne n’est jamais responsable. Jamais coupable. Le système entier repose sur une dilution de l’autorité et une déresponsabilisation systémique. Comme en Union Soviétique, on ne trouve jamais de visage derrière l’échec, seulement des excuses bureaucratiques et des rapports interminables.

    Les autorités françaises trahissent leur mission première : protéger leur peuple. Elles s’effacent devant des priorités idéologiques absurdes, tout en abdiquant leurs devoirs régaliens. Où sont les investissements dans nos hôpitaux ? Pourquoi les maternités ferment-elles alors que l’immigration continue d’être financée sans limite ? Pourquoi un système déjà au bord de l’implosion se permet-il de verser des milliards pour accueillir des populations supplémentaires, sans demander leur avis aux Français ?

    La tiers-mondisation de la France s’accélère sous nos yeux. Nos enfants héritent d’un avenir sinistre : une école au rabais, des conditions de vie de plus en plus précaires, et, pour seule consolation, des antidépresseurs ou des stupéfiants pour fuir une réalité insoutenable. Le tout, dans une société où règnent l’insécurité et l’éclatement communautaire. Il n’est plus question de solidarité nationale : c’est chacun pour soi dans un système qui divise au lieu de fédérer.

    Le réveil ou l’effondrement

    Face à cette situation, deux voies s’ouvrent à nous : l’acceptation de la décadence ou la révolte. La population ne tolérera pas éternellement d’être méprisée et pillée. Si l’État refuse de remplir ses obligations fondamentales – sécurité, santé, éducation –, il est inévitable que les citoyens prennent leur destin en main. La fracture entre le peuple et ses élites devient un gouffre. La révolte gronde.

    Pour éviter un effondrement total, il faut agir immédiatement. Nettoyer les écuries d’Augias. Réformer en profondeur un système qui n’a plus de sens. Réduire drastiquement les postes parasites et les bureaucraties inutiles. Mettre fin aux subventions folles à l’immigration et aux politiques inefficaces. Favoriser les entrepreneurs, les travailleurs, et cesser de récompenser les comportements de rente. Cela signifie une révolution économique, sanitaire, sociale et sécuritaire. Maintenant.

    Nous devons reconstruire un État décentralisé, au service de ses citoyens, avec une gestion rigoureuse des fonds publics et des priorités claires. Il est temps de réinvestir dans la santé, d’assurer une éducation de qualité et de rétablir la sécurité sur tout le territoire. Cela implique également de restaurer un projet commun pour la nation, une vision claire et fédératrice, loin des divisions communautaristes imposées par un multiculturalisme hors de contrôle.

    La Bretagne, la France méritent mieux que ce spectacle lamentable. Mais elle ne s’en sortira que si elle retrouve le courage de faire des choix. Les Français doivent reprendre le contrôle de leur destin. Et cela commence par une remise à plat totale de ce système à bout de souffle. Plus qu’un appel à la réforme, c’est un cri de survie. Le changement radical, la rupture, ou l’abîme. Choisissons vite.

    Julien Dir (Breizh-Info, 20 novembre 2024)

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  • La dédiabolisation, un piège à c...?

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, qui, à l'occasion de la victoire de Donald Trump, obtenue malgré l'hostilité de la quasi-totalité du système politico-médiatique, évoque la faute grave que constitue la stratégie de dédiabolisation du RN...

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    Victoire de Trump aux USA : la preuve que la dédiabolisation est un piège à c…

    La réélection fracassante de Donald Trump à la présidence américaine, face à une gauche agonisante et empêtrée dans ses contradictions, sonne comme un avertissement tonitruant. Le peuple américain, fatigué par des décennies de soumission aux dogmes du gauchisme, du wokisme, et de l’immigration incontrôlée, a finalement pris position, préférant un dirigeant droit dans ses bottes, imperméable aux injonctions du politiquement correct et aux sourires mielleux du système. Contrairement à Marine Le Pen et au Rassemblement National, qui persistent à s’aplatir devant les médias bien-pensants et à caresser les élites dans le sens du poil, Trump, lui, n’a fait aucune concession. Et cette posture de confrontation, loin de lui nuire, l’a mené à une victoire historique.

    L’illusion de la dédiabolisation

    Qu’est-ce que le Rassemblement National n’a pas encore tenté pour « adoucir » son image ? La dédiabolisation, ce concept creux qui n’est qu’un piège tendu par les médias et les élites progressistes, a réduit le RN à une pâle imitation de ce qu’il était. Convaincu que se conformer aux codes de la bienséance politique lui offrirait la clef du pouvoir, le RN s’est trahi, désarmant son propre électorat, brouillant son message, édulcorant son discours. Ce qui devait être une stratégie de conquête s’est révélé un aveu de faiblesse. Trump, en revanche, a pris le chemin inverse, choisissant l’affrontement, la confrontation frontale. Loin de chercher l’approbation du système, il s’est lancé dans une guerre ouverte contre le gauchisme et le wokisme, refusant toute compromission.

    Trump et Musk : la guerre contre le système

    Trump a compris que le monde est en guerre idéologique, une guerre totale menée contre les peuples par une élite cosmopolite et ses alliés gauchistes. Dans cette lutte, il a trouvé un allié puissant en la personne d’Elon Musk, visionnaire libre-penseur, qui, lui aussi, a osé s’affranchir des dictats du progressisme et du politiquement correct. Ensemble, ils ont entrepris de démanteler les piliers du système gauchiste : Musk avec ses positions radicales en faveur de la liberté d’expression, Trump avec sa promesse de démanteler les politiques d’immigration qui menacent les fondements mêmes de la civilisation occidentale. Cette alliance électrise, et elle inquiète aussi. Elle effraie les chiens de garde du système, car elle met en lumière leur impuissance face à un homme qui n’a pas peur de dire ce qu’il pense et de faire ce qu’il dit.

    Gauche et wokisme : les armes de la destruction civilisationnelle

    Le gauchisme et le wokisme, masques d’un progressisme destructeur, sont des outils de subversion, une arme idéologique massive dont l’objectif est clair : saper les bases de la nation, fragmenter l’identité, éradiquer l’héritage. En Amérique, le peuple l’a compris, préférant se tourner vers un leader qui incarne la résistance et la fermeté. Trump ne recule pas devant les accusations, les invectives, et les tentatives de diabolisation. Il ne cherche pas à plaire, il vise à dominer. C’est cette approche qui a galvanisé les électeurs, fatigués de voir leur pays devenir le laboratoire des folies progressistes, envahi par une immigration sans frein, où la morale traditionnelle est bafouée au nom d’une tolérance perverse.

    RN : un contresens historique

    Marine Le Pen, Jordan Bardella et le RN devraient tirer une leçon de cette élection. Le « trumpisme » a triomphé non pas parce qu’il s’est couché devant le système, mais parce qu’il a attaqué ses fondations sans peur ni honte. La dédiabolisation est une soumission masquée, une erreur de calcul qui, loin de séduire, aliène les vrais patriotes. À force de vouloir être aimé, on finit par se renier. Mais le RN persiste dans ce contresens historique, convaincu que des courbettes et des concessions lui ouvriront les portes du pouvoir. C’est une impasse. Trump, lui, montre la voie : rester droit, frapper fort, et ne jamais transiger.

    La victoire de Trump nous rappelle qu’il est possible de vaincre sans se travestir, sans édulcorer son message. Le RN doit cesser de chercher l’aval des médias et des élites, et redevenir une opposition implacable aux dérives du gauchisme. Trump et Musk, en s’attaquant frontalement aux fondements mêmes de ce système, montrent qu’il n’est pas nécessaire de faire des compromis pour s’imposer. Ce duo atypique a réussi en affirmant haut et fort leurs convictions, en rejetant le politiquement correct et en combattant chaque tentative de censure. Leur approche n’a pas divisé leur base : elle l’a renforcée.

    Le RN devrait s’inspirer de cette leçon : il faut pourfendre le gauchisme sans relâche, dénoncer l’immigration massive comme une menace existentielle, défendre sans concession l’identité nationale. Les peuples ne veulent pas des demi-mesures ni des compromis ; ils aspirent à un leader qui prenne des positions claires et radicales, sans peur du jugement des élites. Le moment est venu de trancher avec le statu quo et de renouer avec une ligne résolument anti-système, un nationalisme sans concession, un discours sans filtre.

    La victoire est à ceux qui osent

    L’élection de Trump prouve que la victoire appartient à ceux qui osent : oser défier les tabous, oser briser le mur de la censure médiatique, oser incarner une alternative sans compromis. Trump a fait le choix de ne pas plaire, et c’est précisément cette audace qui l’a rendu irrésistible aux yeux des électeurs fatigués des trahisons et des promesses non tenues. Si le RN persiste dans la dédiabolisation et les courbettes, il continuera à tourner en rond, incapable de canaliser la colère légitime de ceux qui voient leur pays sombrer.

    À l’heure où la France est minée par les mêmes maux que les États-Unis — le wokisme, l’immigration incontrôlée, la perte d’identité —, il est temps de cesser les demi-mesures et de passer à l’offensive. Le RN, pour s’imposer, devra rompre avec la tentation du consensus, reprendre son rôle de pourfendeur du gauchisme, et surtout, cesser de croire aux mirages de la dédiabolisation. L’Histoire nous enseigne que seuls les plus audacieux, les plus intransigeants, finissent par triompher

    Julien Dir (Breizh-info, 6 novembre 2024)

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  • La dissolution du Conseil constitutionnel, chemin vers la liberté retrouvée des Français ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info, qui revient sur le rôle néfaste du Conseil constitutionnel...

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    La dissolution du Conseil constitutionnel, chemin vers la liberté retrouvée des Français ?

    Si l’on devait nommer un organe responsable de l’entrave systématique aux lois votées par les représentants du peuple, il y a peu de doute que le Conseil constitutionnel viendrait en tête. Cet aréopage de non-élus, occupant leurs fauteuils dans la plus grande opacité, joue aujourd’hui un rôle bien au-delà de son mandat d’origine : il n’est plus le « garant des lois », mais le verrou ultime d’une volonté populaire étouffée. Dissoudre le Conseil constitutionnel serait une bouffée d’air, un retour à une démocratie réelle, directe, dans laquelle la volonté des Français prime enfin.

    En France, contrairement à ce que certains aimeraient nous faire croire, ce ne sont pas les citoyens qui sont réellement aux commandes. Ce pouvoir est confisqué par un groupe de sages, élus par personne, installés pour juger de la conformité des lois selon leurs interprétations, leurs préférences, et souvent, leurs biais politiques. Aujourd’hui, chaque loi, chaque réforme d’envergure est susceptible de passer sous les fourches caudines de cet organe suprême, comme un ultime filtre de légitimité. Et pourtant, qui les a nommés, ces sages ? Certainement pas le peuple. Le Conseil constitutionnel est composé de personnalités issues de l’élite, d’anciens politiciens et d’experts juridiques proches du pouvoir, souvent nommés par des présidents successifs. C’est un comité de vieux mandarins, déconnecté des réalités du pays, qui n’hésite pas à censurer ce que les élus du peuple adoptent.

    L’une des conséquences les plus flagrantes de cette mainmise institutionnelle est la question de l’immigration. À chaque tentative de durcissement législatif, le Conseil constitutionnel intervient, rappelant à l’ordre les parlementaires avec un vigoureux coup de règle sur les doigts. Sous couvert de « droits fondamentaux » et de « respect des principes républicains », le Conseil empêche les réformes migratoires pourtant réclamées par une majorité de Français. Ce dogmatisme institutionnalisé a des effets dévastateurs sur notre société, limitant notre capacité à agir face aux défis contemporains. La dissolution du Conseil constitutionnel permettrait d’agir enfin sans cette barrière idéologique qui nous impose un cadre devenu obsolète.

    Mais au-delà de l’immigration, c’est la liberté d’expression qui est en jeu. Le Conseil constitutionnel est aujourd’hui l’un des bastions de la censure, justifiant des restrictions toujours plus serrées au nom du « respect des droits ». Au lieu de protéger la liberté d’expression, il la met sous tutelle, décidant, au cas par cas, de ce qui est acceptable ou non. Dissoudre cet organe, c’est ouvrir une voie nouvelle pour garantir aux Français une véritable liberté d’expression, sans entraves institutionnelles injustifiées.

    En plus de libérer la France de ces entraves politiques et juridiques, la dissolution du Conseil constitutionnel permettrait de réaliser d’importantes économies. Les salaires, avantages et frais d’entretien de ces sages sont loin d’être négligeables. Ce sont des sommes considérables que le contribuable finance, souvent à contre-cœur, pour soutenir un groupe d’individus qui, au final, travaille à limiter la voix même de ceux qui les payent. Imaginez tout ce que la France pourrait faire avec les ressources actuellement englouties dans cette institution parasitaire.

    Et pourquoi ne pas envisager, dans la foulée, une révision totale de notre Constitution ? La dissolution du Conseil constitutionnel pourrait être l’opportunité de convoquer une Assemblée constituante pour repenser le contrat social français. Ce serait l’occasion de remettre le citoyen au centre du pouvoir, de faire évoluer notre République vers une démocratie directe et réellement représentative des aspirations de la nation.

    Le Conseil constitutionnel n’a aucune légitimité pour entraver le choix des Français. Ses membres, siégeant dans le confort de leurs palais, semblent oublier que le peuple est souverain. Dissoudre le Conseil constitutionnel, c’est faire un pas vers une démocratie décentralisée, directe et vivante. C’est libérer la France des carcans technocratiques et idéologiques qui la brident, pour enfin laisser s’exprimer librement la volonté populaire. Il est temps pour la France de se libérer de ses chaînes institutionnelles et de reprendre en main son destin.

    Julien Dir (Breizh-Info, 18 octobre 2024)

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  • Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, qui évoque la question de l'égalitarisme...

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    Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice

    Il est temps de mettre un terme au mythe qui gangrène nos sociétés : celui de l’égalitarisme. Depuis des décennies, la gauche, aidée par les élites globalistes, nous vend l’idée absurde selon laquelle tous les hommes seraient égaux, que les différences biologiques, culturelles et historiques entre les individus n’existeraient pas, et que nous devrions tous aspirer à une société où règne une égalité parfaite. Cette idéologie gauchiste n’est pas seulement une illusion, elle est une machine de destruction massive qui sape les fondements mêmes de notre civilisation.

    L’égalité homme-femme : un mensonge qui déstructure nos sociétés

    Parmi les plus grandes aberrations de ce mythe égalitariste, figure l’idée selon laquelle hommes et femmes seraient identiques en droits, en capacités et en rôles sociaux. Ce mensonge, devenu mantra féministe, nous a menés à la déstructuration complète des rôles traditionnels, fondement de nos sociétés depuis des siècles.

    Depuis la nuit des temps, l’humanité a prospéré grâce à la complémentarité des sexes. Ce n’est pas en niant la réalité biologique que nous améliorerons notre société. Les hommes et les femmes sont différents. Ils sont complémentaires. Le rôle protecteur et bâtisseur des hommes et celui de nourricière et d’éducatrice des femmes ont été les piliers sur lesquels se sont construits les plus grandes civilisations. Mais aujourd’hui, en prônant une égalité absolue et absurde, nous avons déraciné ces rôles. Résultat : désordre familial, délitement de l’autorité et effondrement des structures sociales. Cette négation de la complémentarité des sexes ne mène qu’à la confusion et à la décadence.

    La vérité est simple : hommes et femmes ne sont pas égaux. Pas parce qu’une catégorie est supérieure à l’autre, mais parce qu’ils ont des rôles naturels différents qui, ensemble, garantissent l’équilibre et la prospérité de la société. Vouloir gommer ces différences est une entreprise suicidaire.

    L’éducation : un nivellement par le bas au nom de l’égalité

    L’égalitarisme a également frappé de plein fouet l’éducation, ce qui entraîne une tiers-mondisation généralisée de nos sociétés. Au lieu de promouvoir l’excellence, de pousser les individus vers le haut, on nivelle par le bas. Le système éducatif, autrefois orienté vers l’excellence et le mérite, a été transformé en un terrain où l’on favorise les moins bons au détriment des plus capables. Pourquoi ? Pour que tout le monde soit « égal ». Le résultat est sans appel : un effondrement du niveau général, un rejet des exigences académiques et une production de citoyens ignorants et inaptes à affronter les défis de la modernité.

    Les réformes éducatives successives, dictées par une idéologie égalitariste, n’ont eu pour effet que de détruire la transmission du savoir. Ce qui était autrefois une source de fierté et d’accomplissement personnel, la réussite scolaire, est aujourd’hui dénigré sous prétexte de « lutte contre les inégalités ». Il n’y a pourtant rien de plus naturel que l’inégalité dans l’apprentissage : tous les enfants n’ont pas les mêmes aptitudes, et ce n’est pas un crime. Vouloir ignorer cette vérité conduit inexorablement à l’échec collectif.

    L’immigration et l’assimilation : un autre échec de l’égalitarisme

    Le mythe de l’égalitarisme va encore plus loin en tentant d’assimiler l’idée que tous les peuples seraient également aptes à s’intégrer de la même manière au sein des nations européennes. Il faut le dire sans détour : tous les peuples ne sont pas assimilables de la même manière. L’idée que l’on pourrait créer une société homogène à partir de cultures fondamentalement différentes est une chimère dangereuse.

    L’Europe, bâtie sur des siècles d’histoire, de tradition et de valeurs, est confrontée à une immigration de masse qui, loin de renforcer la cohésion sociale, la fracture de plus en plus. Les faits sont là : un Africain, un Asiatique, un Européen ne partagent pas les mêmes codes culturels, les mêmes visions du monde, les mêmes comportements sociaux. Pourquoi s’acharner à vouloir fondre ces différences dans un même moule alors que les conséquences de cette folie égalitariste se font sentir chaque jour : montée de l’insécurité, communautarismes, tensions ethniques.

    Là encore, le rêve égalitariste échoue à affronter la réalité. Une société forte n’est pas celle qui cherche à tout prix à niveler les différences, mais celle qui valorise ce qui la rend unique, et qui comprend que l’assimilation de certaines populations est non seulement difficile, mais parfois impossible.

    L’inégalité : moteur de la réussite

    En vérité, l’inégalité est non seulement naturelle, mais bénéfique. Ce sont les différences entre les individus qui ont permis l’essor de notre civilisation. L’inégalité pousse chacun à se surpasser, à atteindre l’excellence. C’est grâce à elle que nous avons produit des esprits brillants, des inventeurs, des leaders, des bâtisseurs. L’égalitarisme, à l’inverse, tue l’ambition, éteint le génie, et entraîne une homogénéisation vers la médiocrité.

    Ce n’est qu’en réhabilitant la notion de mérite, de hiérarchie et de responsabilité individuelle que nous pourrons redresser notre civilisation, plongée dans un déclin accéléré par cette utopie gauchiste de l’égalitarisme.

    Il est temps de mettre un terme à cette dangereuse illusion. L’égalitarisme n’est pas un idéal à atteindre, mais une idéologie destructrice qui mène nos sociétés à la ruine. Hommes et femmes ne sont pas égaux, mais complémentaires. Tous les individus ne sont pas faits pour les mêmes choses, et tous les peuples ne s’assimilent pas de la même manière. Reconnaître ces vérités, aussi impopulaires soient-elles, est la première étape vers la reconstruction de notre civilisation.

    Julien Dir (Breizh-Info, 2 octobre 2024)

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  • La fin de l’illusion de l’État de droit : le contrat social est rompu en République française...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et qui évoque la faillite de l’État de droit...

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    La fin de l’illusion de l’État de droit : le contrat social est rompu en République française

    Depuis des décennies, les élites politiques françaises ne cessent de brandir le terme « État de droit » comme une bannière sacrée. Ce concept, qui serait l’incarnation ultime de la justice et de la sécurité, nous est vendu comme le fondement de la République. Pourtant, derrière ce fantasme d’un État omnipotent et bienveillant, se cache une réalité tout autre : celle d’un contrat social rompu, d’un peuple trahi et d’une nation en déliquescence.

    Un État central pour protéger ses citoyens, en théorie…

    Historiquement, l’État centralisé s’est imposé en France, souvent de force, avec la promesse de protéger ses citoyens. En échange de cette soumission à une autorité centrale et de l’acceptation (parfois contrainte) de rendre ses armes à la République, les Français devaient obtenir trois choses essentielles : la sécurité, la santé et la prospérité. Ce contrat implicite, inscrit dans la tradition régalienne, a longtemps permis de justifier l’autorité de l’État sur ses citoyens. La sécurité des personnes et des biens, la protection contre les menaces extérieures et intérieures, mais aussi l’accès à des soins de qualité et à une éducation digne de ce nom constituaient le socle de cette entente.

    Or, que constate-t-on aujourd’hui ? La réalité de 2024 est à l’opposé de ces promesses. L’immigration incontrôlée, que l’État semble incapable, voire réticent, de gérer, fait peser sur la population une insécurité croissante. On en voit les conséquences tous les jours. Les Français, pourtant habitués à la douceur d’un modèle social protecteur, découvrent à présent que se soigner devient un parcours du combattant. Enfin, loin de la prospérité tant vantée, la pauvreté ne cesse de gagner du terrain, plongeant des millions de citoyens dans une précarité inquiétante.

    La sécurité : une promesse non tenue

    Première et plus fondamentale mission de l’État : assurer la sécurité de ses citoyens. Or, force est de constater que cet engagement est aujourd’hui un échec patent. L’explosion de la violence, en grande partie liée à une immigration massive et incontrôlée, est désormais le quotidien de nombreux Français. Les agressions, les meurtres, les actes terroristes ne sont plus des exceptions, mais des réalités que l’État de droit prétend combattre, sans jamais y parvenir. Les zones de non-droit, véritables enclaves étrangères sur notre propre sol, prolifèrent. Pendant ce temps, le citoyen français est désarmé, moralement comme légalement, incapable de se défendre, forcé de compter sur un État qui ne remplit plus son rôle.

    En vérité, les citoyens ont été dépossédés de leur droit naturel à se défendre. Pourtant, face à la démission de l’État, ne devraient-ils pas reprendre ce droit ? Quand l’autorité légitime faillit à protéger les siens, ne serait-il pas juste que les Français reprennent en main leur propre sécurité, rétablissant ainsi l’équilibre rompu par l’incapacité étatique ?

    Santé et prospérité : un modèle en déclin

    Le système de santé français, autrefois fleuron de la République, est aujourd’hui en ruine. La faute à une gestion déplorable notamment en matière de formation et de recrutement, à une surcharge due à une immigration massive, et à une politique d’austérité déguisée qui étrangle les services publics. Les citoyens, ceux qui travaillent et paient des impôts, peinent à obtenir des soins dignes de ce nom. Pendant ce temps, l’État de droit consacre des sommes colossales à des populations auxquelles il n’a jamais été demandé par le peuple souverain de venir s’installer ici.

    Quant à la prospérité, elle est devenue une chimère pour de nombreux Français. Les classes moyennes, pilier de la société, sont écrasées par une pression fiscale asphyxiante et voient leur pouvoir d’achat fondre comme neige au soleil. Les emplois se précarisent, les salaires stagnent, et la colère monte. Loin d’assurer la prospérité de son peuple, l’État français le mène droit vers une paupérisation générale.

    L’État éducateur : une machine à fabriquer des “soldats républicains”

    Le système éducatif, autrefois garant de l’ascension sociale et de la transmission des valeurs, est aujourd’hui un instrument d’endoctrinement républicain. Dès le plus jeune âge, les enfants sont façonnés pour devenir de parfaits petits soldats du progressisme : « valeurs républicaines », multiculturalisme imposé, remise en cause systématique de notre histoire et de nos racines. Tout cela sous prétexte de former des citoyens égaux, ouverts, tolérants, et, bien sûr, désarmés intellectuellement face aux réalités du monde.

    Les Français n’ont jamais été consultés sur ces bouleversements, que ce soit sur l’immigration de masse ou sur les réformes éducatives. Pourtant, on leur impose un modèle de société qui nie leur identité, leur histoire, et leurs aspirations légitimes à vivre en paix dans un environnement sûr et prospère. Ce même État de droit, si fier de ses principes égalitaires, ne fait qu’accentuer le fossé entre une élite protégée et un peuple en souffrance.

    Le contrat social est rompu

    Dans une telle situation, il est légitime de se poser une question : si l’État ne protège plus ses citoyens, pourquoi ces derniers continueraient-ils à lui obéir ? Le contrat social est fondé sur une réciprocité : protection contre obéissance. Or, aujourd’hui, l’État n’offre plus la protection promise, mais impose toujours plus de contraintes, de taxes, de lois liberticides. Cet État, qui prétend défendre un « État de droit », n’a plus aucune légitimité populaire.

    Il est temps de rompre avec cette illusion. Les Français, abandonnés par leur propre gouvernement, ont non seulement le droit mais aussi le devoir de reprendre en main leur destin. Cela implique de se réapproprier leurs libertés, leur sécurité, et leur identité. Le véritable État de droit est celui qui repose sur la légitimité populaire, pas sur des élites déconnectées et des dogmes idéologiques.

    Julien Dir

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  • Les snipers de la semaine... (279)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Figaro Vox, l'avocat Philippe Fontana dézingue l'état et ses défaillances dans l'affaire du viol et du meurtre de la jeune Philippine, par un criminel marocain sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF)...

    « Derrière le meurtre de Philippine, les multiples échecs de notre administration »

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    - sur Breizh-Info, Julien Dir flingue le néo-féminisme...

    Le féminisme moderne : simple justice ou gangrène de notre société ?

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