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denis tillinac

  • Henry de Montherlant, professeur d'énergie...

    Le trente-deuxième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente, avec un dossier central consacré à Henry de Montherlant...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Nouveauté

    Coups de cœur

    Eric Faye

    Jean-Pierre Montal

    Gérald Sibleyras

    Portrait

    Henry de Montherlant

    Entrevue

    Michel Bernard, prix Vialatte 2020

    Dossiers

    Pour un théâtre en liberté

    Polar

    Actualité

    Domaine étranger

    Clio-panorama

    Journal

    Jacques Lemarchand

    Essai

    Alain de Benoist

    Réédition

    Pierre Drieu la Rochelle

    Réflexion

    Eugenio Corti - Joseph Mallègue

    In Memoriam

    Jean Dutourd

    Denis Tillinac

    Bande dessinée

    En prose

    Nouvelle

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  • Steve Bannon contre-attaque dans l'Incorrect...

    Le numéro 21 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur un dossier consacré à la place de l'église en France, et des entretiens avec Steve Bannon et Paul Gottfried, ainsi que les rubriques habituelles "L'époque", "Politique", "Reportages", "Monde" "Essais" et "Culture"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • Jacques Perret, pour le trône et l'autel...

    Le dix-huitième numéro de la revue Livr'arbitres est en vente et comporte un dossier consacré à Jacques Perret

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Actualité

    Actualité de la nouvelle, par Jacques Aboucaya

    Portrait

    Jacques Perret : avec des textes de Francis Bergeron, Laurent Schang, Jean-Baptiste Chaumeil, François Bousquet, François Kasbi, Jean-Michel Barrault, Jérôme Besnard, Marc Vidal, Olivier Sers et Stéphanie-Lucie Matherne...

    Coup de coeur

    Le Mal-pensant, par Christian Dedet

    Récit de voyage

    L'Orient à portée de livre, par Xavier Eman

    Polar

          Un polar proustien, par Bernard Leconte

    Réédition

    Là-bas, à l'au-delà, si près... , par Sigisbert Clément

    Correspondance

          Le style c'est l'homme, par Maxime Valérien

    Correspondance

           Correspondance Chardonne-Morand, par Didier Dantal

    Entretiens

           Mesure de Drieu, entretien avec Frédéric Saenen

    Entretiens

           Tillinac en question, entretien avec Denis Tillinac

    In memoriam

    Roger Vailland, par Alain Paucard

    In memoriam

          Vailland ou la coalition des classes, par Philippe Lacoche

    In memoriam

           D'après un roman de Roger Vailland, par Michel Marmin

    In memoriam

           Roger Vailland : un cavalier sans retenue, par Alfred Eibel

    Hommage

          Un homme est mort, par Xavier Eman

    Réflexions

           Europe, éternel dilemme, par Rémy Tremblay

    Considération

           Lettre à mon enfant, par Rémy Martin

    Nouvelles

           La mesure 24, par Jacques Aboucaya

    Nouvelles

           Le passe-temps des géants, par Anne Teyssèdre

    Nouvelles

           La bonne aventure, par Olivier Griette

     

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  • La politique, c’est d’abord un combat sur le champ des idées !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue de l'écrivain Denis Tillinac, cueilli sur le site de l'hebdomadaire Valeurs actuelles et consacré à l'autisme des politiciens de l'UMP face au phénomène Zemmour.

    Encore un qui semble, doucement, commencer à comprendre...

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    Zemmour, "l’opposition, c’est lui !"

    Le ministre de l’Intérieur a commis un abus de pouvoir en orchestrant la curée zemmourophobe à coups d’amalgames qui rappellent les pratiques des staliniens d’antan. Ou des fascistes, comme on voudra. La plupart des journalistes et chroniqueurs l’ont relayé servilement, et pour cause : Zemmour leur fait de l’ombre. Sa culture historique, son talent de plume, sa dextérité verbale et surtout son indépendance d’esprit le désignent naturellement à la vindicte de la caste médiatique. Faute d’arguments plausibles, on le diabolise comme on s’y efforça avec Finkielkraut lorsqu’il publia son Identité malheureuse.

    Le plus choquant dans cette traque hystérique, c’est le silence apeuré de la mouvance UMP. À de rares exceptions près, aucun dignitaire de ce parti n’a défendu, non pas les thèses de Zemmour, mais simplement sa liberté d’expression dans l’espace public. L’UMP eût été dans son rôle, et accessoirement se serait refait la cerise, en initiant une grande manif pour sommer le pouvoir et sa domesticité de respecter cette liberté. Certes, Zemmour est plus gaulliste que libéral à l’anglo-saxonne, plus conservateur au sens churchillien du terme que bobo, et très moyennement convaincu des bienfaits de la machinerie bruxelloise. En quoi il séduit l’infanterie de l’UMP, tout en offusquant son état-major.

    En vérité, le diagnostic qu’il porte dans son Suicide français sur le délabrement mental de notre pays embarrasse l’opposition “officielle”. Ses politiciens ne s’intéressent pas aux sujets dits improprement “sociétaux” pour en minorer le sens : la mémoire longue de la France, ses mythes fondateurs, sa psychologie collective, ses traditions, ses fractures, ses hantises. Ils s’en tiennent au sondage du moment, et au bruitage médiatique. Peu leur importe que la France sombre corps et âme s’ils croient avoir réussi leur singerie “chez” Apathie ou Bourdin.

    Leur opposition au socialisme ne passe jamais le cap des rengaines d’usage sur le matraquage fiscal, l’assistanat et l’insécurité. Rengaines d’autant plus usées qu’au fond, la droite au pouvoir n’a guère corrigé ces méfaits qu’à la marge. Et encore. Ignorant les ressorts de l’idéologie qu’ils prétendent combattre, les ténors de la droite s’interdisent d’enraciner une réforme économique dans un projet politique étayé par une réflexion sur le malaise d’un peuple las d’être dépossédé, et méprisé par surcroît.

    Grâce au ciel, de vrais opposants s’invitent en clandestins dans l’arène politique et osent dresser à voix haute un état des lieux pas très reluisant. Tel Zemmour, excommunié par la meute inquisitoriale mais plus populaire que Sarkozy, Juppé, Fillon, Le Maire et leur suite. D’autres contestataires, moins connus mais influents dans leur sphère, participent d’une rébellion polymorphe dont l’ampleur n’a pas eu d’équivalent depuis l’effervescence de Mai 68. Personne ne les soutient à l’UMP. Personne ne s’en inspire. Personne ne s’avise qu’aucune réforme ne tient la route si elle n’est, de prime abord, intellectuelle et morale.

    Les socialistes, eux, le savent. C’est pourquoi ils dénigrent Zemmour. On a le droit de désapprouver certaines de ses positions, il a tendance à systématiser et parfois succombe avec une gourmandise enfantine aux commodités de la polémique. Reste que ce bretteur intrépide et futé incarne désormais l’opposition à l’idéologie dominante depuis un demi-siècle. Le vrai chef de la droite, en tout cas son inspirateur et son porte-étendard, c’est lui. Les politiciens de l’UMP constatent que leurs bavardages convenus derrière le petit écran ou devant le micro ont moins de prise sur l’opinion que le moindre solo de Zemmour. En quelque sorte, il les néantise : mauvais cas pour leur ego. Ils pourront peut-être se passer de lui pour battre un socialiste à la future présidentielle. Ils n’auront pas de quoi lui opposer une vision alternative tant soit peu cohérente et se borneront à bricoler des réformettes de technos. Elles seront comme d’habitude inopérantes, et ce coup-ci le peuple exaspéré pourrait bien montrer les dents. La politique, c’est d’abord un combat sur le champ des idées. Zemmour mène ce combat. Que la soi-disant droite UMP ne l’y rejoigne pas risque de la vouer à l’insignifiance.

    Denis Tillinac (Valeurs actuelles, 30 décembre 2014)

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  • Français de souche ? Présent !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue d'Aristide Leucate, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré à la polémique lancée par les médias du système contre Alain Finkielkraut à la suite de son utilisation de l'expression "Français de souche"...

    Aristide Leucate a récemment publié un essai intitulé Détournement d'héritage (L'Æncre, 2013).

     

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    Français de souche ? Présent !

    Il y en a assez, de ces théologiens de l’aberration cosmopolite, transgenre et transfrontière, qui prodiguent, du haut de leur chaire subventionnée, des leçons de rééducation morale aux « déviants » populistes et forcément racistes. Le nouvel oukase sémantique tient, désormais, dans l’impérative proscription de se réclamer de souche française. Alain Finkielkraut vient ainsi d’être dénoncé auprès du CSA, pour avoir osé défendre les « Français de souche », de même que Denis Tillinac, à l’occasion de son jubilatoire éloge de la liberté intitulé Du bonheur d’être réac. Dans l’émission « On n’est pas couché » de l’inoxydable Ruquier, Denis Tillinac a été sommé, séance tenante, de se justifier devant le Kommissaire stalinien, Aymeric Caron, quant à son appartenance « souchiste » !

    Français de souche. Voilà un syntagme qui, aussi longtemps que l’auteur de ces lignes s’en souvienne, ne faisait guère débat, ni polémique, il y a encore quinze ou vingt ans. L’on pouvait se dire Breton, Périgourdin ou Vosgien de souche, sans que de sournois Torquemada aux petits pieds balancent l’épuré à la vindicte politico-médiatique. D’ailleurs, quoi de plus naturel que de revendiquer une appartenance à un territoire déterminé, surtout lorsque ses aïeux s’y sont fixés depuis des lustres au point, précisément d’y faire souche ? Mais voilà ! Ce qui serait bon pour l’horticulture ne le serait pas pour l’écologie humaine et des civilisations, pour reprendre la belle formule de l’essayiste Hervé Juvin dans son dernier opus sur La Grande Séparation.

    Pourtant, au fond, qu’est-ce qu’un Français de souche, si ce n’est une personne dont les origines familiales, géographiques et historiques sont suffisamment anciennes et lointaines pour qu’avec le temps, l’on ait fini par en oublier la provenance initiale ? Bien plus, si certaines vieilles familles françaises, grâce au carbone 14 d’une généalogie bien tenue et suivie de génération en génération, sont à même de dater leur implantation dans telle ou telle région ou terroir, d’autres, par l’effet d’un lent processus d’assimilation, ont pu se forger les mythes fondateurs nécessaires à leur enracinement.

    Remonter à Henri IV ou se réclamer d’une présence permanente et continue en France depuis Napoléon III met chaque Français en résonance avec son histoire. Se l’appropriant et la métabolisant, sa destinée se confond alors inexorablement avec celle de son pays. Celui-ci devient « patrie », ou terre des pères, c’est-à-dire foyer originel de ceux qui ont fait souche avant soi, tandis qu’il se subsume en « nation », berceau de notre « nascio » ou naissance. Ce faisant, chaque Français se trouve littéralement incorporé au sein de cet héritage indivis qu’il se doit, humblement mais fièrement, de transmettre tout en l’enrichissant de ses propres apports.

    Empêcher de penser, de dire et donc de vivre cette réalité revient à faire de la France, non point ce jardin agrémenté de mille et une espèces enracinées dont la sève se nourrit de l’humus de la terre ensemencée par les anciens, mais un supermarché de monades déboussolées.

    Français de souche ? Présent !

    Aristide Leucate (Boulevard Voltaire, 6 mars 2014)

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  • Les snipers de la semaine... (51)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur le site de Valeurs actuelles, Denis Tillinac dézingue Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement et grande prêtresse du politiquement correct...

    Misère de l'intelligence

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    - sur Atlantico, Christian Combaz rafale ce gouvernement socialiste tétanisé devant le monde réel et sa dureté...

    Hollande et Ayrault sont-ils tétanisés par la méchanceté du réel ?

     

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