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michel goya - Page 4

  • La revue de presse d'un esprit libre... (15)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    • Remarquable analyse d'Alain de Benoist sur Philitt où le philosophe s'attaque à une des vaches sacrées de l'Occident contemporain en démontrant que "Le cosmopolitisme bute sur une aporie".
     
    • "Le foot, c'est la guerre", analyse Éric Zemmour dans un brève généalogie où il passe en revue les changements de statut de ce sport depuis la fin du XIX siècle jusqu'à sa dernière mutation intervenue il y a trente ans quand "le foot a été arraché aux classes populaires et qu'il est devenu le temple du fric" (première référence). On se reportera à cet égard à la critique de Philitt sur le plus beau but était une passe de Jean-Claude Michéa (seconde référence).
     
     
     
    • Dans une conférence donnée le 1 juin à la synagogue de la Victoire par Éric Zemmour et Yves Thréard à l'invitation du grand rabbin Gilles Bernheim, Zemmour a rappelé avec courage, compte tenu du lieu et de l'assistance, la différence entre le sort des juifs français et des juifs étrangers sous le gouvernement de Vichy. Voici le passage clef de son intervention.
     
     
    • La Fête est finie, le dernier roman d'Olivier Maulin est l'objet d'une déambulation critique et plutôt admirative par Romaric Sangars.
     
     
    Olivier Maulin est par ailleurs critique littéraire de l'hebdomadaire Valeurs Actuelles. Dans le présent article il tire les leçons du prétendu antiracisme qu'entendent nous infliger Karim Benzema, Éric Cantona, 
    Jamel Debbouze et le "sociologue" Thomas Guénolé.
     
    • L'historien nantais Jean-Joël Bregeon, spécialiste de la Révolution et de l'Empire, qui a confié au dernier numéro de Nouvelle Ecole un article sur L'historiographie des guerres de Vendée est interrogé ici par Breizh-info à propos de la réédition de son livre Carrier et la Terreur nantaise en poche Tempus (Éditions Perrin).
     
    • Alors que madame Hidalgo, maire socialiste de Paris, milite afin qu'une rue de la capitale porte le nom de Robespierre l'historien Patrice Gueniffey rappelle que ce conventionnel porte la responsabilité principale de la Terreur. Pour rappel, en 2002 Anne Hidalgo alors première adjointe n'avait pas hésité à débaptiser la rue Alexis Carrel pour d'obscures raisons idéologiques. Tout de même, Alexis Carrel, prix Nobel de médecine avait permis, grâce à ses découvertes, de sauver la vie de dizaines de milliers de blessés durant la première guerre mondiale. Un bilan que l'on comparera avantageusement, du point de vue de "l'humanisme" dont se réclame Anne Hidalgo, à la postérité criminelle de "l'incorruptible" qui faisait l'admiration des totalitaires bolcheviques Lénine et Pol Pot.
     
     
    • Dans deux des dernières émissions Répliques qu'il anime sur France-culture Alain Finkielkraut recevait respectivement Rémi Brague et Philippe d'Iribarne sur le thème "Christianisme et modernité" (11 juin),
    Michel Onfray et Luc Ferry sur "Faut-il avoir peur du monde qui vient ?" (4 juin). On pourra se reporter pour élargir le propos de Rémi Brague à l'entretien qu'il a donné dans le récent numéro de Krisis sur la même problématique.
     
     
    • Sauver l'Europe de la consanguinité, tel est l'argument totalement aberrant du ministre allemand Wollfang Schäuble pour justifier l'immigration massive en Europe. Si il est vrai que les risques de malformations pour les descendants des unions consanguines sont effectivement le double que pour les couples non-consanguins rappelons que l'Allemagne et l'Europe ne risquent aucunement de sombrer dans une semblable reproduction entre individus apparentés vu le nombre et la variété génétique de leurs populations et leurs habitudes exogamiques. C'est, en revanche, parmi les individus de religion musulmane que ces mariages entre cousins sont une tradition bien établie fondant l'endogamie de ces sociétés (première et seconde référence). On se reportera sur le sujet à la thèse de Germaine Tillon Le Harem et les cousins parue en 1966 et qui fait autorité. Une fois de plus un homme politique pressé d'abonder dans le sens de l'idéologie immigrationniste du Bien est pris au piège de son inculture crasse.
     
     
     
    • Sur son journal dominical bien nommé L'antipresse, Slobodan Despot se livre tout d'abord à une judicieuse analyse de l'information, pas franchement surprenante, d'une serveuse musulmane injuriée et giflée dans un bar niçois parce qu'elle servait de l'alcool en période de Ramadan. Rappelons que l'auteur de cette admonestation religieuse était un Tunisien en séjour irrégulier en France et qu'il a été condamné pour la "correction" qu'il avait infligée à la jeune femme. S'ensuit un bel entretien avec Claude Chollet, animateur de l'OJIM (Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique) ci dessous.
     
     
    • Le peuple contre les élites par Jacques Sapir.
     
    Michel Geoffroy, l'un des piliers de la fondation Polémia voit dans les élections présidentielles de 2017 le désolant remake de celles de 2012, à moins que les citoyens lassés de cette répétition aux allures de récidive se décident à casser la baraque... (Première référence). Dans la seconde référence il analyse les métamorphoses sémantiques qui ont accompagné, à partir de 1983, le ralliement du Parti socialiste à l'oligarchie libérale-libertaire. Cette adhésion qui est une trahison des idéaux traditionnels de la gauche s'est manifestée par des discours lénifiants afin de faire accepter à une population rétive les joies du "vivre ensemble" et de la "diversité heureuse". Mais que diable, pourquoi désigner la seule "gauche" comme responsable de l'état de fait qui en est résulté ? La "droite" y a toute sa part et ses palinodies depuis qu'Alain Juppé alors président du Club 89, structure programmatique du RPR, prônait l'arrêt des flux migratoires et l'abandon de toute forme de droit du sol, sont bien connues. Dans cette affaire il ne saurait être question de soustraire la "droite" à la réprobation. Droite et gauche agissent dorénavant comme un mouvement d'essuie-glace dont il n'y a rien à attendre sinon la perpétuation de la même politique.
     
     
     
    • Dans cet article de Karel Vereycken il est signalé, preuve à l'appui, que les présidents des États-Unis peuvent bien passer, mais que la doctrine du néo-conservatisme reste aux commandes.
     
     
    • L'ancien ministre de la République fédérale allemande, Willy Wimmer publie en juin un nouveau livre Die Akte Moskau (Le Dossier Moscou) dans lequel il s'élève vigoureusement contre le nouveau mur que les Américains et leurs complices européens prétendent construire entre la Russie et nous. Le site suisse Horizons et débat l'a interrogé sur les actuelles relations entre l'Ouest et l'Est et leur développement prévisible.
     
     
    Xavier Moreau fondateur de Stratpol est saint-cyrien, ancien officier parachutiste et homme d'affaire installé à Moscou depuis une quinzaine d'années. De retour du Donbass il répond aux questions de Frédéric Saillot pour Eurasie Express
     
     
    • Dans un étrange chassé-croisé la Russie et la Turquie ont échangé leur rôle. C'est du moins ce qu'observe Roland Hureaux dans un très intéressant article paru sur Causeur. Une fois de plus l'Europe soumise à l'hégémonie américaine se trompe d'adversaire et choisit de négocier avec Erdogan tandis qu'elle voue Poutine aux gémonies.
     
     
    • Voici un petit texte sans doute excellent. Sous la forme d'un pastiche de la prose du "Comité Invisible" les disciples du théoricien marxiste Michel Clouscard, regroupés autour des éditions Delga s'attaquent à Éric Hazan, des éditions La Fabrique, à Julien Coupat, au comité invisible et plus généralement à l'ensemble de l'ultra-gauche anarcho-post-situationniste. Ce texte signé parodiquement "Comité translucide" et magnifiquement titré Je sens que ça vient dénonce tout à la fois leur dérive théoriciste et leur insurrectionnalisme aussi bien-pensant qu'il est coupé du réel. On peut y lire, au milieu d'autres belles trouvailles, une violente critique de l'exaltation diversitaire et du communautarisme islamique.
     
    • Pour Mathieu Bock-Côté qui s'exprime ici sur le massacre d'Orlando, le "pas d'amalgame" que l'on nous sert encore et toujours en pareille circonstance et qui sature le caquetage médiatique n'est qu'une manière de noyer le poisson et de ne pas faire vraiment face à l'ennemi. Dérobade dictée par la lutte contre toutes les discriminations, devenue la doxa d'un Occident certes émancipé, mais lui même devenu nihiliste à force d'émancipation.
     
     
    • Derrière la gesticulation et une agitation qui relèvent de la simulation l'État français se refuse toujours à faire la guerre, c'est du moins ce que pense le colonel Michel Goya qui s'interroge sur les raisons de notre impuissance.
     
     
    • Pour Xavier Raufer, criminologue, en matière de terrorisme nos gouvernants sont tout simplement incompétents.
     
     
    Xavier Raufer souligne avec justesse les effets paradoxaux de la bienséance idéologique. Citant Martin Heidegger "Ce qui agit de manière réactive pose d'abord ce à quoi il s'oppose et reste donc tributaire de ce qu'il s'imagine avoir révoqué", il cite quelques exemples marquants touchant le "fascisme", "l'obésité", le "féminisme" et le "racisme".
     
     
    • Après l'acte terroriste perpétré à Magnanville le site suisse Les Observateurs confesse que nos pays ne nous protègent plus puisque prenant des décisions molles ils ouvrent dans le même temps les frontières à des populations en provenance de zones où le terrorisme sévit à grande échelle. L'auteur voit  dans cette prolifération de crimes islamistes une aubaine et une excellente occasion d'instaurer une société de surveillance généralisée.
     
     
    • Dans la dernière émission d'I-média Jean-Yves Le Gallou décrypte la tentative des lobbies homosexuels d'expliquer l'attentat d'Orlando par les seuls motivations homophobes de son auteur, occultant ainsi son origine islamiste. Suivent le Zapping, l'attentat de Magnanville, les tweets et enfin le football comme arme festive de conditionnement massif.
     
     
    • La Nouvelle Revue d'Histoire vient de publier un numéro spécial dont le thème Être minoritaire en terre d'islam s'inscrit dans l'actualité la plus brûlante. Son directeur, Philippe Conrad écrit dans un éditorial bien senti (ci-dessous, ainsi que le sommaire) que les attentats toujours plus nombreux en Europe prennent place "dans un projet de conquête qui s'appuie sur le dynamisme démographique des sociétés musulmanes, sur le prosélytisme mis en œuvre par les monarchies de la péninsule arabique et sur l'aveuglement des élites occidentales..."
     
     

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  • Tour d'horizon... (103)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur la Voie de l'épée, Michel Goya s'intéresse à la formation des maîtres de la tactique...

    Comment devenir un Mentat

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    - sur Figaro Vox, Véronique Nguyen analyse les conséquences sur l'économie européenne de la globalisation du libre-échange...

    Bruxelles : pourquoi l'Europe ne fabrique plus de téléviseurs

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    - sur le site de Comes Communication, le général Vincent Desportes, dans un entretien donné à Bruno Racouchot, rappelle la nécessité pour les armées de développer une stratégie d'influence pour retrouver toute leur place dans la cité...

    Nos armées au défi de l'influence

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    - le site de l'Obs publie un texte important de Scott Altran qui analyse les ressorts du pouvoir de séduction de l’État islamique...

    L'Etat islamique est une révolution

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  • « Qui dit guerre dit effort de guerre » ...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire et consacré à la "guerre" menée par la France contre l’État islamique...

     

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    « Il ne sert à rien de supprimer Daech si l’on ne sait pas par quoi le remplacer ! »

    François Hollande a promis aux Invalides de « tout faire pour détruire les fanatiques de l’armée de Daech ». On en prend le chemin ?

    C’est de la gesticulation. Après s’être refusé à bombarder les positions de l’État islamique pendant plus d’un an pour se concentrer sur l’aide apportée aux opposants à Bachar el-Assad, le chef de l’État a seulement décidé d’intensifier nos frappes. Mais des attaques aériennes n’ont jamais permis de gagner une guerre, surtout réalisée par des chasseurs-bombardiers qui ont le plus grand mal à atteindre les cibles mobiles et des ennemis particulièrement aptes à la dispersion et à l’imbrication avec les populations (ne soyons pas naïfs au point de croire que nos frappes ne touchent que des djihadistes !). On compte à l’heure actuelle de vingt à trente frappes par jour sur un territoire grand comme la Grande-Bretagne, soit environ 8.300 frappes depuis le début des bombardements. Les frappes réalisées par nos avions de combat ne représentent que 4 % de ce total. Elles ont, au mieux, permis de détruire 1 % du total des effectifs armés de Daech. On est loin du compte.

    Qui dit guerre dit effort de guerre. Or, depuis des années, les budgets militaires sont les parents pauvres de la dépense publique. Passés désormais au-dessous du seuil de suffisance, ils ne permettent plus d’assurer nos missions régaliennes dans un monde qui devient pourtant toujours plus dangereux. Parallèlement, des milliers de militaires qui pourraient être mieux employés ailleurs ont été transformés en vigiles de rue (les opérations Vigipirate et Sentinelle mobilisent l’équivalent de deux brigades, alors que nous n’en avons que douze). Comme l’a dit le colonel Michel Goya, « il est toujours délicat de jouer les gros bras quand on n’a plus de bras ».

    Que faudrait-il faire ?

    Chacun sait bien qu’on ne pourra pas faire éternellement l’économie d’un envoi de troupes au sol. Mais personne ne s’y résout pour l’instant. Citons encore le colonel Goya : « Il n’y a combat dit asymétrique et résistance souvent victorieuse du “petit” sur le “fort” que tant que ce dernier craint de venir combattre sur le terrain du premier […] Quand on ne veut pas de pertes, on ne lance pas d’opérations militaires. »

    S’assurer de l’étanchéité de la frontière avec la Turquie, aujourd’hui inexistante, serait l’un des premiers objectifs à atteindre. La Turquie joue, en effet, un jeu irresponsable. Tout ce qui l’intéresse est de nuire à Bachar el-Assad et d’empêcher la naissance d’un État kurde indépendant. Elle aide directement ou indirectement Daech, et elle le finance en lui achetant son pétrole. Elle n’a pas hésité à abattre un avion russe parce que celui-ci bombardait des convois pétroliers, et les États-Unis lui ont apporté leur soutien dans cette agression d’une gravité inouïe au seul motif que les Turcs sont membres de l’OTAN.

    Cela pose la question de nos rapports avec l’OTAN, dont le général Vincent Desportes n’hésite pas à dire qu’elle est devenue une « menace sur la sécurité des Européens » et un « outil de déresponsabilisation stratégique » qui « nous prive des moyens de gagner des guerres et constitue le meilleur obstacle à l’édification d’une défense commune européenne indépendante ». À l’inverse, cela devrait nous amener à collaborer sans arrière-pensées avec tous les ennemis de nos ennemis, à commencer par la Russie, la Syrie et l’Iran. Mais soyons sans illusions : tous les spécialistes savent que cette guerre ne peut être qu’une entreprise de longue haleine, qui va durer au moins dix ou vingt ans.

    À supposer que les Occidentaux – ce terme est employé à dessein – aient la capacité technologique de gagner la guerre contre le terrorisme, comment ensuite gagner une paix durable ?

    Parler de « guerre contre le terrorisme » (ou « contre le fanatisme »), comme le font les Américains, n’est qu’une façon détournée de ne pas nommer l’ennemi. Notre ennemi n’est pas le terrorisme. Notre ennemi, ce sont ceux qui utilisent le terrorisme contre nous – et qui nous ont à ce jour plus terrorisé que nous ne les avons terrorisés nous-mêmes. On a tendance, aujourd’hui, à présenter les interventions militaires comme des « opérations de police ». C’est oublier qu’il y a une différence essentielle entre les unes et les autres, car la guerre aspire à la paix par la victoire, tandis que la police poursuit une mission sans fin (on ne fait pas la paix avec les délinquants). Refuser le statut d’ennemis à ceux que l’on combat, c’est s’engager dans des hostilités qui n’en finiront jamais.

    Lutter contre l’État islamique implique de s’attaquer aux causes premières de sa force, lesquelles ne sont pas militaires, ni même religieuses, mais fondamentalement politiques. Il ne sert à rien de supprimer l’État islamique si l’on ne sait pas par quoi le remplacer. S’imaginer que les choses reprendront leur cours normal une fois qu’on aura fait disparaître les « fanatiques » et les « psychopathes », c’est rêver debout. Cela exige une intense activité diplomatique, à la fois nationale et surtout régionale. Au bout du compte, une grande conférence internationale sera nécessaire, qui devra sans doute envisager un remodelage des frontières. Mais dans l’immédiat, il faudrait déjà en savoir plus sur l’État islamique, et se demander – la question a été posée récemment par Xavier Raufer – comment il se fait que ses principaux dirigeants ne sont justement pas des islamistes, mais le plus souvent des anciens cadres de l’armée de Saddam Hussein.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 28 décembre 2015)

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  • Regard sur la crise militaire française...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une courte conférence donnée par le colonel Goya, à l'Assemblée nationale, dans le cadre d'un colloque organisé par la revue Défense nationale et le Parti de Gauche (et oui...), sur le thème de la crise militaire française. Expert lucide et praticien des questions militaires, le colonel goya a publié plusieurs ouvrages intéressants et importants, comme La chair et l'acier (Tallandier, 2004), Res militaris  (Economica, 2010), ou Sous le feu (Tallandier, 2014).

     

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  • Tour d'horizon... (98)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur son blog La voie de l'épée, Michel Goya nous alerte sur les grandes décisions qui vont nécessairement devoir suivre l'attaque terroriste majeure qui nous attend dans les mois à venir...

    Le jour d’après la grande attaque

     [ Programmée depuis plusieurs jours, la publication de ce lien vers un texte du colonel Michel Goya, daté du 25 octobre, trouve, avec les attentats de Paris du 13 novembre, une résonance tragique. Nous sommes le jour d'après... Certains, manifestement, ne s'en sont pas encore rendus compte.]

     

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    - sur son blog Défense en ligne, Philippe Leymarie revient sur la menace que constitue le chaudron du Sahel...

    Bienvenue au Sahelistan

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  • Tour d'horizon... (80)

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    Au sommaire cette semaine :

    -sur Novopress, Lionel Humbert présente le mouvement de protestation populaire PEGIDA qui commence à secouer l'Allemagne...

    Immigration et islamisation : quand l’Allemagne se réveille

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    - sur La voie de l'épée, Michel Goya revient sur treize année d'intervention en Afghanistan à l'occasion du retrait de la majeure partie des forces internationales de ce pays...

    L'Afghanistan ou l'odyssée de l'impasse

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