La revue de presse de Pierre Bérard
Au sommaire :
• Atlantico : les données de la démographie allemande au regard de l’immigration :
• Débat sur le modèle américain animé par Edouard Chanot (Radio Sputnik) entre Charles Gave, ancien élève de Milton Friedman, et Thibault Isabel, rédacteur-en-chef de la revue Krisis.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=1355&v=F716LO3faQU
• La vente d’Alstom, « une opération de guerre économique ». Le bradage d’une grande affaire française à l’américain General Electrique et à l’allemand Siemens. Écouter l’émission de franceinfo du 26/09/2017 :
• Revisitant l’histoire en privilégiant le rôle de « l’État profond », Lucien Cerise nous donne ici une interprétation décapante de la révolution bolchevique de 1917 dont il sous-évalue manifestement les crimes, ce qui suffit à saisir son entretien avec des pincettes. Il explique en revanche très bien ce que sont les ressorts des sociétés libérales contemporaines :
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Cent-ans-apres-le-coup-d-Etat-bolchevique-47795.html
• Figaro vox publie une critique de Mathieu Bock-Côté du livre des conversations du « conservateur » Alain Finkielkraut et de la « progressiste » Elisabeth de Fontenay « En terrain miné ». Bock-Côté ne dissimule pas son parti-pris pour le premier et se livre à une bonne exploration du surmoi de la gauche fait de pirouettes rhétoriques, seules à même de les maintenir dans l’empire du Bien. À vrai dire, son choix coule de source pour les lecteurs de ce livre bancal :
• Extraits de la remarquable descente en flamme d’une « Histoire mondiale de la France » parue sous la direction de Patrick Boucheron par François Bousquet. Elle est parue dans la dernière livraison de la revue Éléments :
• Julian Assange, un combattant de la liberté d’expression. Portrait tracé par l’OJIM :
• Le journalisme et les belles histoires bien racialisées quand ça arrange l'ethniquement correct. Réjouissante chronique d’Ingrid Riocreux :
• La fortune des 500 Français les plus riches a été multipliée par sept en 20 ans. La « discrimination » dont on ne parle pas :