Au sommaire cette semaine :
- sur Causeur, Jérôme Leroy dézingue la novlangue néo-française et ses serviteurs...
L'étranger dans sa langue natale
- sur Acrimed, Mathias Raymond flingue les éditocrates, propagandistes de la pensée unique...
Les éditocrates sonnent le clairon de la rigueur
Commentaires
Quand je vois ces pleutres donner leur avis,ça me fait penser à Balzac,Oh illusions perdus,les plus grands hommes ont toujours méprisé le journaliste,le banquier et le politique,de petits hommes affairés au règne du calcul,de la quantité et de la massification.