Cette semaine :
- sur Causeur, Isabelle Marchandier flingue l'exposition photgraphique "La France de Raymon Depardon", qui se tient à la Bibliothèque Nationale de France ;
La France est formidable. Sans les Français.
- sur Les influences, Christophe Guilluy allume Rama Yade et Daniel Cohn-Bendit après leur prestation dans les Inrockuptibles.
« Rama Yade, c'est la Cohn-Bendit des années 2010 »
Bonne lecture !
Commentaires
Modernes, soyez résolus!
Les accrocs au portrait des familles et foutage de gueule permanent sortent, du bocal quasi météorologique, le QUOI à poser là, maintenant, tout de suite, nu et lisse, qui palpite: the kiss out in!
Vite! Passe-moi, la caisse à outils! (Personne à Oeil-de-guerre, in "ZOOM pour le meilleur et pour le mieux")
Pas vraiment un baiser de Judas. Plutôt quelque chose mouillé, collé au vasistas. Une chose complètement dingue. Si elle met la pensée allemande, passablement boursouflée, en déroute, l'esprit français, frisant la rupture, passe outre.
Se profile alors, aux yeux du profiler ès-bêtes de scène médiatique, le corps irrigué de vif argent, une scène d'amour qui combine la mauvaise foi et un mannequinat dépouillé de tout esprit critique.
Je vous laisse imaginer le déshabillage! Sa fébrilité! Et répondre virilement à ceci: entre le labourage exotique et le déballage industriel, lequel est le plus moderne? Mais foin de toute critique! Pour une fois, soyons positifs!
Proposons un titre au roman en train de s'écrire. Un titre extrait d'une cuisse esclave, debout! Un titre à rendre marteau, le coucou des salons automnaux et printaniers. Et jaloux le julot libéré qui a pour pampres quelque impalpable pamphlet très-pompés. Dans sa tête, en fait, il est pompette. Et donc eccolo:
COHN FOR RAMA!
De quoi meubler l'abyssale solitude et ses appendices électoraux!