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edgar wallace

  • Ian Farquharson contre le Commissaire-priseur...

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman policier de Jean Bourdier intitulé Le commissaire-priseur et publié initialement en 1978, sous le pseudonyme de John Mcgregor. Écrivain, journaliste politique, traducteur réputé et fin connaisseur de la littérature policière, Jean Bourdier est décédé en 2010. Il a notamment écrit une histoire du roman policier ainsi qu'une histoire des Armées blanche (avec Marina Grey, la fille du général Denikine...).

    Bourdier_ Le Commissaire-priseur 2.png

    " Contrairement à la Police, à l’Armée ou au mercenariat, le milieu de l’édition est un endroit plutôt feutré où l’on a peu de chances de finir avec une balle entre les deux yeux. Oui, mais ça c’était avant…

    Car Londres est soudainement frappée par un mystérieux tueur en série, le « Commissaire-Priseur », qui prend pour cible tous ceux ayant eu en leur possession les Mémoires posthumes de Sir Edward Rampole, un ancien politicien et diplomate pourtant sans aspérités. Pour la Police, c’est à n’y rien comprendre.

    Tel n’est pas l’avis de Ian Farquharson, éditeur dans la vénérable maison Farquharson, Farquharson & Ferguson, qui se retrouve, bien malgré lui, embarqué dans cette course contre la mort, avec, un malheur ne venant jamais seul, l’implication de sa consœur détestée, l’éditrice Carol Murray.

    Ayant vécu près de 20 ans dans le Sussex, Jean Bourdier nous sert ce délicieux roman d’énigme très british qui lorgne vers Edgar Wallace, John Dickson Carr et, pour l’humour, vers son ami A.D.G (qui fait une fugace apparition hitchcockienne en Alan Douglas Gregor McPherson, « auteur de romans policiers écossais et chauvins »). "

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  • Les quatre justiciers...

    « Que dire de ses romans, sinon qu'ils sont tous à l'image de leur auteur: haletants, vulgaires, magnifiques ? Bref, vivants, tellement vivants. »

    Jean Mabire, Edgar Wallace, dans Que Lire (tome 5)

     

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman d'Edgar Walllace intitulé Les quatre justiciers.

    Correspondant de guerre, journaliste, écrivain, Edgar Wallace (1875-1932) travailla également pour le cinéma américain et fut notamment le scénariste du célèbre film King Kong en 1933. Les 4 Justiciers est le premier des 90 romans qui firent de lui, en Angleterre, « le roi du thriller » dans les années 1920-1930.

     

    Wallace_Les Quatre Justiciers.png

    " L’inspecteur Falmouth écoute sonner au loin la cloche de Big Ben. En même temps, il regarde fixement la porte derrière laquelle un homme, un ministre, risque sa vie. Pourtant toutes les précautions ont été prises. Toute la machinerie de Scotland Yard est déployée… Dans les rues, la foule stationne, avide de savoir si le ministre mourra à huit heures précises, comme l’ont juré les 4 Justiciers, ces mystérieux inconnus qui se sont donné pour tâche de pallier les insuffisances de la justice des hommes, de lutter contre les criminels qu’elle est incapable de débusquer et de punir, d’éliminer de la surface du globe les parfaites incarnations du mal qui y sévissent en toute impunité.

    L’inspecteur tend toujours l’oreille. Big Ben sonne le dernier coup de huit heures. Le miracle se serait-il produit ? Le ministre aurait-il échappé à la menace… Mais, soudain, un cri déchire le silence revenu ! L’inspecteur enfonce la porte et se rue dans le bureau… "

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