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crime de masse

  • Communisme, un siècle de tragédies et de complicités...

    Les éditions du Toucan publient dans leur collection L'Artilleur un essai de Bruno Riondel intitulé L'effroyable vérité - Communisme, un siècle de tragédies et de complicités. Docteur en Histoire des relations internationales et professeur au lycée Louis-le-Grand de Paris, Bruno Riondel est l'auteur de Considérations inconvenantes sur l'école, l'islam et l'histoire de France (Toucan, 2015) et de  Cet étrange Monsieur Monnet (Toucan, 2017).

     

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    " Le communisme n’a jamais été un idéal de progrès et ses crimes monstrueux ne furent pas le fruit d’une malencontreuse dérive. Telle est la démonstration que fait ici Bruno Riondel, un siècle après la naissance de l’Internationale léniniste.

    Détruire la superstructure culturelle traditionnelle des sociétés par l’élimination de millions de personnes a toujours été le préalable obligé à la mise en œuvre des révolutions marxistes-léninistes. Partout, celles-ci permirent à des minorités violentes d’exercer une emprise totale sur des populations terrorisées. En remontant à ses sources idéologiques et en disséquant ses principales réalisations, Bruno Riondel a tenté de démontrer que le communisme avait prémédité chacun de ses actes, jusques et y compris le crime de masse.

    Il montre également que le combat communiste se déroula toujours à un double niveau, exotérique, à destination des masses, et ésotérique, pour les initiés, les partis communistes du monde entier ayant eu, à l’instar du PCF, une double structure : le parti engagé que chacun connaissait, et sa face cachée, contrôlée en sous-main par les hommes de l’Internationale soviétique. Pour déstabiliser les sociétés de l’intérieur, le communisme instrumentalisa les luttes sociales, utilisant le relativisme moral et le mensonge tactique, avec la complicité de nombreux intellectuels fascinés par sa force ou simplement opportunistes.

    L’auteur estime que de nos jours le communisme n’est pas mort, ses réseaux, dissimulés sous le masque du progressisme étant encore à l’œuvre dans des secteurs entiers de la société. Pour le débusquer malgré ses habits neufs, il est nécessaire d’en avoir compris les fondements et le fonctionnement, ceux-là même qui ont conduit à la mort des dizaines de millions d’innocents, sacrifiés sur l’autel de la révolution prétendue prolétarienne. "

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