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dsk - Page 3

  • Le nouveau B.A. BA du BHL...

    Les éditions La Découverte rééditent, dans une version mise à jour et remaniée, Le nouveau B.A. BA du BHL, une enquête de Jade Lindgaard et de Xavier de la Porte, initialement publiée en 2004. Un déboulonnage en règle du personnage le plus nuisible et le plus arrogant du paysage intellectuel français !...

     

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    "Bernard-Henri Lévy porte beau : photogénique, chemise blanche impeccable, il a le sens de la formule et semble toujours prêt à surgir dans votre poste de télévision pour dénoncer l’injustice et les nouvelles « barbaries ». En apparence, un démocrate militant, un intellectuel de gauche engagé, à la Sartre. Vous pensez peut-être qu’il est un philosophe courageux, prompt à réveiller les consciences endormies.

    Vous avez tort. BHL n’est ni philosophe, ni intellectuel influent, ni militant des sans-grade, ni journaliste chevronné. Comme le montre cette enquête fouillée – version actualisée et largement remaniée du B.A. BA du BHL (La Découverte, 2004) –, c’est un excellent publiciste, une star des médias dotée et un essayiste à succès. Et aussi un ami des grands patrons et des dirigeants politiques, à commencer par Nicolas Sarkozy. C’est que BHL propose une offre qui rencontre une demande : il fait le spectacle, produisant le grand récit hollywoodien du monde que les médias aiment relayer et que les pouvoirs chérissent, car il les protège du feu de la critique. Il a occupé le devant de la scène lors du déclenchement de la guerre en Libye et, au nom de l’ingérence humanitaire, se préoccupe de l’Iran et du Darfour. Mais sa défense des opprimés pase au second plan lorsqu’il s’agit d’Israël, dont il relaie la communication officielle. Et son féminisme est à géométrie variable : il défend l’irakienne Sakineh Mohammadi Ashtiani, menacée de lapidation, tout en décrétant par principe Dominique Strauss-Kahn inocent de l’accusation d’agression sexuelle portée contre lui.

    À soixante ans passés, l’intellectuel est un cas plus intéressant que sa propre personne. Il incarne un mouvement qui le dépasse, mais dont il fut l’un des moteurs : la réinvention du pouvoir médiatique en illusion intellectuelle."

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  • DSK Mea culpa TV !...

    Vous pouvez lire ci-dessous un bon billet d'humeur de l'avocat Gilbert Collard, cueilli sur Nations Presse.Info et consacré à l'affligeante opération de com' organisée sur TF1 par la journaliste (?) Claire Chazal au profit de son bon ami DSK...

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    DSK Mea culpa TV

    En France, on disait que tout finit par des chansons, même si c’était « le ça ira » ! Aujourd’hui, tout finit par des émissions de télévision, même si, un jour, çà n’ira plus du tout. Et voilà, comme au bon temps d’Anne Saint Clair, Claire Chazal, claire aussi, qui reçoit DSK au confessionnal cathodique, le seul vrai tribunal de notre temps temps. Il fallait bien que cette affaire de cul triste finisse par…une émission… Peu importe que la présentatrice soit une amie de l’épouse et que le rédacteur en chef la connaisse bien du temps impérial de sept sur sept… Les prises d’intérêts amicales n’ont pas d’intérêt pour les média, qui ne se privent pourtant pas de faire la leçon de morale.

    Et voilà la valse des sondages sans lesquels il n’est pas de rigueur apparente : 53 % des français souhaitent que DSK quitte la politique et 22 % qu’il annonce sa candidature ; 22 % ! On rêve. La presque majorité des français semble se foutre (excusez) de ce qui s’est passé dans la chambre des humiliations. Une belle explication à la télé est le tour est joué, la « réconciliation avec la France commence », comme dit un communiquant de DSK. Et Nafissatou aura-t-elle un droit de réponse ? Sera-t-elle l’invitée du salon où l’on cause d’elle, de sa vie, de son honneur ? Cette unilatéralité est intolérable ! Elle révèle le pouvoir absolu de sélection arbitraire de certains média sur les gens, les images, les paroles, les angles ; ici on invite DSK, pas la plaignante, là, on choisit les ahuris de service pour les interviewer, on traque les crânes rasés, quitte même à les tondre pour les exhiber, on guette le doigt dans le nez, l’instant de sieste, le lapsus, la grimace, la pose ridicule rentable. Jusqu’où ira-t-on dans la caricature médiatique qui réduit l’homme à une fraction de seconde immortalisée par des marchands de méchanceté. Ils se sont regardés ? Ils se sont vus, ces railleurs rémunérés au mois pour se payer la gueule de l’autre ?

     

    Mais, dimanche soir, tout était propre, précis comme l’écriture d’un scénario dit par deux acteurs rodés, robotisés dans les questions et les réponses, du petit cinéma télévisuel. On a eu le DSK vêtu de noir, en deuil de son destin, contrit, repentant, repenti, auteur d’une « faute morale dont on ne peut pas être fier », comme si l’on pouvait être, un jour, fier « d’une faute morale » ? Un DSK qui a confessé « une légèreté qu’il a perdu pour toujours. » Légèreté ? Quel mot léger pour une si lourde histoire. Un DSK qui s’accrochait au rapport du procureur qui n’a pas osé affronter un jury par crainte d’un échec. Ce qui n’est pas un non-lieu. Un DSK aux ambitions inhibées mais qui demeurent voraces. J’ai pensé, tout au long de l’interview, à la femme noire, immigrée, abandonnée, pauvre, traitée de menteuse, qui, quelle que soit la vérité que j’ignore toujours, n’était pas dans cette chambre pour son plaisir. A coup sûr ! Et puis, miracle, soudain, on passe de la chambre au coffre-fort monétaire, et là, l’homme redevient le technicien froid, capable de sauver la finance internationale. Il reprend sa place perdue à cause d’une intrigante illettrée qui en voulait à son fric. Je ne sais ce qu’en penseront les français, les sondages nous le dicteront, mais j’ai ressenti cette émission comme une chose indécente, vulgaire, où l’envie de pardon n’agissait pas. Je peux me tromper. Ce serait alors ma sensibilité qui me tromperait. En tout cas un mot aurait passionné un psychanalyste, un seul mot, lâché en fraude de l’inconscient dans une phrase, « en sus de dizaine de mensonges » En sus ! Sur l’écran noir de la vérité comment s’orthographie ce mot ?

    Gilbert Collard (Nations Presse.infos, 19 septembre 2011)

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  • Enquête sur une nouvelle religion...

    Dans le numéro 74 de Flash, le journal gentil et intelligent, on doute de la "Vérité révélée" sur les attentats du 11 septembre avec Aymeric Chauprade... On rencontre, avec Christian Bouchet, un furieux de l'extrême droite israëlienne qui a commencé sa carrière au Kach du rabbin Kahane et on assiste, avec Topoline, au retour de l'idole médiatique DSK... Bonne lecture !

     

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    Au sommaire :

    11 septembre 2001... La nouvelle religion ? Aymeric Chauprade attente à la vérité révélée... Un entretien exclusif qui percute en page 3 à 5.

    Avigdor Leskin : "Je souhaite le départ de tous les Juifs d'Europe et de tous les autres pays...". Christian Bouchet confesse un ponte de l'extrême droite israëlienne en page 6 et 7.

    Faut-il supprimer les partis politiques ? Arnaud Guyot-Jeannin pose la question qui tue en page 9.

    A un an des JO de Londres... Prométhée au Sofitel ? Coubertin revient en page 12.

    DSK à Paris : le retour du Messie ? Topoline en doute en page 2.

     

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  • Tour d'horizon... (12)

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    Au sommaire :

    - sur Metamag, Raoul Fougax s'amuse de l'embarras qui s'empare du PS à l'annonce du retour en France de DSK, le "trousseur de domestiques"...

    Le retour de DSK panique le PS

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    - sur Polémia, Michel Geoffroy démonte le coup de com' des patrons millionnaires relayé avec complaisance par le Nouvel Observateur...

    On vit une époque formidable

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  • Sur le chemin de Damas...

    Dans le numéro 73 de Flash, le journal gentil et intelligent, on miaule et on s'aiguise les griffes avec Alain de BenoistArnaud Guyot-Jeannin et Topoline, on prend le chemin de Damas avec Christian Boucher, on casse sa calculatrice avec Pierre le Vigan, on s'inquiète avec Philippe Randa et on fait des singeries avec Nicolas Gauthier ... Bonne lecture !

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    Heureux comme un chat en France ? Un dossier qui miaule, griffe et ronronne : Alain de Benoist avoue se méfier des hommes qui n'aiment pas les chats, Arnaud Guyot-Jeannin nage dans le bonheur félin et Topoline panse ses plaies.

    Tout ce que l'on vous cache... : notre reporter sur le chemin de Damas, Christian Bouchet a sillonné le pays. Il en est revenu entier et étonné...

    Responsable mais pas coupable, une habitude chez les leaders socialistes ? Et toujours la "mamma" Sinclair qui veille au grain... Arrangements judiciaires et cuisine de famille...

    Pierre le Vigan nous l'assure : les chiffres ne font pas le bonheur et le monde n'est pas une addition !

    Philippe Randa commence à s'inquièter ferme : et si Sarkozy rempilait ?

    De "Joyeuse", l'épée de Charlemagne et du sacre des rois de France à "Excalibur", l'épée mythique du Roi Arthur, une expo très "chevalresque" à voir au musée de Cluny.

    Les chats en ouverture et les singes pour finir : Topoline a vu le dernier opus de Ruppert Wyatt et Nicolas Gauthier fait la revue des velus, tous les King et les Kong en peluche ou en carton pâte.

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  • Les snipers de la semaine... (26)

     

    emmanuel lemieux,anne sinclair

     

     

    Au sommaire :

    - sur Les influences - Des idées et des hommes, Emmanuel Lemieux envoie une fléchette empoisonnée à Anne Sinclair...

    Portrait sociologique d'Anne Sinclair

    emmanuel lemieux,anne sinclair

     

    - sur Défense nationale, le site de la revue, le Cadet mouche proprement et avec élégance les stratèges de salon et leur grand maître BHL

    Aux stratèges de salon

    emmanuel lemieux,anne sinclair

     

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